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Korben, roi d’internet, logo bébé avec des lunettes en mode thug life

Les memes c’est cool à faire mais c’est souvent gâché par des watermarks moches. Heureusement qu’il existe Editdit !

Ce site est une vraie mine d’or pour créer vos propres memes sans aucun marquage ou copyright et avec tous les templates légendaires qu’on adore. Que vous soyez fan de Distracted Boyfriend, de Drake Hotline Bling, de One Does Not Simply ou de Hide the Pain Harold, vous allez pouvoir laisser libre court à votre créativité et votre sens de l’humour.

Vous n’avez qu’à choisir votre template, ajouter votre texte personnalisé et le tour est joué !

L’interface est ultra simple et intuitive. En quelques clics vous pouvez créer un meme sur mesure, en ajustant la police, la taille, la couleur et la position du texte. Vous pouvez même importer vos propres images si vous voulez créer un meme 100% unique. Et le meilleur dans tout ça ? C’est totalement gratuit !

Une fois que votre œuvre humoristique est terminée, vous pourrez alors la télécharger en haute définition ou la partager directement sur vos réseaux sociaux préférés. Attention, ça peut vite devenir addictif…

A découvrir ici.


Les scientifiques du MIT boostent les capacités de raisonnement de l’IA avec une architecture hybride révolutionnaire ! Hé oui, les petits génies du MIT ont développé 3 frameworks qui vont donner aux IA le pouvoir de raisonner comme des humains.

Imaginez que vous ayez un pote un peu limité niveau jugeote (on a tous un [insère ici le prénom de ton collègue le plus proche] dans notre entourage 😅). Il comprend ce que vous lui dites, il peut même vous répondre, mais dès qu’il faut réfléchir un peu, ça rame et parfois ça plante. Eh bien, les IA actuelles, c’est un peu pareil !

Elles sont super balèzes pour ingurgiter des tonnes de données et cracher du texte, mais niveau compréhension du contexte et raisonnement complexe, ce n’est pas encore tout à fait ça. Et c’est là que nos amis du MIT entrent en scène avec leur trésor d’abstractions en langage naturel. En gros, ils ont créé des lib qui vont aider les IA à mieux piger leur environnement et résoudre des problèmes de manière plus humaine. On parle donc de 3 frameworks aux petits noms mignons : LILO, Ada et LGA.

LILO, c’est l’atout du développeur. Il va aider les IA à synthétiser, compresser et documenter du code comme un pro. Fini les IA qui créent des pavés de code illisibles, place à des programmes bien structurés et commentés !

Ada, c’est la stratège du groupe. Elle va permettre aux IA de planifier des actions de manière flexible. Au lieu de suivre bêtement une recette, l’IA va pouvoir s’adapter et improviser en fonction de ce qu’elle trouve dans son frigo. Ada a même montré une amélioration de 59% pour des tâches de simulation de cuisine et de 89% pour des tâches de construction de lit.

Enfin, LGA, c’est l’as de la perception. Elle va filer un gros coup de pouce aux robots pour qu’ils comprennent mieux leur environnement, un peu comme si on leur refilait une bonne paire de lunettes. Terminé les robots qui se prennent les pieds dans le tapis, ils vont pouvoir naviguer dans votre appart’ comme un poisson dans l’eau (ou presque 😅).

Avec ces 3 frameworks qui mixent réseaux de neurones et approches logiques classiques, les chercheurs espèrent bien faire passer les IA au niveau supérieur. Ainsi, on aura enfin des chatbots qui comprennent vos blagues pourries, des robots qui vous apportent une bière sans renverser la moitié au passage, et pourquoi pas des IA qui vous aident à coder votre prochain jeu vidéo pendant que vous glandouillez sur le canapé !

Pour ceux qui veulent aller plus loin, voici les publications sur arXiv des avancées réalisées :
Library Induction from Language Observations
Action Domain Acquisition
Language-Guided Abstraction

J’ai hâte de voir tout ça fonctionner pour en vrai !

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Votre repaire préféré Ygg (anciennement YggTorrent) vient de tirer le rideau et de passer en mode privé ! Fini le téléchargement à tout-va pour les passants, désormais il faudra montrer patte blanche et s’identifier pour accéder à la caverne d’Ali Baba du torrent made in France qui attire des millions de visites chaque mois.

