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Korben, roi d’internet, logo bébé avec des lunettes en mode thug life

En tant qu’amateur de technologie et fin connaisseur des secrets de l’informatique, vous apprécierez surement cette découvert qui risque de vous sauver à de maintes occasions : System Examiner. Il s’agit d’une application gratuite, conçue pour dresser un rapport complet sur votre système Windows, le tout en un clin d’œil.

Imaginez un médecin capable de diagnostiquer instantanément votre ordinateur, révélant ses forces et faiblesses, décelant les erreurs et problèmes potentiels, et mettant à jour les moindres détails des logiciels et matériels installés. System Examiner est ce docteur qui vous permettra de diagnostiquer les erreurs Windows, mais également de connaître les spécificités du matériel de votre PC et bien plus encore. C’est vraiment l’outil idéal pour les dépanneurs.

D’ailleurs, si vous vous êtes déjà demandé si l’ordinateur d’occasion que vous avez acheté d’occaz était doté d’une version authentique de Windows, System Examiner saura vous donner la réponse. Sa réactivité et sa facilité d’utilisation en font un partenaire précieux pour inventorier et vérifier les PC d’occasion.

Maintenant que je vous ai titillé les neurones, entrons dans les détails de ce soft. System Examiner vous permet de tester les composants matériels essentiels de votre ordinateur, tels que le processeur, la RAM et le disque dur du système. Il dresse une liste exhaustive des programmes qui se lancent automatiquement, ainsi que des logiciels Windows installés, des pilotes de périphériques tiers et des services système.

L’équipe derrière System Examiner a intégré une fonction d’automatisation via des paramètres en ligne de commande pour faciliter la tâche des professionnels en support technique. Et pour ne rien gâcher, cette application est compatible avec le mode sombre de Windows (parce qu’on sait tous que les yeux de l’informaticien en ont besoin) et ne nécessite pas de droits d’administration.

Comment utiliser System Examiner ?

Rien de plus simple: une fois téléchargé et installé, il vous suffit de le lancer et de cliquer sur le gros bouton pour obtenir un rapport complet et détaillé de votre système. En cas de besoin, il est facile de désinstaller System Examiner depuis le panneau de configuration, comme pour n’importe quelle application Windows.

Cerise sur le gâteau : System Examiner est aussi disponible en version portable et peut tourner en ligne de commande. Par exemple pour générer un rapport via la CLI, c’est comme ça :

SystemExaminer.exe /AutoCreate /AutoClose /Filename=report

Il ne vous reste plus qu’à être les premiers à tester ce truc.


L’autre jour, j’ai rencontré sous Windows un problème avec un fichier que je ne pouvais pas supprimer. Il était bloqué par un processus inconnu, et je ne savais pas ce qui coinçait. C’est alors que j’ai découvert un petit bijou d’utilitaire appelé LockHunter qui a résolu mon problème en un clin d’œil. Dans cet article, je vais vous présenter cet outil indispensable et comment l’utiliser pour débloquer vos fichiers et dossiers sous Windows.

La première chose que j’ai aimé avec LockHunter, c’est sa simplicité. Pas besoin de chercher partout comment l’utiliser, il suffit de faire un clic droit sur le fichier ou le dossier bloqué et de choisir « What is locking this file? ».

Miracle, le programme se lance et vous affiche toutes les informations nécessaires sur le processus en cours qui verrouille votre fichier ou dossier. Ensuite, jusque-là, rien de très étonnant par rapport à d’autres soft comme Unlocker dont je vous ai déjà parlé et qui est sûrement le plus connu.

Je ne vais pas forcement comparer ces outils, mais plutôt vous montrer les fonctionnalités de LockHunter. Lorsque vous avez sélectionné un fichier, vous avez plusieurs options à disposition. La première est le bouton « Unlock It! » qui tente de fermer les processus en cours utilisant votre fichier ou dossier. Si cela fonctionne, vous aurez comme retour un message qui vous indiquera : « The file has been unlocked successfully!« .

L’option suivante est le bouton « Delete It! », qui permet de forcer la suppression du fichier ou du dossier bloqué. Ce que j’aime avec cette option, c’est qu’elle place les fichiers supprimés dans la corbeille de Windows, ce qui vous laisse la possibilité de les restaurer en cas de suppression accidentelle. Un vrai plus pour les personnes comme moi qui sont parfois un peu trop promptes à supprimer les fichiers sans trop réfléchir.

