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Korben, roi d’internet, logo bébé avec des lunettes en mode thug life

Myth Maker AI est un jeu créé par les passionnés de Story Tools Studio, qui vous plonge dans un univers fantastique où vous êtes le héros de votre propre aventure. Grâce au moteur MUSE (Modular User Story Engine), chaque choix que vous faites a un impact réel sur le déroulement de l’histoire grâce à l’IA qui s’adapte à vos décisions en temps réel.

Lorsque vous débutez une partie, vous choisissez votre personnage principal puis l’IA prend le relais et tisse une intrigue sur mesure, riche en rebondissements et en défis à relever.

Ce qui rend Myth Maker AI si spécial, c’est surtout sa capacité à créer un contenu multimodal d’une richesse inégalée. Et des images saisissantes aux animations fluides en passant par une bande-son envoûtante, chaque élément contribue à vous immerger totalement dans cet univers enchanteur. Vous aurez réellement l’impression d’être le héros d’un film d’aventure épique dont vous êtes le seul maître à bord.

Il ouvre également aussi la voie à de nouvelles expériences multijoueurs où chacun peut laisser libre cours à sa créativité dans monde partagé où les histoires s’entremêlent et où vos choix ont des répercussions sur les aventures des autres joueurs. Bref, vous l’aurez compris, les possibilités sont infinies !

Si ça vous dit de tester, rendez-vous sur https://mythmaker.ai/.


Starship est un outil de personnalisation d’invite de commande ultra-rapide, totalement configurable et qui fonctionne avec tout, que vous utilisiez Bash, Zsh, Fish, PowerShell…etc. Cet outil s’intègre en un clin d’œil à votre Shell et vous permettra d’en tirer le meilleur.

Une fois Starship installé, vous serez vite bluffé par ses capacités de personnalisation puisque vous pourrez configurer chaque aspect de votre shell afin de l’adapter à vos besoins et à vos goûts. Couleurs, symboles, informations affichées… tout est modifiable via le fichier de configuration starship.toml.

Et si vous travaillez sur plusieurs projets en même temps, pas de problème, Starship affichera « intelligemment » le nom du répertoire courant, la branche Git et l’état de votre dépôt. Et si vous avez besoin d’informations sur la version de Node.js, Python ou Ruby que vous êtes en train d’utiliser, Starship les détectera automatiquement et les intègrera naturellement dans votre prompt.

Mais Starship ne s’arrête pas là puisqu’il prend en charge une multitude de plugins pour étendre ses fonctionnalités. Ça permet par exemple d’afficher l’état de vos tests, le niveau de batterie de votre ordinateur portable, ou même la météo.

Et si vous êtes du genre power user, vous apprécierez la rapidité de Starship car contrairement à d’autres outils qui peuvent ralentir votre terminal, il est optimisé pour offrir des performances optimales, sans latence perceptible, même si vous avez poussé la personnalisation à fond !

L’installation est également un jeu d’enfant. Sur la plupart des systèmes, il vous suffira d’exécuter une simple commande pour télécharger et configurer automatiquement cet outil. Par exemple, sur macOS vous pouvez utiliser Homebrew :

brew install starship

Et sur Linux, la commande est tout aussi simple :

curl -sS https://starship.rs/install.sh | sh

Si ça vous dit de tester, le site officiel starship.rs est là. Et si vous êtes à la recherche d’inspiration pour personnaliser votre invite de commande, il y a des presets sur le site également.


Hier, je vous parlais de mdBook, avec un petit reminder de Deckset et aujourd’hui, je suis tombé sur Slidev, un outil très sympa pour vous aider à concevoir vos présentations style Powerpoint.

Sauf qu’avec cet outil, fini les heures perdues à galérer sur la mise en forme et la disposition de vos slides. Grâce à sa syntaxe intuitive basée sur Markdown, vous pourrez vous concentrer vraiment sur le contenu et laisser Slidev s’occuper du reste. En plus de son éditeur intégré, Slidev propose même une extension pour VS Code qui vous permettra de profiter d’une expérience de développement optimale, avec tous les avantages de votre IDE préféré.

Mais attention, Slidev ne se contente pas d’être un simple convertisseur Markdown vers des slides. Il propose des tas de fonctionnalités super cools comme une coloration syntaxique impeccable, et même la possibilité d’exécuter du code, peu importe le langage, en direct pendant votre présentation. Je vous invite à regarder cet exemple pour vous rendre compte du délire. Il y en a plein des comme ça.

Slidev vous offre également un choix de thèmes varié et professionnels, que vous pourrez personnaliser à votre guise ou même créer de toutes pièces. Votre présentation aura alors un look unique qui reflètera votre style personnel. ! Il offre également des fonctionnalités avancées comme le mode présentateur, l’enregistrement vidéo, l’exportation vers différents formats (PDF, PNG, SPA), et bien plus encore

Et grâce à son intégration parfaite avec Vue.js, vous pourrez même créer des composants interactifs directement dans vos slides pour afficher par exemple des graphiques dynamiques, des quiz, des sondages en temps réel, et bien plus encore. Bref, vous l’aurez compris, c’est un super projet open source, totalement hackable qui vous fera gagner bien du temps.

