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Korben, roi d’internet, logo bébé avec des lunettes en mode thug life

A la manière de Nicolas Tesla qui voulait apporter de l’électricité gratuite au monde entier en passant par la stratosphère, Google vient de lancer une expérimentation en Nouvelle-Zélande afin d’apporter le net à ceux qui ne l’ont pas encore.

Baptisé Loon, ce projet consiste à faire voler des ballons sondes dans la stratosphère. Ces ballons sont reliés entre eux et au sol et fonctionnent comme un réseau Mesh. Ainsi, même à 20 km au-dessus de nos têtes, des antennes spéciales placées au sol peuvent alors établir une connexion avec les ballons de la même manière qu’un réseau 3G (avec sensiblement les mêmes débits).

Le projet est chouette et les loons, inspirés des ballons-sondes, sont équipés de panneaux solaires et circuleront dans le ciel à une altitude donnée, portés par les vents. Les ingénieurs de Google viennent d’en lancer 30 en condition réelle, sur lesquelles plus de 50 testeurs se connecteront.

Loon-mission-control

Même si les mauvaises langues diront que c’est juste pour aider ceux qui n’ont pas encore de net à consommer de la pub Adsense, on peut se demander aussi comment va faire Google pour éviter que ses ballons partent n’importe où…

En réalité, les vents qui portent ces ballons suivent une trajectoire qu’il est facile de déterminer. À grande échelle, il serait donc possible d’établir une ou plusieurs ceintures de ballons autour de notre belle planète qui tourneront comme ça sans fin.

Ça ne remplacera pas les moyen d’accès traditionnels mais Loon répondra à un besoin pour les zones rurales ou les zones coupées du réseau lors d’une catastrophe naturelle.

Source


Les amis, j’ai encore un truc bien barré à vous proposer. Le 7 juillet prochain aura lieu au Domaine de Saint-Cloud une course de caisses à savon organisée par Red Bull.

Mais au fait, ça vient d’où ça les caisses à savon ?

Et bien à Dayton, dans l’état Américain de l’Ohio, il y a plus d’un siècle, vivait un homme d’affaires à qui il prit la fantaisie de bâtir un engin de course à partir des robustes conteneurs dans lesquels il transportait du savon. Il décida de placer une roue de chaque côté de ce véhicule de bois et d’y joindre un simple mécanisme de direction à essieu pivotant. Ceci suffit à parachever un bolide qui continue aujourd’hui à susciter l’engouement : la caisse à savon de course. Durant les dix dernières années, plus de 50 courses RED BULL CAISSES A SAVON ont été organisées dans plus de 25 pays, et dans des dizaines de villes, de Los Angeles à Vancouver en passant par Jérusalem et Monterrey…

Avec l’ami Tuxboard, on va y participer et on aimerait aussi que vous soyez de la partie. Alors l’idée c’est quoi ? Et bien les lecteurs de Tuxboard vont concevoir l’avant de la caisse et nous l’arrière. On peut vraiment se lâcher et faire ce qu’on veut. Les gagnants (1 chez moi, 1 chez Tuxboard) viendront participer avec nous.

60 équipes participantes au RED BULL CAISSES A SAVON en ont à revendre. Par équipes de 4 (1 pilote et 3 pousseurs), ils conceptualisent, fabriquent et pilotent leur engin. Si la sélection s’effectue en fonction de la créativité et de la propension à rouler, les constructions doivent tout de même respecter des contraintes techniques précises comme la largeur qui doit être inférieure à 2 m, la longueur inférieure à 5 m et le poids en dessous de 80 kg (sans le pilote), sans compter le système de freinage et la direction qui doivent être en parfait état de fonctionnement.
Et les engins ont plutôt intérêt à rouler vite, car c’est sans moteur qu’ils dévalent les 500 m de circuit, large de 5 à 8 m. Virages en épingles, lignes droites inclinées et dénivelé pouvant atteindre 12%… les bolides doivent tenir la route sans chuter au risque de perdre des secondes cruciales au chronomètre !
Un jury composé de sportifs et de célébrités désignera les vainqueurs en fonction du meilleur temps réalisé et de l’originalité des bolides.

Du coup, si ça vous branche et que vous êtes un peu créatif, vous pouvez laisser un commentaire à la suite de cet article avec un descriptif (texte) de ce que vous imaginez et y attacher un dessin si vous savez dessiner. Pensez aussi à poster avec un email valide que je puisse vous contacter ensuite. N’hésitez pas à rebondir sur les idées des uns et des autres, l’émulsion, y’a que ça de vrai !

