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Korben, roi d’internet, logo bébé avec des lunettes en mode thug life

Ça faisait bien longtemps que je ne vous avais pas partagé une petite bande-annonce sur ce site, mais il faut dire que le cinéma a tellement augmenté ces dernières années qu’il fallait rester raisonnable.

Mais ce petit film me dit bien. Il s’agit du nouvel opus de Ghostbusters ! Mais si, souvenez-vous, les chasseurs de fantômes dans leur combi kaki qui sillonnent New York pour attraper les petits fantômes qui font peur aux gens.

Bref, vous allez retrouver la famille Spengler qu’on avait revue dans l’épisode 4 mais surtout la mythique caserne de pompiers. Ces derniers découvrent un artefact ancien qui malheureusement déchaine une force maléfique prête à plonger le monde dans une ère glaciaire sans retour. Les anciens Ghostbusters et les nouveaux unissent alors leurs forces et leurs gadgets pour sauver leur ville et bien sûr le monde (effet de bord, tu connais).

Ghostbusters : Frozen Empire a donc l’air d’un excellent pizza-movie pour toute la famille que vous pourrez retrouver au cinéma le 22 mars prochain si évidemment, il vous reste un peu de blé après le 15 du mois.

Source


— Contient des liens Amazon affiliés sataniques —

Dans le cadre de mon boulot, il arrive que je me déplace un peu partout. J’ai donc besoin de recharger mon ordinateur et mon smartphone assez souvent et depuis n’importe où. Et comme j’habite du côté de Clermont-Ferrand, il arrive aussi parfois que je reste plus longtemps que prévu dans un train sans électricité. (heureusement, j’ai esquivé cette panne-là…)

Mais malheureusement, y’a pas tout le temps de prise de courant à dispo pour voler « emprunter » un peu d’électricité. J’avais donc besoin d’une bonne batterie externe.

Un petit tour sur Internet pour regarder les comparatifs et j’ai fini par trouvé mon bonheur : La batterie Anker 737 (PowerCore 24K). Après quelques semaines d’utilisation, je suis conquis. Tout d’abord, cette batterie affiche une capacité de 24 000 mAh. Elle peut donc prendre l’avion en cabine et permet de recharger entièrement environ 4 ou 5 fois n’importe quel smartphone ou 1,5 / 2 fois n’importe quel ordinateur portable.

Son design compact (15.6 x 5.5 x 5 cm) change un peu des batteries plus plates et allongées auxquelles Anker nous a habitués. On aime ou on n’aime pas et ça dépend comment vous la transportez ou si vous voulez la lancer sur quelqu’un dans une situation d’autodéfense, mais en termes de volume, je dirais que ça prend la même place que mon ancienne Anker PowerCore Speed. Par contre, elle est vachement plus puissante et embarque un peu plus d’électronique, donc fatalement, elle pèse un peu plus lourd. Vous vous en doutez, ce qui n’est pas un souci pour moi puisque je vais plus souvent à la salle que Tibo.

Avec la techno Anker Power Delivery 3.1, elle offre donc une charge rapide de 140 W. En gros en 40 min, elle peut recharger de 50% votre Macbook Pro.

Et niveau recharge sur le courant, c’est la même. Suffit de la brancher sur le secteur et elle se remplie à 100% en un peu plus de 50 minutes. C’est 7 fois plus rapide qu’avec les anciens modèles de batterie que j’avais et ça c’est très appréciable. Sur la 737, il y a 2 ports USB C et un port USB A, donc rien d’exotique et ça vous permettra d’y brancher jusqu’à 3 appareils.

Maintenant, le côté « geek » de cette batterie, c’est son écran qui affiche la quantité de jus disponible, mais également la puissance diffusée en entrée comme en sortie. En effet, la batterie contrôle en temps réel la puissance délivrée et la chaleur produite pour éviter de faire surchauffer ou abimer vos appareils ou la batterie elle-même. Elle est donc beaucoup plus protectrice et « intelligente » que n’importe quelle autre batterie ou qu’un sugar daddy complotiste.

J’ai également des panneaux solaires à la maison, donc je m’en sers pour stocker un peu d’énergie solaire en journée, que je réutilise ensuite quand cette feignasse de soleil est couchée. Puis comme j’ai souvent la flemme de brancher l’ordinateur sur une rallonge ou que ça me saoule de me poser obligatoirement sur la table de salon parce qu’y’a que là que je peux choper une prise pas trop loin, cette batterie est également super pratique pour continuer à m’installer un peu partout pour bosser chez moi quand y’a plus de jus dans l’ordinateur.

Voilà pour moi c’est validé, surtout que Anker est pour moi l’une des meilleures marque en matière d’adaptateur et de batteries externes, même si j’aurais apprécié que ce soit un peu moins lourd.

À découvrir ici.


Après vous avoir présenté WirePiUS ou encore Netmaker qui permettent de créer facilement des réseaux VPN basés sur Wireguard, je tiens aujourd’hui à vous présenter NetBird.

Ce logiciel libre qui s’installe sur un serveur en moins de 5 min, va vous permettre de créer un réseau privé sécurisé pour votre organisation ou simplement votre petit chez vous.

L’idée, vous l’aurez compris, c’est de pouvoir connecter plusieurs sites éloignés ou simplement partager des fichiers volumineux et confidentiels avec vos collègues en toute sécurité. Ainsi, la plateforme Netbird combine un VPN Wireguard sans configuration, un système de contrôle d’accès centralisé et utilise WebRTC ICE, STUN et TURN pour établir des connexions entre machines.

