Si vous êtes un peu curieux, peut-être vous êtes vous déjà demandé comment était né Internet et peu de temps après lui, le web ?
Avant tout, il ne faut pas confondre les 2 notions. Internet c’est le grand réseau et le web, c’est une partie d’Internet, celle qu’on pourrait résumer aux pages web.
Le web a notamment été imaginé en 1989 dans un labo du CERN en Suisse par Sir Tim Berners-Lee, et dès 1990, les briques de base de ce que nous connaissons maintenant étaient là : HTTP, HTML, le serveur web, le navigateur web (client) sans oublier les premières pages web.

Le premier site web de tout l’Univers connu était hébergé sur l’ordinateur Next de Tim Berners-Lee et ressemblait à cela.

Et si je vous parle de tout ça aujourd’hui, c’est parce que le CERN vient de rendre disponible 30 ans plus tard, « World Wide Web« , le premier navigateur web, mis au point par Tim Berners-Lee. Il s’agit d’une version en ligne recréée pour l’occasion et accessible ici, qui vous permettra de surfer avec les mêmes sensations que les pionniers de l’époque.
Pour afficher un site web dans le navigateur WorldWideWeb, cliquez ici, puis sélectionnez « Document » sur le menu de gauche. Cliquez ensuite sur « Open from full document reference », puis tapez l’URL de votre choix dans le champ « Reference ». Et voilà !
J’ai souri quand j’ai vu l’emoji s’afficher et j’ai été surpris par le rendu de mon site qui reste malgré quelques problèmes d’encodage de caractères accentués, parfaitement lisible par le premier navigateur web du monde. Dingue !

Et parce qu’à l’époque, le web était éditable, World Wide Web intègre aussi un éditeur que vous pouvez tester de la manière suivante :
Une expérience qui plaira à tous ceux qui souhaitent découvrir « comment c’était avant » à peu de frais.
A la recherche d’un DNS qui vous protège et respecte votre vie privée ?

Vie privée, contrôle parental, exceptions de filtrage…
NextDNS offre une grosse couche de sécurité qui vous permet de bloquer automatiquement la résolution de certains noms de domaine en fonction de listes fournies par différents acteurs. Vous pouvez par exemple bloquer les sites remontés par Google comme les sites fournissant des malwares ou proposant des pages de phishing. Tout ce qui est cryptojacking, c’est-à-dire les sites utilisant votre navigateur pour miner de la cryptomonnaie à votre insu, peut être également bloqué.
Le typosquatting vous connaissez ? Il s’agit de prendre un nom de domaine qui ressemble vraiment à un nom de domaine officiel et tromper les gens qui feraient des fautes de frappe ou en utilisant des caractères ASCII graphiquement proche de véritables lettres de l’alphabet. Et bien ici, même chose, NextDNS vous protège.