Envoyez-moi ça avant Mardi 18 juin à 12h.

Pas de limite à la folie surtout pour faire une demi-caisse « Korben.info ». Ensuite, j’éplucherai tout ça mardi prochain et je recontacterai le gagnant qui fera partie de l’équipe (en tant que pousseur ou co-pilote). Son transport et son hébergement seront pris en charge.

Et surtout, on assemblera ce magnifique arrière avec le magnifique avant de Tuxboard et j’espère bien sûr qu’on remportera la course !!!

Je compte sur vous !


Je ne sais pas si dans votre ville, la mairie a investi dans des radars pédagogiques, mais si c’est le cas, je pense que cette news va vous faire marrer.

Spiwit m’a envoyé un tweet hier pour me signaler que ce genre de panneau fonctionnait en Bluetooth. Ce qui est drôle, c’est qu’un code PIN à 4 chiffres pour protéger du Bluetooth, ça peut se casser rapidement avec un petit bruteforce. M’enfin, pas la peine de pousser jusque là, puisque le code de ces panneaux est celui par défaut, à savoir 0000. C’est d’ailleurs un code classique qu’on retrouve sur la plupart des appareils bluetooth, et il appartient à l’acheteur de cet appareil de le changer. Évidemment, l’installateur ou la Mairie ne prend pas la peine de le changer.

 jcb

Et alors ? me direz-vous…

Connecter un téléphone en Bluetooth à ce genre de panneau ne va pas vous emmener très loin sans le logiciel qui permet de le configurer… Sauf que ces logiciels sont librement accessibles sur le net. Par exemple, les logiciels Windows à destination des panneaux EKO et Tomi de marque Jcbetco sont librement accessibles ici.

Vous l’aurez compris, en théorie, n’importe qui peut donc configurer ces panneaux à partir d’un ordinateur Windows. Je dis en théorie, car je n’ai pas poussé plus loin mes recherches pour ne rien hacker.

tomisoft

 EKO

panal

Mais si je me base sur la documentation, ce qu’on peut modifier sur ce genre de panneau est plutôt sommaire… Seuils des vitesses, clignotements, affichage des points perdus, récupération des statistiques liées au trafic routier, et surtout un petit texte « libre » où vous pouvez indiquer ce que vous voulez… D’ailleurs, si j’en crois la dernière news disponible sur le site de Jcbetco, certains ont déjà joué avec …

 bousin

Oui, oui, comme si un installateur allait mettre « Fuck You ! » pour faire une démo… surtout que si j’en crois la capture logicielle ci-dessus, il y a déjà un mode « démo » intégré (et sans insulte).

Moi je pense plutôt à un petit malin qui a piraté le bousin.

Je sais que Spiwit se penche actuellement sur un radar pédagogique d’une autre marque. Il semblerait que le fonctionnement de celui-ci soit assez similaire. Il est beaucoup plus pointu que moi techniquement sur ce genre de choses donc on risque d’en apprendre un peu plus dans les jours à venir.

Quoiqu’il en soit ce serait bien que ces sociétés fassent rapidement une petite mise à jour avec au moins un code PIN Bluetooth aléatoire (et pas 0000), un vrai mot de passe pour accéder à l’interface et allez, soyons fous, qu’elles retirent leurs logiciels pros du net.


Histoire de vous mettre dans le bain tout de suite, je ne porte plus de montre depuis que je suis rentré en seconde au lycée. Je n’avais pas encore de téléphone portable pour m’indiquer l’heure donc je devais me démerder autrement, mais ce fut pour moi comme une libération psychologique.

Avant j’avais pris l’habitude de retirer ma montre à chaque période de grandes vacances. Ne plus avoir de montre, c’était synonyme de liberté. Observer le temps qui passe est quelque chose de très stressant. On se presse, on se demande si on va avoir le temps, on angoisse sur l’heure de sa propre mort qui arrive à grands pas…

Le bracelet au poignet, c’est pour moi toujours aussi lourd à porter. C’est un genre d’entrave pour esclaves du temps, un peu comme la cravate l’est pour certains.

Du coup, en retirant cette foutue montre à temps complet, c’était un peu comme si j’étais en vacances à l’année. J’étais beaucoup plus relax, moins dans le speed, moins à regarder le temps qui passe toutes les xx secondes.