Bien sûr, la double authentification est de la partie comme vous pouvez le voir sur la vidéo ci-dessous :

Pour installer NetBird, il vous faudra Docker avec docker-compose et jq + curl installés.

Avant de commencer, assurez-vous d’avoir les éléments suivants :

  • Une machine Linux avec au moins 1 CPU et 2 Go de RAM.
  • La machine doit être accessible publiquement sur les ports TCP 80 et 443 et UDP : 3478, 49152-65535.
  • Un nom de domaine public pointant vers la machine.
  • Docker installé sur la machine avec le plugin docker-compose (guide d’installation de Docker).
  • jq installé. jq est généralement disponible dans les dépôts officiels et peut être installé avec la commande
    sudo apt install jq 
    ou 
    sudo yum install jq
  • curl installé. curl est généralement disponible dans les dépôts officiels et peut être installé avec la commande 
    sudo apt install curl 
    ou
    sudo yum install curl

Téléchargez et exécutez le script d’installation :

export NETBIRD_DOMAIN=votre-domaine-public.com; curl -fsSL https://github.com/netbirdio/netbird/releases/latest/download/getting-started-with-zitadel.sh | bash

Ce script téléchargera et exécutera l’installation de NetBird sur votre machine. Il vous demandera de saisir le nom de domaine public que vous souhaitez utiliser pour NetBird.

Puis pour démarrer le service NetBird:

docker-compose up -d

Cette commande démarrera tous les conteneurs Docker nécessaires à l’exécution de NetBird.

Une fois l’installation terminée, vous pouvez gérer les ressources NetBird via docker-compose. Par exemple, pour redémarrer le service NetBird, vous pouvez exécuter la commande suivante :

docker-compose restart netbird

Vous pourrez alors accéder à l’interface utilisateur Web de NetBird via votre nom de domaine public.

Génial non ? Ça n’a jamais été aussi simple d’avoir son réseau privé virtuel et bien sûr hautement sécurisé. Suffit d’une petite box Linux et roule ma poule.

Vous aurez plus d’infos sur Netbird ici.


Même si étant sous macOS, c’est le genre de truc que je fais nativement avec l’application « Aperçu », tout le monde ne sait pas forcément signer, annoter ou écrire sur un document PDF. Je vois d’ailleurs encore beaucoup d’âmes perdues qui téléchargent illégalement Adobe Acrobat pour justement faire tout ça.

Mais plus besoin de vous prendre la tête. Grâce au service PDF de l’éditeur de logiciel 24eme, vous allez pouvoir signer un document, écrire dessus ce dont vous avez envie et le télécharger, ce qui vous évitera de l’imprimer pour faire tout ça à la main.

Et vous pouvez même le partager à d’autres personnes pour que chacun puisse apposer sa signature. Et vous au final, vous récupérerez le document signé par tout le monde. Gain de temps assuré même si c’est moins « propre » que de passer par un service comme Docusign ou Yousign.

En plus de ça, le site propose d’autres onglets qui vous permettront de fusionner, trier, pivoter, supprimer, extraire des pages, mais également ajouter, modifier ou supprimer les métadonnées d’un PDF. Et si votre PDF est trop gros pour être envoyé par mail, vous pourrez même réduire sa taille.

Tout ça gratuitement !

Il est évidemment naturel de se soucier de la sécurité des documents lorsqu’il s’agit de les partager en ligne, surtout si ces documents contiennent des informations sensibles. 24eme stocke tous ces documents sur un serveur sécurisé et en limitant l’accès au document aux personnes disposant du lien unique. Mais si vous voulez l’autohéberger pour plus de maitrise des données, ce n’est pas un souci non plus puisque les sources se trouvent ici.


Vous le savez, je suis un grand amateur et un grand défenseur des logiciels libres et Open Source. Et je n’ai pas peur de le dire, GitHub est l’un de mes sites préférés.

On y trouve des pépites comme des scripts incroyables, des outils géniaux et j’adore ça ! Mais ce n’est pas forcément toujours simple de suivre tout ce qui se passe dans cet univers.

Enfin, ça, c’était avant parce qu’il existe un site génial qui s’appelle OSS Insight et qui offre des informations très détaillées et des tendances sur le monde de l’open source en analysant plus de 5 milliards de lignes d’événements GitHub.

Il fournit une nouvelle façon d’explorer les données GitHub en posant simplement des questions en langage naturel, ce qui est extrêmement pratique quand on veut comparer les choses.

Par exemple, OSS Insight vous permet de comparer deux dépôts à partir des mêmes indicateurs, tels que les étoiles, les forks, les issues, les commits, les pull requests, le nombre de contributeurs, les langages de programmation utilisés ou encore les lignes de code modifiées.

Imaginez que vous travaillez sur un projet et que vous souhaitez comparer deux bibliothèques open source pour déterminer laquelle est la plus populaire et la mieux maintenue. Et bien il suffit de lui demander.

Mais ça ne s’arrête pas à ça. Voici quelques exemples de questions que les gens posent à l’outil :

En plus de cela, OSS Insight offre des informations sur les tendances techniques mensuelles avec des listes de dépôts à découvrir.

Comme ça, vous pouvez suivre de près certains types d’outils populaires, comme les bases de données, les frameworks JavaScript ou encore les outils liés aux LLM. Vous pouvez également obtenir des analyses sur la productivité des développeurs et les statistiques des dépôts.

Pour tester le OSS Insight, il vous suffit de vous rendre sur leur site web et de plonger dans cet océan de données.