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Korben, roi d’internet, logo bébé avec des lunettes en mode thug life

Bonne nouvelle si vous utilisez WSL (Windows Subsystem for Linux), vous devriez bientôt échapper au bon vieux terminal puisque Microsoft travaille actuellement sur une interface qui nous permettra de gérer nos distros Linux adorées directement depuis Windows 11.

Les petits gars de chez Microsoft ont tout prévu puisqu’il y aura un onglet dédié dans Dev Home qui va permettre de voir vos VM, d’afficher leur conso, de les supprimer, de les mettra par défaut…etc. Bref, de tout gérer en mode click-o-drome comme d’hab chez krosoft.

Ils ont également pensé à un système pour y monter des disques formatés sous Linux, gérer les mises à jour et nous tenir au jus des dernières nouveautés. C’est pas beau ça ?

Le but pour Microsoft, c’est surtout de démocratiser WSL et de le rendre accessible au plus grand nombre. Bon, bien sûr pour le moment, tout n’est pas encore parfait et il y a encore du taf pour rendre l’intégration vraiment fluide et trouver le bon équilibre entre simplicité et fonctionnalités. Mais je leur fais confiance ^^.

Bref, surveillez bien les mises à jour de Dev Home dans les prochains mois, parce que ça va bouger ! Et si vous voulez suivre l’avancée du projet, n’hésitez pas à checker régulièrement le repo GitHub.

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Accrochez-vous à vos chapeaux à rayures, le bio-exorciste le plus déjanté du cinéma est de retour pour vous hanter ! 35 ans après avoir mis le feu aux salles obscures avec son humour macabre et son esthétique inimitable, Beetlejuice s’apprête à faire son grand come-back sur grand écran. Et pour ce retour très attendu, le réalisateur gothique Tim Burton a réuni un casting en or, avec en tête d’affiche le seul et unique Michael Keaton (a.k.a. Julien Lepers) dans le rôle-titre qui l’a révélé au monde entier. J’y croyais pas !

Beetlejuice, pour ceux qui auraient eu la malchance de passer à côté de ce classique absolu des années 80, c’est l’histoire complètement loufoque d’un couple de fantômes aussi gentils que coincés (Geena Davis et Alec Baldwin) qui font appel à un excentrique « bio-exorciste » (Michael Keaton) aux méthodes peu orthodoxes pour chasser de leur maison hantée une famille d’humains envahissants, les Deetz. Le tout orchestré par un Tim Burton.

Pour cette suite très attendue intitulée Beetlejuice Beetlejuice (Attention, une fois de plus et vous êtes mal !), le cinéaste aux influences gothiques remet le couvert avec Michael Keaton, qui n’a rien perdu de son énergie folle et communicative sous les traits du fantôme déluré. À leurs côtés, on retrouve également Winona Ryder qui reprendra son rôle de Lydia, l’ado délicieusement morbide et seule humaine capable de voir et d’interagir avec Beetlejuice.

Mais la vraie surprise du casting (non), c’est la présence de la jeune actrice prodige Jenna Ortega, révélée récemment dans la série à succès Mercredi (produite par Burton également), qui incarnera la fille de Lydia. Nul doute qu’entre Ortega et le duo Burton/Keaton, l’alchimie devrait être électrique à l’écran !

Beetlejuice Beetlejuice promet d’être une suite fidèle à l’esprit décalé et irrévérencieux de l’original, en y ajoutant une bonne dose de nostalgie et de clins d’œil aux fans de la première heure. Au menu : des effets spéciaux encore plus dingues, des répliques cultes à foison (« It’s showtime ! »), des créatures monstrueuses et loufoques qui n’ont pas peur d’en faire des tonnes, et bien sûr un humour noir assumé qui lorgne parfois vers le macabre. Bref, du pur Burton dans toute sa splendeur !

Côté intrigue, les détails restent encore assez mystérieux, mais on sait que l’histoire se déroulera plusieurs années après les événements du premier film. Lydia, désormais adulte, est de retour dans la maison hantée de son enfance avec sa propre fille, Astrid. Mais à l’instar de sa mère au même âge, l’ado rebelle ne tarde pas à invoquer Beetlejuice par inadvertance, libérant à nouveau le fantôme fou dans le monde des vivants. S’ensuivra un joyeux bordel paranormal et délirant comme Tim Burton en a le secret.

Espérons juste qu’il sera à la hauteur de nos souvenirs d’enfance émerveillés devant le premier film.

Ca sort début septembre 2024 au cinéma 🙂

Merci à Lorenper pour l’info !

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Vous connaissez sûrement la fameuse boîte de dialogue « Format » présente dans toutes les versions de Windows, des plus anciennes aux plus récentes. Mais si, cette grande fenêtre verticale pas sexy pour un clou avec toutes les options pour formater votre clé USB ou votre disque dur.

