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Korben, roi d’internet, logo bébé avec des lunettes en mode thug life

2 reportages intéressants à ne pas manquer

Ce matin, pour votre pause déjeuner, je vous propose 2 petits reportages d’Arte que vous m’avez envoyés. Le premier concerne l’urgence que nous ressentons tous chaque jour dans notre société. Pourquoi aller plus vite, faire plus, vouloir tout tout de suite ? Que nous reste-t-il au final ? N’oubliez pas que le temps, c’est plus précieux que n’importe quoi. Utilisez-le avec sagesse !

Aux quatre coins de la planète des citoyens refusent de se soumettre aux diktats de l’urgence et de l’immédiateté, pour redonner sens au temps. En Europe, aux États-Unis, en Amérique Latine ou encore en Inde, Philippe Borrel est allé à la découverte d’initiatives, individuelles et collectives, qui proposent des alternatives basées sur d’autres paradigmes.

Le second reportage est un peu plus léger et plus court, mais est très dans l’air du temps puisqu’il aborde le sujet des applications mobiles et de la collecte des données personnelles.

Sans que nous en soyons vraiment conscients, les applications chargées sur nos smartphones accèdent à nos données personnelles – calendrier ou répertoire – et transmettent nos identifiants et autres informations sensibles. Comment mieux protéger notre sphère privée sur les supports numériques ?

J’espère que ces petits reportages vous auront intéressé. En ce qui me concerne, ma gestion du temps est toujours très bordélique, mais en gros, j’ai 2 gardes fous pour ne pas tomber dans la spirale infernale du « Allons toujours plus vite » … Tout d’abord ma famille qui quand elle propose une activité (Viens jouer avec moi papa / On va se balader là ? / On est invité chez machin…etc.), j’ai pris pour habitude de ne jamais refuser sous prétexte du travail, et cela même si je suis grave à la bourre dans mon boulot. L’autre garde fou, c’est moi-même… Quand je sature, je lâche tout et je vais faire quelque chose qui me plait sur le moment. Jardinage, série, balade, jouer avec le petit, ménage…etc. Peu importe, je fais un truc qui me plait sur le moment. Ainsi, je ne tombe pas dans cette espèce de déprime du « J’arrive pas à aller plus vite, à en faire plus« . Dans mes jeunes années, j’étais démoralisé de voir que même après une journée de 13h intensive, il me restait toujours des tonnes de choses à faire. On n’en voit jamais le bout. Puis au bout d’un moment, j’ai accepté d’être toujours à la bourre, de ne jamais faire table rase de mes tâches, de zapper plein de mail…etc. Après tout, on n’est pas des robots. Si cette réflexion vous intéresse, je vous invite à lire mon précédent billet à ce sujet, qui rentre un peu plus dans les détails.

Merci à Kaopa Café et Jérôme pour le partage.

http://www.arte.tv/guide/fr/051090-010/x-enius


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