Pourquoi ce revirement soudain ?

La pression des ayants droit et de la justice française devenait insoutenable pour ce site qui a pris la relève de l’iconique T411 en 2017. Entre les blocages DNS et IP, les injonctions judiciaires et les menaces de poursuites, les admins de Ygg ont préféré la jouer profil bas et verrouiller la boutique. La plateforme a même été récemment listée par la puissante Motion Picture Association (MPA) de Hollywood dans son bilan annuel des sites pirates les plus « notoires ». Désormais, seuls les 6 millions de membres enregistrés pourront profiter des torrents bien garnis, à l’abri des regards indiscrets.

Cette décision radicale témoigne de l’acharnement des autorités contre le partage non-autorisé. Mais est-ce vraiment efficace de traquer sans relâche les sites de P2P ? Pas sûr, car comme le soulignent avec malice les responsables de Ygg, les internautes ont plus d’un tour dans leur sac pour contourner la censure :

  • VPN : ces réseaux privés virtuels masquent votre adresse IP et chiffrent votre trafic, vous permettant de surfer incognito et d’accéder aux sites bloqués. Selon certaines statistiques, près d’un tiers des Français utiliseraient déjà un VPN !
  • Changement de DNS : en modifiant vos paramètres DNS, vous pouvez court-circuiter les blocages mis en place par votre fournisseur d’accès. Les serveurs alternatifs comme ceux de Google ou OpenDNS sont très prisés.
  • Sites miroirs et proxys : tel un château de cartes, à chaque domaine bloqué, dix autres réapparaissent pour prendre le relais. YggTorrent en a fait les frais, contraint de changer plusieurs fois d’adresse ces derniers mois.

Alors, blocage ou pas blocage, les aficionados du téléchargement trouveront toujours un moyen de gruger le système. Un éternel jeu du chat et de la souris qui ne semble pas prêt de s’arrêter, au grand dam des majors et des artistes. Mais au fond, est-ce si étonnant dans un pays champion du monde du piratage ? À bon entendeur…

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Vous débarquez dans votre laverie automatique préférée, les bras chargés de linge sale, et là, magie magie, grâce à une petite bidouille bien sentie, vous pouvez lancer une lessive gratuite, sans débourser un centime. C’est le rêve, non ? Eh bien, figurez-vous que c’est exactement ce qu’ont réussi à faire des étudiants un peu hackers sur les bords.

Alexander Sherbrooke et Iakov Taranenko, 2 petits génies de l’université de Santa Cruz, ont découvert une faille de sécurité dans le système des laveries connectées de CSC ServiceWorks. Je vous parle quand même d’un réseau de plus d’un million de machines à laver installées un peu partout dans le monde, des campus universitaires aux hôtels en passant par les résidences. Bref, un sacré parc de machines qui tournent à plein régime.

Pour y arriver, ils ont bidouillél’API utilisée par l’appli mobile CSC Go. Pour ceux qui ne sont pas familiers avec le jargon technique, une API c’est un truc qui permet à des applis et des appareils de communiquer entre eux au travers du réseau. Dans le cas présent, l’appli CSC Go permet aux utilisateurs de recharger leur compte, de payer et de lancer un cycle de lavage sur une machine proche. Cependant, les serveurs de CSC ne vérifiaient pas correctement qui avait le droit de faire quoi. N’importe qui peut entrer et faire ce qu’il veut. Et c’est exactement ce qu’ont fait nos deux compères.

En analysant le trafic réseau pendant qu’ils utilisaient l’appli CSC Go, Alexander et Iakov ont réussi à court-circuiter les contrôles de sécurité pour envoyer des commandes directement aux serveurs de CSC. Résultat des courses : ils ont pu modifier leur solde, ajouter des millions de dollars virtuels pour le budget lessive, et même localiser et interagir avec toutes les machines du réseau CSC ServiceWorks.

