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Amis geeks et passionnés de jeux vidéo rétro, aujourd’hui, je vais vous parler d’une petite pépite qui devrait ravir les fans de Super Mario Bros : Jelly Mario ! Imaginez un instant que notre plombier moustachu préféré ait abusé des champignons hallucinogènes… Eh bien c’est un peu l’effet que ça fait de jouer à Jelly Mario.

Concrètement, Jelly Mario c’est un Mario tout ramolli, qui se déplace comme de la gelée qui coule. Les contrôles sont pour le moins… surprenants ! Quand vous appuyez sur les touches de direction, Mario s’étire dans tous les sens de façon très élastique. Croyez-moi, les premières parties sont plutôt comiques !

Mais au-delà de cet aspect rigolo et décalé, Jelly Mario reste un vrai jeu de plateforme avec les mécaniques classiques de Super Mario Bros. Vous devrez toujours sauter sur les goombas, éviter les pièges et atteindre le drapeau à la fin du niveau. Sauf qu’avec un Mario en gelée, c’est tout de suite beaucoup plus délicat !

Techniquement, le jeu est développé en HTML5 et fonctionne directement dans le navigateur. Pas besoin d’installation, il suffit de se rendre sur le site https://jellymar.io/ pour commencer à jouer. Le jeu est gratuit et ne nécessite aucune inscription. C’est le genre de petit jeu addictif parfait pour une pause détente au bureau (mais je ne vous ai rien dit, hein !).

Graphiquement, on retrouve le pixel art coloré et charmant de Super Mario Bros, avec des animations en gelée qui donnent un côté très cartoon. La bande-son reprend les thèmes musicaux cultes de la série, mais avec des effets comiques quand Mario s’étire dans tous les sens. Et en termes de level design, le jeu propose des niveaux inspirés de ceux de Super Mario Bros, mais retravaillés pour exploiter la mécanique de gelée. On a ainsi des gouffres impossibles à franchir normalement qu’il faudra traverser en étirant Mario au maximum, ou des passages secrets accessibles uniquement en se faufilant par des interstices étroits. C’est malin et bien pensé.

Bien sûr, Jelly Mario n’a pas vocation à révolutionner le jeu vidéo, mais il offre une expérience amusante pour tous les fans de Nintendo. C’est le genre de petit jeu que l’on lance pour une partie rapide et qui finit par nous scotcher une bonne demi-heure grâce à son côté accrocheur et défoulant.

Perso, j’ai tenté plusieurs parties mais c’est hyper dur et je fini vite en particules subatomiques.

Alors si vous voulez voir Mario sous un autre jour (et sous champignons), je vous invite à tester Jelly Mario sans plus attendre.



Perso, je lance pas mal de commandes dans tous les sens chaque jour dans mon terminal et entre les petits paramètres que j’oublie, les enchainements de commandes un peu complexes ou les commandes à rallonge, ce que je peux vous dire, c’est que ça me prend un peu de temps.

Mais heureusement, zsh-copilot a débarqué dans ma vie il y a quelques mois et je ne peux plus m’en passer.

Ce plugin génial utilise la puissance de l’IA, directement intégrée à votre fidèle Zsh grâce zsh-autosuggestions.

Pour en profiter, rien de plus simple. Installez les dépandances suivantes :

Clonez le repo zsh-copilot dans votre dossier de plugins Zsh :

git clone https://github.com/Myzel394/zsh-copilot.git ~/.zsh-copilot

Puis ajoutez la ligne suivante dans votre fichier .zshrc avec cette commande :

echo "source ~/.zsh-copilot/zsh-copilot.plugin.zsh" >> ~/.zshrc

N’oubliez pas de relancer votre shell pour prendre en compte les changements.

Ah oui, j’oubliais ! Pour que la magie opère, vous aurez aussi besoin d’une clé API OpenAI. Ça coûtera donc un peu de sous, mais vu tout ce que ce plugin va vous apporter, ça vaut largement le coup d’investir dedans !

Une fois que tout est en place, vous n’avez plus qu’à commencer à taper vos commandes habituelles, et à presser Ctrl+Z dès que vous avez besoin d’un coup de main. Et là, c’est Merlin l’enchanteur qui entre en scène ! zsh-copilot va analyser ce que vous êtes en train de faire, et vous proposer la suite la plus pertinente. Vous pouvez même carrément lui demander ce que vous cherchez à faire et lui vous proposera la commande qui va bien.

