Commento - Un clone libre de Disqus qui s'intègre sur n'importe quel site en quelques secondes
Vous le savez, pour les commentaires sur ce site, j’ai utilisé différents outils.
Tout d’abord, je me reposais sur le système de commentaires natif de Wordpress. Mais au-delà d’un certain nombre de commentaires et d’un certain flux journalier de visites, c’est devenu une usine à gaz. Ça faisait ramer à mort tout mon site.
Ensuite, j’ai mis en place Disqus, qui est un service tiers. Plus de problèmes de chargement, mais beaucoup de relous de passage qui venaient troller ou faire leur pub à n’en plus finir. L’esprit du site était en danger face à une cohorte de trouducs identifiés dont la mission principale était de venir semer la zizanie et chercher le conflit sous couvert d’anonymat, auprès d’autres lecteurs bienveillants venus commenter ou apporter une critique constructive sous l’un de mes articles.
J’en ai donc eu marre et j’ai cherché quelque chose de mieux gaulé en termes de modération et je suis tombé sur Discourse. Et pour le moment, le système me convient. Beaucoup moins de commentaires, c’est sûr, mais plus aucun abruti. J’ai enfin pu respirer.
Tout ça pour dire que je découvre à l’instant un clone de Disqus qui risque de bien vous intéresser. Nommé Commento, ce clone est open source et peut s’autohéberger ou être intégré en mode SaaS moyennant un don libre de votre choix.
Commento ne pèse que 11 kb de JS et de CSS, s’intègre avec 2 ligne de code sur n’importe quel site, même le plus basic, et il respecte la vie privée des internautes (pas de trackers and co).
De plus Commento est résistant au spam dans les limites d’Akismet et il est possible d’y importer des commentaires existants en provenance de Disqus.
Mais surtout, comme je le disais, vous pouvez aussi l’auto héberger puisqu’il s’agit d’un logiciel libre.
Vraiment cool ! Je vous invite d’ailleurs à tester la démo ici !
Bref, si vous cherchez un système de commentaire qui correspond à vos valeurs et que vous pouvez maitriser, je vous invite à cliquer ici.
Et pour la doc, c’est ici que ça se passe.