Enfin, le bouton « Other » contient plusieurs options intéressantes. La première, « Delete At Next System Restart », permet de supprimer le fichier ou le dossier bloqué au prochain redémarrage du système d’exploitation. Cela peut être utile en cas d’impossibilité de le supprimer autrement. Les options « Unlock & Rename » et « Unlock & Copy » permettent respectivement de déverrouiller, renommer ou copier le fichier ou le dossier en question.

Une autre fonctionnalité que j’apprécie avec LockHunter est sa capacité à supprimer les processus bloquants directement depuis le disque dur. Cela peut être utile, car parfois les logiciels malveillants verrouillent vos fichiers à des fins obscures.

Pour conclure, je tiens à dire que LockHunter est devenu pour moi un outil indispensable dans ma trousse à logiciels Windows. Il est simple, gratuit, et surtout très efficace pour débloquer n’importe quel fichier ou dossier bloqué. Si vous avez déjà rencontré ce genre de problèmes, je vous conseille vivement d’adopter cet utilitaire et de l’avoir toujours à portée de main.

À découvrir ici : https://lockhunter.com


L’autre jour, je naviguais sur les forums de XDA Developers et je suis tombé sur une application qui a vraiment retenu mon attention: NetGuard.

NetGuard est un pare-feu gratuit et open source pour Android qui ne nécessite pas d’être root. Cette appli m’a intrigué car elle promettait de réduire l’utilisation de données, d’économiser la batterie et d’améliorer la confidentialité sur mon smartphone Android. J’ai donc décidé de passer tout ça en revue.

Son interface est très simple à utiliser ça s’active ou se désactive en un clic. Ce que j’aime chez NetGuard, c’est également la possibilité de passer du mode liste noire (autoriser tout dans les paramètres, mais bloquer les applications indésirables dans la liste) au mode liste blanche (bloquer tout dans les paramètres, mais autoriser les applications préférées dans la liste). Cela permet de n’autoriser que les applis qui ont réellement besoin d’accéder à Internet.

Pour vous donner une meilleure idée de l’interface, sachez que les couleurs tirant vers le rouge / jaune indiquent que l’accès à Internet est refusé, tandis que celles tirant vers le bleu, violet et gris indiquent que l’accès est autorisé. Le code couleur universel de la vie privée ^^ !

L’une des fonctionnalités intéressantes de NetGuard est qu’il prend en charge IPv4/IPv6 TCP/UDP, le partage de connexion et permet de bloquer les applications système. De plus, NetGuard offre des fonctionnalités avancées comme l’enregistrement de l’utilisation du réseau par application et adresse, le blocage en cas de roaming, la possibilité de bloquer les publicités à l’aide d’un fichier hosts, et des thèmes personnalisables. Pour les utilisateurs PRO (payants), des fonctionnalités supplémentaires sont également disponibles, comme la journalisation de tout le trafic sortant, la notification de nouvelles applications et l’affichage d’un graphique de vitesse du réseau dans une notification de barre d’état.

Attention cependant, il a été signalé qu’une application malveillante portant le même nom de package que NetGuard se trouve dans le Samsung Galaxy app store et peut être installée sans confirmation. Assurez-vous donc de télécharger NetGuard à partir d’une source légitime comme GitHub ou ici sur le PlayStore de Google.

Je vous encourage à le télécharger et à l’essayer dès maintenant. La protection de votre vie privée et une meilleure gestion de la batterie de votre téléphone Android n’aura jamais été aussi facile. À découvrir ici


Il y a quelque temps, j’ai découvert un programme qui risque de changer votre vie en tant qu’utilisateur Windows. Cela s’appelle SoundSwitch et c’est un petit outil magique qui permet de passer rapidement d’un périphérique audio à un autre à l’aide de raccourcis clavier.

Pour activer SoundSwitch, il suffit d’utiliser le raccourci par défaut. Plus besoin de naviguer à travers plusieurs écrans pénibles pour modifier vos paramètres audio.

Après avoir configuré SoundSwitch, vous pouvez donc utiliser les touches de raccourci suivantes :

🔊 Pour faire défiler les appareils de lecture, appuyez sur Ctrl + Alt + F11 ou double-cliquez sur l’icône de SoundSwitch dans la barre d’état système.

🎙 Pour faire défiler les appareils d’enregistrement, appuyez sur Ctrl + Alt + F7.

