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Korben, roi d’internet, logo bébé avec des lunettes en mode thug life

Et si Iron Man 3 avait été un jeu sur Super Nintendo ?

Voici ce que ça donnerait

Pas mal non ?


J’aurai bien aimé être présent lors de la réunion de début d’année à l’Académie des Sciences de Guangzhou en Chine…

Ça a dû se passer comme ça…

  • « Bon les mecs, c’est quoi vos plans pour cette année ? »
  • « …. »
  • « Roooh, va encore falloir brain-stormer ! Bon aller, je commence : Fabriquer des cellules souches avec du vieux fromage ! »
  • « À moi ! Réparer des fractures avec de la crotte de requin ! »
  • « Rooh, si vous faites dans le pipi caca alors, moi je vous propose de fabriquer de vraies dents avec du gros pipi qui tâche ! »
  • « OK, vendu ! On tient notre projet scientifique pour cette année ! »

Et c’est ainsi que Duanqing Pei qui ne recule devant rien a eu la bonne idée de fabriquer, ou plutôt faire grandir des dents tout ce qu’il y a de plus naturelles, avec le nerf et la pulpe, directement dans les reins d’une souris.

Ah, mais je vous vois venir avec vos reins vengeurs à dents aiguisés qui mangent leur propriétaire. Non, il ne s’agit pas de ça. En réalité, ils ont utilisé des cellules souches extraites de l’urine qu’ils ont implantée dans le rein d’une souris, afin d’y faire grandir une dent de souris. Pourquoi l’urine ? D’après le scientifique chinois, c’est un moyen simple de récupérer des cellules souches, mais d’après le scientifique Chris Mason de l’University College à Londres, il y a beaucoup de perte et un important risque de contamination par des bactéries.

goldor

De quoi rire jaune… (pardon ^^)

La dent qui est plus fragile et pas forcement taillée comme une incisive ou une molaire a quand même le mérite d’être 100% naturelle. Ce n’est que le début de la recherche bien sûr, mais dans un futur proche, on pourra peut être se faire re-générer des dents toutes neuves à partit de ses propres cellules plutôt que de se faire poser des couronnes en or façon rappeur sans brosse à dents.


Je vous ai déjà parlé à plusieurs reprises de la technologie Native Client de Google (NaCl) qui permet de faire tourner dans un navigateur web (au hasard, Chrome), du code compilé, genre C / C++. Ce code natif tourne dans une sandbox (environnement « normalement » confiné) et est exécuté directement par la machine cliente.

Seulement pour faire prendre la sauce et rentre sa technologie compatible aussi bien sous x86 que sous ARM, Google a annoncé PNaCl soit la Portable Native Client. Dans un document publié récemment, on en apprend donc un peu plus sur ce client natif portable.

En réalité il s’agit d’un module pour LLVM (une infrastructure de compilateur) qui utilise le bitcode du Portable Native Client défini par Google et qui permettra de faire tourner un même code compilé sur tous les systèmes disposant d’un NaCl, et cela, peu importe, l’architecture.


OpenSubtitles.org est sans doute l’une des plus grosses bases de sous titre présente sur le net. La force d’OpenSubtitles, ce sont ses API qui permettent une intégration dans des tas de logiciels comme VLC…

D’ailleurs, il existe une extension baptisée VLSub qui permet de rechercher, télécharger et utiliser directement les sous-titres depuis VLC.

Pour mettre en place cette extension, il suffit de télécharger le fichier vlsub.lua puis de le placer dans le répertoire ci-dessous (à choisir en fonction de votre OS) :

  • Windows (Tous utilisateurs): %ProgramFiles%\VideoLAN\VLC\lua\extensions\
  • Windows (Utilisateur courant): %APPDATA%\vlc\lua\extensions\
  • Linux (Tous utilisateurs): /usr/lib/vlc/lua/extensions/
  • Linux (Utilisateur courant): ~/.local/share/vlc/lua/extensions/
  • Mac OS X (Tous utilisateurs): /Applications/VLC.app/Contents/MacOS/share/lua/extensions/
  • Mac OS X (Utilisateur courant): /Users/%votre_nom%/Library/Application Support/org.videolan.vlc/lua/extensions/

Une fois en place, lancez la vidéo qu’il vous plait, puis rendez-vous dans le menu VLC -> Extensions -> VLSub

vlsub

Vous devriez vous apparaitre cette fenêtre qui vous permettra de trouver le fichier de sous titres correspondant à votre vidéo, dans la langue de votre choix, soit à partir de son nom, soit à partir de son hash.

loul

Cliquez ensuite sur « Download selection » et hop, le sous-titre sera immédiatement actif en bas de votre vidéo.

Super classe non ?


Si vous fonctionnez avec des applications portables, aujourd’hui, je vous propose de tester FreenetForTraveler.

Il s’agit d’une version portable de Freenet (pour Windows), qui décompressera à la volée Freenet et Java et qui vous permettra d’utiliser le célèbre Darknet comme bon vous semble.

Screnshot_systray

Pas besoin d’installation donc. Il suffit de placer FreenetForTraveler sur une clé USB ou un disque dur externe pour s’en servir de manière autonome.

Pratique !