Quelques années ont passé et maintenant, l’heure, je l’ai sur le portable et sur l’ordi. Mais ça va, j’ai moins de contraintes de temps qu’à l’époque, donc je la regarde très peu?

Évidemment, j’ai parfaitement conscience qu’une montre, c’est aussi un bijou, quelque chose qui peut être très joli et agréable à porter et que je devrais peut être aller voir un psy pour régler ce petit problème que j’ai avec les montres.

Je suis parfaitement d’accord avec vous !

Toutefois, j’ai pris le temps de tester durant quelques jours la montre connectée Pebble qui a fait le buzz il y a environ 1 an, grâce à un Kickstarter réussi ! Je ne l’ai pas porté longtemps au poignet à cause des raisons précédentes, mais surtout parce qu’il s’agit d’une montre de prêt et que je ne voulais pas l’abimer.

J’ai vu que le bracelet en plastique pouvait être aussi remplacé par un bracelet standard en cuir (ou en moustache) ce qui peut être sympa. Concernant l’aspect extérieur de la montre, je m’attendais à un truc vraiment plus gros. Finalement, la Pebble est d’une taille et d’une épaisseur parfaitement raisonnables et ils ont fait un effort sur le look en proposant différents coloris (noir, blanc, orange, gris ou rouge).

Elle est équipée de 4 boutons. 1 pour valider, 2 pour naviguer dans les menus vers le bas ou le haut et 1 pour revenir en arrière. Elle se recharge via un connecteur USB et dispose d’une autonomie qui tourne aux alentour des 7 jours si on ne joue pas trop avec. Notez aussi que votre téléphone perdra lui aussi un peu en autonomie à cause de la connexion Bluetooth.

 frame

kickstarter

Maintenant, le petit plus de la montre Pebble, c’est sa connexion Bluetooth. En effet, cette petite montre peut s’associer avec votre iPhone ou votre téléphone Android. Ensuite, il faut installer le logiciel officiel Pebble sur votre téléphone, ce qui permettra entre autres de gérer les mises à jour, le réglage de l’heure et de la date, les notifications… etc.

 MAJ

Ainsi, grâce à cette montre, vous pourrez (de base), être alerté via une petite vibration à votre poignet que vous avez reçu un SMS, un email, un message Facebook, un message Gtalk, ou que vous avez un appel entrant. Évidemment, le nom de votre correspondant ou son message peut s’afficher sur l’écran de la montre.

Vous pouvez aussi piloter votre musique de manière assez basique. Lecture/Pause, Suivant, Précédent.

 musique

D’ailleurs cet écran, parlons-en. Il s’agit d’un écran e-ink (encre électronique) noir qui me fait penser un peu aux écrans à cristaux liquides, mais en beaucoup plus joli. La montre est rétroéclairée donc vous pouvez lire l’heure dans le noir. Cependant, je trouve quand même l’écran un peu trop sombre pour que la lecture de l’heure et des notifs soit réellement agréable. Mais bon, c’est mon avis, et vous ça vous conviendra peut-être parfaitement.

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La montre est waterproof et dispose surtout d’un SDK ouvert qui permet à n’importe quel développeur motivé de créer des applications mobiles capables d’interagir avec la Pebble. Il est aussi possible d’inventer de nouvelles applications natives ou watch faces pour la montre elle-même.

Qu’est ce que c’est qu’une Watch Face ? Et bien c’est le look de votre montre. Numérique, à aiguille, ou techno-geek-hacker-kikoo pour lire l’heure en binaire, avec Mario ou le Nyan Cat. Il y en a vraiment pour tous les goûts. J’ai trouvé ça plutôt cool de pouvoir pousser aussi loin ce degré de personnalisation.

 watch-faces

Autrement, niveau applications, on trouve un tas de trucs sur le Play Store Android : Possibilité de localiser son téléphone en le faisant bipper à partir de la montre, transmission des notifs en tout genre (twitter, alertes système, alerte météo… etc.) vers la Pebble, calendrier, suivi pour le sport, possibilité de reprogrammer les boutons de la montre pour qu’ils effectuent des actions sur le téléphone… etc.

Grâce au SDK de le Pebble, il est possible de tout imaginer et les développeurs d’apps comme RunKeeper (pour la course) ou FreeCaddie (pour le golf) commencent à intégrer le support de la Pebble dans leurs softs. Concernant les applications natives (watch apps) vous pouvez aussi avoir un petit aperçu de ce qui se fait en jetant un œil à ce site. On y trouve des jeux, des utilitaires et même un vibromasseur (Quoi ? Ma soeur ?) !