🔇 Pour couper le microphone par défaut, appuyez sur Ctrl + Alt + M.

Pour les mordus de jeux vidéo, c’est un vrai bonheur. Imaginez-vous en pleine partie et devant basculer le son d’un casque à des haut-parleurs ou inversement. Vous n’avez pas vraiment le temps de vous perdre dans les paramètres du système. SoundSwitch vous offre cette fluidité avec une simple combinaison de touches. Et c’est pareil pour changer de périphérique d’enregistrement (genre votre micro)

Et il ne s’arrête pas là, car SoundSwitch parle également plusieurs langues, dont l’anglais, le français, l’allemand, l’espagnol, le portugais, l’italien et le chinois. Et si vous voulez l’avoir dans votre langue maternelle, vous pouvez même contribuer au projet pour aider à sa traduction.

SoundSwitch propose différents types de notifications pour vous signaler le changement de périphérique. L’affichage par défaut, recommandé pour les gamers, utilise une popup personnalisée toujours visible.

Parmi les autres notifications, il y a la bulle d’aide de Windows, celle que l’on connaît bien depuis notre rencontre avec Clippy, l’assistant de Microsoft. Dans le cas de Windows 7, cette bulle apparaît à côté de l’icône de la barre d’état système. Pour Windows 10, elle s’agrémente d’une animation glissant depuis le coin droit de l’écran.

Pour ne pas déranger les autres utilisateurs, SoundSwitch propose également de jouer un son plutôt discret pour signaler le changement de périphérique. Vous pouvez même spécifier le son de votre choix ! Et bien sûr, vous pouvez opter pour une notification silencieuse si vous le désirez.

Pour configurer SoundSwitch, faites un clic droit sur l’icône dans la barre des tâches et sélectionnez « Paramètres ». Vous pourrez alors choisir les périphériques audio à basculer et choisir les combinaisons de touches qui vous arrangeront le plus. N’oubliez pas de cocher la case « Démarrer automatiquement avec Windows » pour profiter de cette merveille à chaque démarrage de votre ordinateur.

Le développeur Jeroen Pelgrims et d’autres contributeurs passionnés méritent tout votre soutien alors si vous trouvez Soundswitch utile, n’hésitez pas à faire un don sur le site officiel.

SoundSwitch n’attend que vous et est à découvrir ici.


Ce matin, j’aimerais vous faire découvrir Red Canary Mac Monitor, un outil de surveillance avancé conçu pour la recherche de sécurité macOS, le triage des logiciels malveillants et le dépannage système.

Red Canary Mac Monitor collecte de manière autonome les événements système et les enrichit en utilisant l’Apple Endpoint Security (ES). Imaginez… C’est comme avoir un microscope pour scruter tout ce qui se passe sur votre système et détecter les menaces qui passeraient inaperçues en temps normal.

L’outil est donc conçu pour collecter et enrichir les événements du système mais est également capable de les afficher sous la forme de graphiques, ne faisant apparaître que les événements qui sont pertinents pour vous.

Cette télémétrie collecte des événements liés aux processus, inter-processus, aux fichiers, ainsi que tout un tas de métadonnées, ce qui permet aux utilisateurs de contextualiser les événements et de mieux comprendre ce qui s’est passé sur le système.

Red Canary est dispo gratuitement ici ! La seule chose que vous avez à faire, c’est de vérifier que votre Mac dispose de 4 Go de mémoire système ou plus et d’une version macOS 13.1+ (Ventura).

Pour installer l’outil, vous pouvez soit utiliser Homebrew, soit télécharger le dernier installateur depuis GitHub. Une fois l’application ouverte, autorisez l’extension système et démarrez !

brew install --cask red-canary-mac-monitor

La corrélation d’événements est un outil essentiel pour détecter les menaces. C’est comme si on pouvait visualiser les points de connexion entre différents événements, créant ainsi un puzzle pour comprendre les activités suspectes.

Red Canary Mac Monitor propose également des fonctionnalités de filtrage d’artefacts, de suppression des binaires du système et d’exportation de télémétrie au format JSON. L’outil offre aussi la possibilité de générer des sous-arbres de processus, ce qui permet d’avoir une vue d’ensemble de la lignée des processus.

Pour couronner le tout, un graphique dynamique de distribution d’événements facilite l’identification rapide des événements. C’est donc un incontournable pour tous les passionnés de sécurité sous macOS. Red Canary Mac Monitor est à découvrir ici.