Vous verrez, c’est bluffant. Au début, on a un peu l’impression de tricher, mais très vite, on se rend compte à quel point c’est pratique. J’en ai même fait une vidéo pour mes patreons d’amour :

Puis par la même occasion, j’ai découvert Zsh AutoSuggestions qui est également super pratique pour retrouver les commandes qu’on tape régulièrement.

Bref, comme d’hab, productivité x10 avec ce genre de petits tools. Rendez-vous sur le github pour en savoir plus.


Quill est une bibliothèque JavaScript de folie pour créer des éditeurs de texte riche (WYSIWYG). Et quand je dis riche, c’est pas seulement du gras et de l’italique hein, on est sur un niveau au-dessus !

En gros, Quill vous offre tout un tas d’outils pour transformer vos champs de texte tout moisis en une expérience d’édition de folie furieuse. Le truc cool, c’est que c’est pensé pour les développeurs, donc vous avez un contrôle total sur le contenu et les fonctionnalités.

Ce qui fait la force de Quill, c’est son API hyper intuitive. Pas besoin de se taper 3 jours de doc pour comprendre comment ça marche. En quelques lignes de code, vous pouvez déjà faire des trucs sympas. Tenez, regardez ça :

const quill = new Quill('#editor', {
  modules: {
    toolbar: true  
  },
  theme: 'snow'
});

Et bam, avec ça vous avez déjà un éditeur stylé avec une toolbar, prêt à l’emploi ! C’est pas beau ça ? En plus, Quill gère directement le JSON en entrée et en sortie, ce qui vous facilite grave la vie pour stocker et traiter le contenu ensuite.

Ce qui est vraiment cool avec Quill, c’est que vous pouvez étendre et personnaliser votre éditeur à l’infini. Vous voulez ajouter des formats chelous, des effets funky ou même intégrer des contenus interactifs ? Pas de soucis, Quill vous laisse faire tout ce que vous voulez.

Vous pouvez même créer vos propres modules pour ajouter des features de malade. Genre si vous avez besoin d’un éditeur d’équations mathématiques ? Hop, vous chopez le module sur npm et vous l’intégrez en deux-deux. Besoin d’un truc pour gérer des sondages? Pareil, y’a sûrement un module pour ça. C’est ça qui est génial avec l’écosystème de Quill!

Tiens d’ailleurs, laissez-moi te montrer un truc fun qu’on peut faire. On va créer un format custom pour mettre en forme du code source directement dans l’éditeur. Pour ça, on va créer un module qui va détecter les blocs de code et leur appliquer la coloration syntaxique.

import Quill from 'quill';
import Highlight from 'highlight.js';

const CodeBlock = Quill.import('formats/code-block');

class SyntaxCodeBlock extends CodeBlock {
  static create(value) {
    const domNode = super.create(value);
    domNode.innerHTML = Highlight.highlightAuto(value).value;
    return domNode;
  }
}

Quill.register(SyntaxCodeBlock, 'code-block', true);

Là en gros, on crée une nouvelle classe SyntaxCodeBlock qui étend le format code-block de base. Dans la méthode create, on récupère le noeud créé par la classe parente et on remplace son contenu avec le code coloré par Highlight.js. Ensuite, on n’a plus qu’à enregistrer notre nouveau format custom dans Quill et pouf, on peut mettre en forme du code directement dans l’éditeur!

C’est juste un exemple hein, mais ça montre bien la puissance et la flexibilité de Quill. Et puis c’est hyper fun de pouvoir bidouiller son éditeur comme ça ! Y’a même un playground ici pour vous amuser.

Bon après, je vais pas vous mentir, y’a quand même un petit temps d’adaptation hein. Faut comprendre comment Quill structure son modèle de document, comment bossent les différents modules, etc. Mais une fois qu’on a compris la logique, c’est open bar.

Ah et j’ai failli oublier un truc important: Quill est compatible avec tous les navigateurs modernes, que ce soit sur desktop ou mobile. Votre éditeur va se comporter de la même façon partout, ce qui est quand même super cool. Ah et la doc officielle est très bien faite.