Je parle de ça :

Et bien, vous êtes-vous déjà demandé pourquoi son apparence semble un peu beaucoup vintage aujourd’hui ? Et bien bizarrement, il s’agissait en réalité d’une solution temporaire qui dure maintenant depuis près de 30 ans !

L’histoire nous est offerte par Dave Plummer, vétéran de Microsoft qui a œuvré sur des fonctionnalités légendaires comme le Gestionnaire des tâches, le célébrissime jeu Pinball ou encore le support natif des fichiers ZIP. En 1994, Dave et ses collègues s’attelaient au portage des pelletées de lignes de code de Windows 95 vers NT, dont une refonte de l’interface de la boîte de dialogue Format.

Ni une ni deux, notre cher Dave attrape une feuille, y gribouille la liste des fonctions indispensables, puis se rue sur le Resource Editor de Visual C++ 2.0 pour concevoir rapidement un prototype tout en hauteur. L’idée était de pouvoir cocher toutes les cases dans le bon ordre pour formater vite fait bien fait. Loin d’être un canon de beauté, cette maquette devait juste faire l’affaire en attendant l’arrivée de la vraie interface promise probablement par un designer qui une fois encore, n’a pas su se lever à temps.

Sauf que voilà, presque 30 ans plus tard, les utilisateurs de Windows attendent toujours ladite UI ! La solution temporaire s’est donc enracinée au fil des décennies. Même les builds preview de Windows 11 continuent de l’arborer fièrement, comme vous arborez fièrement à +50 balai votre t-shirt Metallica.

Comme le souligne Dave avec humour : « Faites gaffe quand vous committez des solutions ‘temporaires’ !« . De plus, son choix arbitraire de la taille maximale des clusters ce fameux jeudi matin a également figé pour l’éternité la taille limite d’un volume FAT à 32 Go. Un effet de bord tenace qui nous colle encore aujourd’hui aux basques.

Alors comment se fait-il que cette relique des années 90 ait pu traverser les âges au sein du système d’exploitation le plus utilisé au monde ? Après tout, Windows a connu des évolutions majeures de son interface comme Aero ou encore Fluent.

La réponse se cache peut-être dans l’adage « On ne change pas une équipe qui gagne« . Malgré son look suranné, la boîte de dialogue Format remplit son office à merveille. Son côté brut de décoffrage lui confère un certain charme utilitaire, que j’adore, qui en fait une icône indémodable de l’univers Windows, au même titre que le mythique écran BSOD (qu’on regrette… ou pas.) ou encore le fidèle Solitaire sur lequel peuvent compter tous les fonctionnaires de la planète.

Bref, ce truc est une vraie pièce de musée numérique et j’espère que la prochaine fois que vous formaterez quelque chose, vous la regarderez d’un autre œil, avec peut-être une petite larme d’émotion.

Allez, à plus les amis, et n’oubliez pas, comme avec votre partenaire, parfois, le provisoire… ça dure.

Source (merci à Bisti et Lorenper)


— Article en partenariat avec Surfshark VPN

Salut les amis, aujourd’hui on va plonger dans les méandres du monde numérique pour répondre à une question brûlante : est-ce que vous devez utiliser un VPN tout le temps ? Au vu de l’explosion des atteintes à la confidentialité en ligne, du nombre de fuites de données* ou de l’augmentation de la surveillance gouvernementale, il est plus que jamais utile de se munir d’outils pour se protéger.

* N’est ce pas France Travail, Urssaf et autres organismes de mutuelles ?  

Pour les nouveaux venus dans le merveilleux monde de la cybersécurité, un VPN est essentiellement un tunnel sécurisé entre votre appareil et Internet. Cela signifie que toutes vos données sont chiffrées (via algorithme AES-256 et protocoles IKEv2/IPse), ce qui rend beaucoup plus difficile pour les tiers de suivre vos activités en ligne. Tout de suite j’ai 3 raisons dans lesquelles vous devriez toujours utiliser un VPN qui me viennent en tête :

Sur les réseaux Wi-Fi publics : Lorsque vous vous connectez à un réseau Wi-Fi public dans un café, un aéroport, votre hôtel ou un AirBnB, vos données peuvent être interceptées par des pirates ou autres entités malveillantes. Utiliser un VPN protège votre trafic, assurant que même s’il est intercepté, il reste chiffré et donc inutilisable pour les attaquants.

Pour accéder au contenu géobloqué : de nombreux services en ligne restreignent leur contenu en fonction de votre emplacement géographique (les services de streaming comme Netflix ou Amazon Prime en tête). Un VPN vous permet de contourner ces restrictions en vous attribuant une adresse IP dans un pays différent, ce qui vous donne accès à un contenu qui serait normalement inaccessible depuis votre région (comme je l’ai expliqué dans mon article sur VPN et Amazon Prime Video).

