FPS dans le navigateur #2 : Rush Team

De retour ce vendredi avec l’épisode 2 de ma série de la rentrée sur les FPS par navigateur. Vous n’avez le droit de lire la suite que si vous avez terminé Wolfenstein 3D comme demandé … mais nan j’déconne ;)

Cette semaine, place à Rush Team, un de mes jeux de tir préférés parmi ma sélection de 10. Loin d’être parmi les plus modernes graphiquement il sent bon la pure tradition du FPS. Ne vous attendez donc pas à trouver un gameplay innovant ou des effets visuels de fou, mais si l’époque Counter-Strike vous manque, jetez-y un coup d’oeil.

Rush Team est un jeu multijoueur basé sur la conquête d’objectifs. Rejoignez l’une des 2 équipes sur le terrain, réalisez les missions demandées et ramenez la victoire finale ! Mais surtout faites attention au petit gars sournois de la team adversaire qui se planque comme un lâche pour vous mettre un headshot … il y en a toujours un. Salaud.

J’aurai mieux fait de jouer aux SIMS.

Par défaut il y a 5 catégories d’armes : mêlée, grenade, pistolet, fusil et sniper. Et parmi cette 50-aine d’armes au total certaines évoluent en fonction de votre niveau.

Vous pouvez y jouer gratuitement et sans même vous créer de compte. Par contre si vous voulez conserver votre progression en termes de niveau et d’armement, il vous en faudra un.

Et si vous voulez vraiment vous investir sérieusement, une boutique est également présente. Elle vous permet de supporter financièrement le jeu et d’obtenir des armes différentes, d’équiper 2 grenades (au lieu d’une seule), de gagner plus d’expérience, de personnaliser vos équipements, etc.

Le jeu est développé sur le moteur Unity 3D par une seule personne du nom de Roka. Il existe depuis le 14 juillet 2012 et dispose d’une communauté assez importante avec plus d’un million de comptes créés.

Vous pourrez même éventuellement faire partie des meilleurs joueurs du mois … enfin si vous arrêtez de mourir toutes les 2 minutes. Allez soldat, un peu de concentration ! L’avenir du monde libre est en jeu ! (pose cette souris Manu, ça va aller, voilà caaaaaaalme toi).