Bref, si vous cherchez une solution d’édition de texte riche pour vos projets web, franchement je vous le recommande les yeux fermés.

Allez, codez bien et à plus dans l’bus !


Je sais, convivial c’est un mot bizarre pour parler d’un outil de débogage, mais celui-ci va vous faire kiffer si vous codez en Rust. Ça s’appelle BugStalker et c’est juste le debugger qu’il vous faut pour traquer les bugs vicieux dans vos programmes puisqu’il comprend toutes les subtilités du langage.

Ça veut dire qu’il sait gérer les types Rust complexes comme les vecteurs, les pointeurs intelligents et même les variables locales des threads. Et il ne fait pas que les afficher joliment, il vous permet carrément d’interagir avec !

Vous pouvez poser des breakpoints où vous voulez dans votre code, que ce soit sur une ligne précise, une fonction ou même une instruction assembleur. Et quand votre programme s’arrête sur un breakpoint, vous pouvez contrôler son exécution pas à pas, rentrer dans les fonctions ou les sauter, tout ça à la volée.

Et si vous avez besoin d’inspecter les données de votre programme, il a ce qu’il vous faut dans le ventre. Vous pouvez par exemple évaluer des expressions pour afficher les variables locales et globales, les arguments des fonctions, et même découper des tableaux ou des vecteurs pour voir ce qui se cache dedans.

L’outil vous propose deux interfaces au choix : une classique en ligne de commande, et une interface graphique en mode TUI (Text User Interface) qui claque. Et le kif, c’est que vous pouvez passer de l’une à l’autre quand vous voulez pendant une session de débogage !

Ah et j’allais oublier un truc énorme : les Oracles ! Non, je ne parle pas de la boîte qui fait des bases de données, mais d’une fonctionnalité trop stylée de BugStalker. En gros, c’est des modules qui viennent se greffer au debugger pour vous filer des infos sur des aspects spécifiques de votre programme. Par exemple, l’Oracle Tokio vous donne des insights sur le runtime Tokio si vous faites de l’asynchrone, sans avoir à modifier votre code. Trop fort !

Bon allez, je vais pas vous faire languir plus longtemps. Si vous voulez essayer, c’est tout simple, vous installez ça avec cargo :

cargo install bugstalker

et hop, vous êtes prêts à déboguer comme des pros. Et si jamais vous avez un souci avec la dépendance libunwind, y a même une version sans, mais entre nous, libunwind c’est quand même mieux.

Franchement, je « ne contracte pas » quand je vous dis que BugStalker c’est le debugger qu’il vous faut pour vos projets Rust. Avec lui, traquer les bugs c’est presque devenu un sport national, alors go sur https://github.com/godzie44/BugStalker , votre code Rust vous dira merci !

Allez, sur ce je vous laisse, j’ai un programme à déboguer moi (non, mon code est parfait).


Vous êtes un producteur de musique, un créateur de contenu ou tout simplement un passionné d’audio qui aime sampler des sons depuis le web ?

Et bien, je viens de découvrir SampleWizard, une extension Chrome géniale qui va bousculer votre façon d’enregistrer et de télécharger des samples audio. Fini les galères avec les sites de téléchargement douteux, ça vous permet de capturer n’importe quel son sur le web en un seul clic directement depuis votre navigateur. C’est magique !

Bref, vous surfez tranquillement sur YouTube, Soundcloud ou n’importe quel site web, et soudain vous tombez sur un extrait audio qui vous fait kiffer. Avec cette extension, pas besoin de chercher un moyen de le télécharger, il vous suffit de cliquer sur le bouton d’enregistrement de l’extension et hop, le tour est joué ! Le sample est ainsi automatiquement enregistré et téléchargé sur votre ordinateur au format WAV. C’est simple comme bonjour.

L’interface de SampleWizard est simple, vous n’avez qu’un bouton à cliquer pour enregistrer et un autre pour accéder à vos samples téléchargés. Je crois que c’est ce qu’utilise la grand mère de Steve Aoki quand elle repère un sample qu’elle veut lui envoyer.

En plus de ça, c’est est entièrement gratuit en version de base. Que demande le peuple ?

Rendez-vous sur le Chrome Web Store pour en profiter. Quand à moi, je retourne chasser du sample sauvage moi.