En truc rigolo que j’ai vu avec le Pebble, y’en a qui ont fait un peu de domotique avec, d’autres récupèrent la météo (ou d’autres infos genre les résultats du sport ou le ping de leur serveur) via IFTTT et la balance sur la montre, d’autres enfin l’utilisent pour récupérer les notifs Google Maps et ainsi avoir du guidage GPS étape par étape sur leur montre.

Enfin, niveau prix, le revendeur français La Montre Bleue qui m’a prêté cette Pebble, la propose à moins de 200 € sur son site.

Vous l’aurez compris, la Pebble n’en est encore qu’à ses débuts, mais le fait que chacun puisse utiliser le SDK PebbleKit  pour en faire ce qu’il veut ouvre des possibilités de dingue aussi bien en terme applicatif pur qu’en terme de personnalisation d’affichage. Bref, vous avez de quoi vous amuser.


Chers amis amateurs de smartphones Android, bonjour !

Une fois n’est pas coutume, on m’a prêté un téléphone ! Hé oui, Samsung n’a pas eu peur et m’a laissé pendant quelques jours son Galaxy S4. L’occasion pour moi de le tester et de le comparer avec mon S3.

Avant tout, je dois vous dire que ce Samsung Galaxy S4 est tellement bien foutu qu’il en est ennuyeux. Je vais donc éviter la re-dite de test relou et juste souligner les trucs qui m’ont bien plu avec ce smartphone. Pour le reste, il y a Google et je pense que vous savez vous en servir.

Les caractéristiques

Niveau matos, voici ce qu’il a dans le ventre :

  • Un écran 5p Full HD Super Amoled qui fait du 1080p et sur lequel j’ai pris plaisir à mettre mes doigts tout gras
  • Un quad core 1,9 Ghz Snapdragon 600
  • 2 Go de RAM
  • Wifi, Bluetooth, NFC, LTE (4G)
  • Un appareil photo 13 mégapixels / 720p pour les vidéos
  • Un capteur IR pour faire mumuse avec la TV
  • Une batterie 2600 mAh
  • et le mien avait 64 GB de mémoire.

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Différences avec le S3

Au niveau des différences avec le S3, pas grand-chose en fait. C’est tout en plastique, et le S4 doit faire à vu d’œil quelque chose comme 0,5 mm de plus de chaque côté. Par contre, l’écran prend quasiment toute la place et ça c’est plutôt cool. Surtout qu’il flashe bien et que le rendu des couleurs est top !

Niveau matos, le S3 a un écran 4,8p, un quad core 1,4 Ghz, 1 Go de RAM et un appareil photo à 8 megapixels. On gagne donc en perf avec ce S4 qui finalement ne prend pas plus de place dans la poche et qui pèse sensiblement le même poids que le S3.

Concernant de l’autonomie, ça semble durer un peu plus longtemps que mon S3, mais c’est difficile à quantifier, car je suis du genre à tester plein d’applications résiduelles et pleins de ROMs qui sucent à mort. (Sans arrière pensée bien sûr !)

J’vous l’avais dit, il est chiant tellement il est bien ^^

L’OS

Bon, vu que niveau matos, je n’ai pas grand-chose à redire, je vais me concentrer sur l’OS qui n’est ni plus ni moins un Android 4.2.2 (Jelly Bean). Ce que j’apprécie depuis toujours avec Samsung, c’est qu’ils déploient assez rapidement les nouvelles versions d’Android.

Bon, c’est encore et toujours du Touchwiz… On aime ou on n’aime pas. Moi perso, je m’y suis fait et je trouve ça très bien. J’ai remarqué que le menu « Paramètres » était tellement fourni que Samsung a choisi de le présenter avec des onglets, ce qui rend tout ceci beaucoup plus lisible.

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Sur cette ROM stock, on retrouve donc le support du NFC, la fonctionnalité S Beam qui permet de transférer des fichiers simplement en rapprochant 2 appareils et du partage DLNA pour balancer ses fichiers sur les autres appareils de la maison.

Ces petites conneries peuvent vous sembler anecdotiques puisqu’on trouve des logiciels équivalents dans le Play Store, mais moi je trouve ça vachement pratique que ce soit disponible de base. Même chose avec la vidéo en vignette qu’on avait déjà sur le S3.

