Ça y est, la NES de Nintendo est éternelle ! Hé oui, même si on trouve encore cette console un peu partout en occasion, elle date quand même de 1987 et a arrêté d’être produite en 1995. Donc forcément, elle se raréfie et quand il y a de la casse, il faut forcément composer avec des pièces détachées d’autres NES.
Alors pourquoi dis-je qu’elle est éternelle ?
Et bien grâce au projet OpenTendo qui permet de recréer une carte mère de NES toute neuve grâce à un PCB open source. La conception de cette carte électronique se veut aussi fidèle que possible à l’originale, avec quand même des modifications mineures permettant de se passer des éléments introuvables à notre époque. Quelques améliorations, notamment au niveau de l’audio, ont également été apportées.

Alors pour le moment, ces cartes mères doivent quand même utiliser un processeur d’origine de la NES (cela dit, remplaçable par une puce UA6527 (NTSC) ou UA6527P (PAL), mais qui produiront un son différent et qui ne sont donc pas un substitut à 100 % identique à la puce d’origine) ainsi que le PPU (Picture Processing Unit) d’origine de la NES (remplaçable par la puce UA6528 (NTSC) ou UA6528P (PAL) mais possiblement non compatible avec tous les jeux).
Il y a également un circuit qui s’appelle CIC (Checking Integrated Circuit) qui verrouille la console pour empêcher d’y faire tourner des jeux non autorisés par Nintendo ou faire du verrouillage par région du monde. Il faut donc récupérer le CIC sur une console NES existante ou le remplacer par une carte NullCIC en open hardware également.
Bref, de quoi bidouiller et redonner vie à des NES dont la carte mère aurait rendu l’âme !
En tout cas, j’espère qu’à terme, nous verrons fleurir des cartes de ce type proposant de nouvelles possibilités comme du wifi pour les jeux NES en réseau comme ce qu’a présenté Oldschool is beautiful :
A la recherche d’un DNS qui vous protège et respecte votre vie privée ?

Vie privée, contrôle parental, exceptions de filtrage…
NextDNS offre une grosse couche de sécurité qui vous permet de bloquer automatiquement la résolution de certains noms de domaine en fonction de listes fournies par différents acteurs. Vous pouvez par exemple bloquer les sites remontés par Google comme les sites fournissant des malwares ou proposant des pages de phishing. Tout ce qui est cryptojacking, c’est-à-dire les sites utilisant votre navigateur pour miner de la cryptomonnaie à votre insu, peut être également bloqué.
Le typosquatting vous connaissez ? Il s’agit de prendre un nom de domaine qui ressemble vraiment à un nom de domaine officiel et tromper les gens qui feraient des fautes de frappe ou en utilisant des caractères ASCII graphiquement proche de véritables lettres de l’alphabet. Et bien ici, même chose, NextDNS vous protège.