Protéger votre vie privée : si vous êtes soucieux de votre vie privée en ligne, l’utilisation d’un VPN peut vous aider à rester anonyme. Votre fournisseur d’accès Internet (FAI) via le mode camouflage de Surfshark, les annonceurs et même les agences gouvernementales auront du mal à suivre vos activités en ligne. En modifiant sans cesse votre adresse IP (IP rotative), en vous créant des identités alternatives … vous diluez vos traces et les possibilités de recouper vos informations.

Surfshark VPN promo été 2023

En voilà juste 3, mais j’aurais pu en citer un tas d’autres même avec un cerveau en état de fatigue avancée :

  • Moins de ralentissements (parfois). Certains FAI limitent (limitaient ?) le débit alloué selon le service que vous utilisez (vous vous souvenez de Free et YouTube ?), le VPN permet de s’en affranchir.
  • Protéger votre famille qui s’y connait moins en sécu (surtout les enfants). Le nombre d’appareils pouvant être protégés par Surfshark est illimité et tous peuvent être utilisés simultanément. Pas de choix à faire, tout est couvert (smartphone, ordinateur, console, smart TV …)
  • Faire des économies lors de vos prochaines vacances
  • Éviter de se faire pister par les annonceurs et autres régies publicitaires (Surfshark Cleanweb)
  • Etc.

Maintenant au vu de tout ça on peut se demander s’il ne vaut pas mieux toujours avoir un VPN activé. Et bien pas forcément. Quand n’avez-vous pas besoin d’un VPN ? Lorsque vous utilisez applis et sites qui bloquent son utilisation. C’est assez souvent le cas des applications bancaires par exemple (ou PayPal). Dans ce cas vous devrez couper votre VPN ou mettre le site de votre banque en liste blanche. 

Le volume de data consommée par un smartphone pourrait être légèrement supérieur avec un VPN. Osef vous allez me dire, sauf si une débilité du genre proposition de Najat devenait concrète et pas juste un texte sortit d’une réalité alternative.

Si vous êtes déjà connecté à un réseau domestique sécurisé, l’utilisation d’un VPN peut amener plus d’inconvénients qu’autre chose (lenteurs sur certains vieux hardwares, etc.). Là c’est à vous de peser le pour et le contre en fonction de vos activités. Après il faut dire que pour l’utiliser depuis des années, Surfshark est quasi invisible, j’ai rarement expérimenté un surf lent. Surtout qu’ils sont passés sur un parc de serveurs à 10 Gb/s l’année dernière (je crois que tous ne sont pas encore améliorés, mais c’est en cours).

En fin de compte, la décision vous appartient. Comme toujours vous êtes seul maitre à bord de votre navire, c’est le bon côté de la vie parait (mais j’espère que vous savez nager). L’offre 2 ans de Surfshark VPN est actuellement à 71.45€ + 2 mois gratuits, soit moins de 2.75€/mois.

Profitez de Surfshark VPN !


Dispo sous Windows, Linux et macOS (Intel et Silicon), Reor est un outil de prise de notes markdown capable de s’auto-organiser. Cela signifie que l’outil utilise de l’IA localement pour vous aider à mettre de l’ordre dans vos idées.

C’est assez ouf puisque ça vous fera gagner un max de temps en reliant automatiquement vos idées, mais également en répondant à toutes vos questions en se basant sur vos notes. Reor offre également un moteur de recherche sémantique et le tout est stocké localement, ce qui évitera que vos données ne soient pompées.

Reor tire parti des géants tels que Llama.cpp, Transformers.js et LanceDB pour permettre à la fois aux modèles LLM et d’inférences de s’exécuter localement. Il est également possible de se connecter à des API compatibles OpenAI si vous le désirez.

Alors, comment fonctionne cette auto-organisation ?

En réalité, chaque note que vous écrivez est fragmentée et intégrée dans une base de données vectorielle interne. Les notes connexes sont automatiquement reliées par la similarité vectorielle. De plus, la base de Q&R alimentée par les LLM fonctionne sur un principe de RAG (Retrieval-Augmented Generation) sur le corpus de notes que vous lui avez donné. Exactement comme ce qu’on peut faire aujourd’hui avec des PDF et des outils comme PDFtoChat.

Pour commencer, rien de plus simple : il vous suffit de télécharger Reor et de l’installer comme n’importe quelle autre application. Notez que pour l’instant, l’application ne télécharge pas les modèles pour vous, vous devrez donc télécharger manuellement votre modèle de choix au format GGUF et l’importer dans l’outil. Cela peut être Mistral ou Llama 2 par exemple. Et comme ce sont des modèles open source et gratuits, vous n’aurez rien à payer.

L’importation de notes provenant d’autres applications est également possible, puisque Reor stocke ses données dans un seul répertoire, que vous choisissez lors de la première utilisation. Pour importer des notes/fichiers d’une autre application, il vous suffit donc de remplir ce répertoire manuellement avec des fichiers Markdown.

Voilà, c’est encore un peu brut comme outil, mais je parie que ça s’affinera avec le temps.

Merci à Lorenper