Pour démarrer un nouveau projet Slidev, utilisez la commande :

npm init slidev@latest

Et si vous préférez utiliser l’interface en ligne, rendez-vous sur sli.dev.

Je suis sûr que ça vous plaira !

A vous de jouer maintenant et n’oubliez pas, la seule limite est votre créativité !


Vous rêvez de créer votre propre livre électronique ou une bonne grosse documentation technique mais vous ne savez pas par où commencer ?

Ne cherchez plus, mdBook est là pour vous !

Il s’agit d’un outil codé en Rust, qui a l’aide de quelques commandes simples, vous permettra d’initialiser la structure de votre ouvrage, de rédiger votre contenu en Markdown, de personnaliser le rendu et de le mettre en ligne. Voici un exemple de ce que ça peut donner comme rendu.

Pour démarrer votre aventure avec mdBook, rien de plus simple. Installez l’outil en suivant les instructions sur le site officiel, puis lancez la commande suivante dans un terminal :

mdbook init mon-premier-livre

Et voilà, le squelette de votre chef-d’œuvre est prêt et vous n’avez plus qu’à rédiger !

mdBook regorge de fonctionnalités pour mettre en forme votre contenu. Vous pouvez organiser vos chapitres dans le fichier SUMMARY.md, ajouter une page d’introduction dans README.md, créer votre propre template, et même inclure des images et autres ressources. Et une fois votre prose finalisée, vous pourrez donner vie à votre livre à l’aide de la commande :

mdbook serve

Celui-ci va alors générer une version web interactive accessible via un serveur web, avec une navigation et moteur de recherche intégré, de vos écrits. Et la commande

mdbook build

… vous permettra de générer une version HTML de votre bouquin.

Je trouve ça très satisfaisant de passer par le markdown pour la rédaction et la mise en forme. Je le faisais pour des prez style Powerpoint mais full markdown à l’époque où je faisais des confs, et c’était un vrai gain de temps.

Mais le véritable atout de mdBook, c’est sa capacité à automatiser la publication de votre livre. Grâce à l’intégration continue, chaque modification que vous apportez peut être instantanément mise en ligne. Comme ça, fini les mises à jour manuelles bien reloues !

Bref, vous l’aurez compris, mdBook est un excellent outil pour les auteurs qui aiment partager leur travail avec leur communauté. Ah, j’allais oublier ! Si vous avez besoin d’inspiration, n’hésitez pas à explorer la documentation officielle de mdBook. Vous y trouverez des astuces, des exemples et même des témoignages d’auteurs conquis.


Si votre disque dur se rempli à vue d’œil et que vous ne savez pas comment faire le ménage, rmlint peut vous aider. Cet outil open source, disponible sur la plupart des distributions Linux, va vous permettre d’optimiser votre espace disque en un rien de temps.

Contrairement à d’autres outils du même genre, il se distingue par sa rapidité d’exécution en scannant vos disques en un clin d’œil pour dénicher tous les fichiers qui encombrent inutilement votre précieux espace de stockage. Au menu des fonctionnalités, rmlint est capable de détecter :

  • Les fichiers dupliqués et les répertoires en double
  • Les binaires non strippés (c’est-à-dire avec des symboles de débogage)
  • Les liens symboliques brisés
  • Les fichiers et répertoires vides
  • Les fichiers avec des ID utilisateur ou groupe invalides

Mais ce n’est pas tout puisqu’il propose également un mode paranoïa pour ceux qui veulent être sûrs à 100% de ne pas supprimer de fichiers importants par erreur. Il offre également de multiples options pour s’adapter à vos besoins et peut même se limiter aux fichiers plus récents qu’une certaine date.

Pour les fans de systèmes de fichiers modernes comme btrfs, sachez que rmlint les gère comme un chef et peut tirer parti des fonctionnalités avancées de ce dernier pour vous faire gagner encore plus d’espace disque.

Pour l’installer sous Debian / Ubuntu, un petit

sudo apt install rmlint

fera l’affaire. Ensuite pour le lancer, tapez simplement la commande rmlint suivie du répertoire que vous voulez analyser. Par exemple :

rmlint /home/utilisateur/dossier-bordel

Vous pouvez ajouter des options pour affiner l’analyse, comme -o pour spécifier un format de sortie ou

--paranoid

pour activer le mode paranoïa si vous ne faites pas confiance aux hashs retournés par l’outil et que vous craignez que des fichiers non-duplicate soient supprimés.

Et voilà, en quelques secondes (ou minutes selon la taille du répertoire), rmlint vous pondra un joli rapport listant tous les fichiers qui méritent de passer à la trappe. Il ne vous restera plus qu’à les supprimer d’un coup de rm bien placé et à profiter de vos gigaoctets fraîchement libérés !

Foncez sur https://rmlint.readthedocs.io/en/latest/ pour télécharger rmlint et découvrir toutes ses options. Votre disque dur vous dira merci !