Grâce à Corentin, un lecteur aussi brillant que le crane d’Eric Ciotti, j’ai découvert Enclosed, un outil open source qui pourrait bien devenir votre meilleur allié pour protéger vos données sensibles. Comme PrivateBin mais sous stéroïdes, avec une interface aussi jolie que celle de mon iPhone 16 Pro Max qui arrive demain par la Poste (ouaiiiiis) et des fonctionnalités très cool !

Alors, pourquoi Enclosed mérite-t-il une place de choix dans votre arsenal technique ?

Commençons par le commencement : le chiffrement de bout en bout. Enclosed utilise l’AES-GCM 256 bits, un algorithme tellement robuste qu’il ferait transpirer même les meilleurs hackers de la NSA. C’est du sérieux, mes amis. On parle ici de “zero-knowledge”, ce qui signifie que même le serveur ne peut pas mettre son nez dans vos petits secrets. Vous seul avez la combinaison pour déchiffrer votre message.

Mais Enclosed ne s’arrête pas là. Il vous permet également de partager des fichiers en toute sécurité. Fini les mails avec des pièces jointes qui se baladent en clair sur le net comme des touristes en tongs à Paris. Avec Enclosed, vos documents confidentiels seront donc aussi bien protégés que les plans de la prochaine console de Nintendo.

Vous pouvez également configurer l’auto-destruction de vos notes après la première lecture, comme si elles étaient écrites à l’encre invisible de Mission Impossible sans le gros BOOM à la fin. Vous pouvez aussi définir une date d’expiration, ajouter un mot de passe… Bref, vous êtes aux commandes de vos données

L’interface ? Un régal pour les yeux. Minimaliste, élégante, avec un mode sombre qui ferait passer Batman pour un amateur de fringues Desigual. Le tout est responsive, ce qui signifie que vous pouvez l’utiliser aussi bien sur votre PC de bureau que sur votre smartphone et pour les paranos du contrôle (je ne vous juge pas, je vous comprend même…), sachez qu’il est possible de protéger votre instance via une authentification.

Enclosed est également multi-langues et surtout c’est open source. Vous pouvez plonger dans le code, contribuer au projet, l’adapter à vos besoins les plus fous et cerise sur le gâteau virtuel c’est également facilement auto-hébergeable. En quelques clics, vous pouvez déployer votre propre instance !

La documentation quand à elle, est plus détaillée qu’un manuel d’assemblage de meuble Conforama, et surtout beaucoup plus compréhensible. Et ça peut même tourner sous Docker.

Encore un grand bravo à Corentin et merci pour la découverte !