Bien sûr, avoir la lessive gratuite, c’est cool. Mais Alexander et Iakov ont surtout voulu montrer les dangers d’avoir des appareils connectés à Internet sans une sécurité au top. Le pire dans l’histoire, c’est qu’ils ont prévenu CSC ServiceWorks de la faille à plusieurs reprises depuis janvier, mais la société n’a jamais répondu. Pourtant, un simple petit formulaire de contact pour signaler les problèmes de sécurité, ça ne coûte pas bien cher et ça peut éviter de gros dégâts… J’espère juste que ces derniers ne préparent pas une action en justice…

Évidemment, bidouiller des machines à laver pour avoir des lessives gratuites, ce n’est pas l’attaque du siècle mais cela montre qu’il y a encore du boulot côté sécurité pour tous ces objets connectés. Alors pour se protéger de telles vulnérabilités, il est crucial de sécuriser les API en effectuant la vérification des commandes côté serveur plutôt que côté client et en utilisant des tokens d’authentification sécurisés.

En attendant, si vous croisez Alexander et Iakov sur leur campus, vous pouvez leur donner vos slips sales, ils savent y faire pour vous les rendre plus blanc que blanc. ^^

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Ça vous dirait de partir à la chasse aux sphères de Dyson extraterrestres depuis votre gros canapé ? Allez, on enfile son plus beau pyjama, oui celui avec les petites têtes de Thomas Pesquet et c’est parti pour une aventure intragalactique !

Alors oui, je sais ce que vous allez me dire : « Mais Manu, c’est quoi encore cette histoire de sphère de Dyson ? On n’est pas dans Stargate là ! ». Eh bien détrompez-vous car les sphères de Dyson, c’est un vrai concept d’astro-ingénierie théorisé par le physicien Freeman Dyson en 1960. Rien à voir avec les aspirateurs donc…

En gros, l’idée c’est qu’une civilisation alien hyper avancée pourrait construire une mégastructure tout autour de son étoile pour capter un maximum d’énergie. Ça pourrait ressembler à une cage géante, un anneau ou même un essaim de miroirs. De quoi alimenter des serveurs extraterrestres pour miner du Bitcoin.

Bon ok, pour le moment on n’a toujours pas découvert de petits gris, alors une civilisation capable de ce genre de prouesses technologiques, n’en parlons pas… Mais des astronomes ont récemment déniché sept étoiles dans notre galaxie qui pourraient potentiellement abriter des sphères de Dyson aliens ! Pour les identifier, ils ont cherché des sources d’infrarouge anormalement élevé. Eh oui, si une mégastructure entoure une étoile, ça va forcément la faire chauffer et générer plein d’émissions bizarres dans l’infrarouge.

Les sept étoiles repérées sont toutes des naines rouges, plus petites et moins brillantes que notre cher Soleil. Maintenant, est-ce que ce sont vraiment des sphères de Dyson ou juste des phénomènes naturels étranges ? Mystère et boule de gomme ! Pour en avoir le cœur net, il va falloir déployer l’artillerie lourde et pointer le télescope spatial James-Webb dans leur direction. Qui sait, peut-être que E.T. téléphone maison en ce moment même…

En attendant de pouvoir leur piquer du Wi-Fi alien, on peut toujours s’amuser à imaginer à quoi ressembleraient ces fameuses sphères de Dyson. En tout cas, une chose est sûre : si on détecte un jour une mégastructure alien autour d’une étoile lointaine, il va falloir leur envoyer un message d’ami immédiatement. Un petit « Salut les voisins, ça vous dirait un apéro saucisse-merguez avec vue sur la Voie lactée ? », ça pourrait être sympa comme premier contact !

Mais trêve de plaisanterie, si ces sphères de Dyson existent vraiment, ça serait sans doute la découverte scientifique du siècle ! La preuve ultime qu’on n’est pas seuls dans l’Univers. De quoi nous faire relativiser sur nos problèmes de boîte mail saturée ou de batterie de smartphone à plat. Alors en attendant le jour J, on continue de scanner le ciel, on croise les doigts… et on n’oublie pas son guide du voyageur galactique, juste au cas où !

Bon allez, je vous laisse, il faut que j’aille bidouiller mon télescope pour essayer de capter des signaux aliens. Et n’oubliez pas, un ciel sans sphère de Dyson, c’est comme un kebab sans sauce samouraï : ça manque cruellement de piment !

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