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Autre truc que j’ai découvert un peu par hasard, c’est la fonctionnalité Screen Mirroring qui permet par exemple de streamer une vidéo que vous êtes en train de lire sur votre téléphone, directement sur votre télévision par exemple. Génial pour les soirées diapos.

Si vous pratiquez la synchro avec votre ordinateur, sachez aussi que Kies en version WiFi est enfin inclus de base.

Un autre truc qui est indispensable pour moi, c’est ce que Samsung appelle le Smart Screen (oui, tout est « smart » chez Samsung ^^). En gros ce sont des options qui permettent d’éviter la mise en veille de votre écran lorsque vous le regardez ou qui permettent de mettre en pause une vidéo lorsque vous ne la regardez plus. Même chose, c’est dans ces petits riens qu’on sent que Samsung a mis le paquet sur l’ergonomie et pour soutenir son marketing « Designed for humans ». En tout cas, moi ça me rend bien service.

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Bon, après le truc des mouvements comme dans le S3, ça ne sert pas à grand-chose. Bouger sa main au-dessus sur téléphone pour faire défiler des pages web ou des images, à moins que vous ayez les mains sales toute la journée (si vous faites la cuisine ou que vous débouchez les chiottes) ce n’est pas ce qu’il y a de plus indispensable.

Un de mes coups de cœur dans cette ROM, c’est l’appareil photo qui permet vraiment de faire des choses sympa. Prise de son avec la photo, mode rafale qui permet de fusionner plusieurs photos afin d’en obtenir une où tout le monde sourit et regarde l’appareil, et surtout, top du top, le déclenchement automatique à la voix. Si comme moi, vous prenez toujours des photos à bout de bras et ce genre de truc un peu galère, il vous suffit de dire « Capture » ou « Cheese »…etc. et hop, l’appareil prendra automatiquement la photo !

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Coucou, j’ai été au bois et j’ai fait une carte postale !

L’autre application avec laquelle j’ai pas mal joué, c’est S-Health. Il s’agit d’une application qui fait office de podomètre. Vous vous fixez un objectif journalier (par exemple, 13 000 pas) et le téléphone comptabilisera vos exploits de marcheur automatiquement, que vous ayez votre téléphone à l’oreille, dans une poche ou un sac. S-Health permet aussi de faire un peu de suivi alimentaire ou d’exercice. Un bon truc pour les geeks qui souhaitent s’activer un peu.

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Niveau bugs, je n’ai pas trouvé grand-chose… Instagram déconne légèrement (quand on joue avec le contraste), mais ça, ce sera réglé dans la prochaine mise à jour du logiciel. Autrement, j’ai eu la mauvaise idée d’installer le synthétiseur vocal, ce qui a eu pour effet d’obtenir un « Page chargée » audio dès que je consulte une page web. Impossible de le désactiver, c’est un bug connu. Seule solution, désinstaller ce truc de synthèse vocale. C’est tout ce que j’ai trouvé, autant dire pas grand-chose… La ROM est parfaitement stable.

Alors, concrètement, est-ce qu’il vaut le coup ?

Et bien c’est une bonne bête niveau matos. Mais la force de Samsung réside dans les logiciels compagnons et les customisations de la ROM. Si vous avez déjà un S3 et que celui-ci est fonctionnel, je dirai qu’il n’y a pas grand intérêt à changer surtout avec la ROM pour S3 qui arrive et qui reprend certaines des fonctionnalités du S4. Mais si vous avez un autre téléphone plus ancien, pourquoi pas. Je dirai que c’est un peu la même conclusion que nous avons eu lors du passage de l’iPhone 4S à l’iPhone 5… Pas une révolution, mais un bon téléphone bien abouti.

Comment le rooter ?

Ahaha, la grande question ! Je n’ai pas pu le rooter (téléphone de prêt oblige), mais il suffit de télécharger l’un des pack Autoroot ici :

et de suivre le même tuto que celui que j’ai posté ici avec Odin (dernière partie à la fin).

Et maintenant ?

Et bien, vous pouvez passer votre chemin, ou foncer chez PriceMinister qui justement fait une promotion sur le S4 jusqu’à samedi seulement. Génial pour la fête des pères surtout qu’il est dispo au même prix en noir et en blanc. D’habitude, le blanc est 30 € plus cher alors profitez-en !

Liens affiliés valides jusqu’à samedi 15 juin.

Allez, bonne nuit à tous !