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Korben, roi d’internet, logo bébé avec des lunettes en mode thug life

Nous avons du pain sur la planche ! Encore une fois il s’agit de sauver le monde bien sûr, mais jamais, ô grand jamais, nous n’avions comme protagoniste une miche de pain. Ça, c’est original ! Préparez-vous à vivre une jolie aventure avec Tipain et ses co-pains. 😉

Dans la lignée des Paper Mario, dont il est directement inspiré, Born of Bread est un mélange de RPG (on recrute une équipe qu’on équipe, qu’on fait évoluer, on a des combats en tour par tour avec des QTE pour optimiser les effets…) et d’exploration/aventure avec des dialogues bien rigolos. Si vous aimez les jeux de mots et le pain, vous allez être servi !

Sur le plan artistique, c’est vraiment cool : graphismes léchés, un mélange 2D/3D de toute beauté (même si ça n’a aucun sens d’avoir des personnages plats, contrairement à Paper Mario), de belles animations, de chouettes musiques, des cinématiques bien foutues, on est vite immergé dans cet univers absurde.

Pour les connaisseurs, le gameplay ne propose rien de nouveau (hormis quelques délires à base de « spectateurs » lors de nos bastons) mais c’est une recette (miam) efficace et éprouvée, ça fonctionne vraiment très bien. En dehors de quelques énigmes un peu bizarres, les dialogues et affrontements s’enchaînent de manière fluide, le scénario est bien rythmé, c’est top !

J’ai été embêté par quelques bugs et plantages, il faut espérer que les développeurs sortent un patch pour que ce soit parfait. 🤞 L’autre truc « un peu » gênant, c’est que finalement, le jeu reste en-dessous de ses modèles. Pour être honnête, si vous avez une Switch, j’aurais tendance à vous conseiller de choper Super Mario RPG ou d’attendre le remake de Paper Mario : La Porte Millénaire.

Mais si vous n’avez pas de console Nintendo, alors Born of Bread est un très bon paliatif, une aventure qui se mange sans faim ! C’est complètement décalé, fun, frais, d’une durée de vie maîtrisée (environ 15h), une belle découverte ! Je lui donne 🥖🥖🥖🥖🥖🥖🥖/10

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Y’a pas si longtemps, je vous ai présenté la police de caractères Luciole qui permet de donner beaucoup de lisibilités aux personnes mal voyantes.

Et bien dans le même esprit, je vous fais découvrir aujourd’hui Hack. Cette police de caractère libre au nom dénué d’originalité a été conçue pour soulager les petits neuneuils des développeurs qui aiment coder jusqu’au bout de la nuit. Hack intègre des versions gras, italique, regular…etc. avec un support de toutes les langues et tous les glyphes possibles y compris le cyrillique, le grec…etc.

Son design améliore la lisibilité du code, avec du contraste, une bonne hauteur des lettres, un zéro rempli pour ne pas le confondre avec le 0 majuscule, un bon espacement…etc. Tout est dans la subtilité, ça se touche beaucoup la nouille typographique, mais vous devriez quand même l’essayer, car ça ne peut être que plus confortable que ce bon vieil Arial que vous collez partout.

Vous pouvez la télécharger ici et même la tester dans le playground ici selon votre langage de dev préféré et le style de votre IDE (mode sombre, clair…etc.)


Bon, si vous regardez des vidéos Youtube ou Netflix, notamment sur votre smartphone, vous connaissez sans doute la PiP (Picture In Picture) qui consiste à afficher une petite fenêtre vidéo dans un coin de l’écran pendant que vous faites autre chose sur l’appareil.

Et bien nouvelle, vous allez pouvoir faire pareil sur votre Mac grâce à PiPHero, un freeware qui une fois installé, se loge dans la barre de menu, et permet de sélectionner une fenêtre ou un écran à placer dans un coin.

Vous pouvez également choisir sa taille et en mettre plusieurs.

Bref, super pratique pour surveiller une page web ou mater une vidéo, sans avoir à garder la fenêtre focus.


Turbo Art est un site proof of concept qui va vous permettre de jouer avec un modèle de génération d’image nommé SDXL-Turbo.

Pour rappel, c’est un modèle text2image, rapide et avancé, capable de générer des images photo-réalistes à partir d’une simple consigne textuelle en une seule évaluation de réseau neuronal. Sa performance exceptionnelle en termes de vitesse et de qualité d’image le rend particulièrement utile pour des tâches qui nécessitent une génération d’image rapide et précise à partir d’un texte. Mais le mieux c’est encore de le tester au travers de Turbo Art.

Sur Turbo Art que vous pouvez également auto-héberger, vous allez pouvoir importer une photo et la retravailler en temps réel à l’aide d’un prompt, mais également de quelques outils pour redessiner par-dessus. J’ai ajouté un petit chapeau bleu à ce toutou en indiquant que je voulais en faire un ourson de dessin animé type Pixar.

Et même chose pour mon chat, mais avec un bonnet de Noël.

Rigolo non ? Et surtout ça permet d’apprivoiser en douceur ce genre de techno. Turbo Art offre également une fonctionnalité Enhance qui vous permettra d’améliorer l’image en testant d’autres générations et bien sûr de télécharger le rendu final pour vous en faire un avatar ou une illustration quelconque.

À tester ici.


Si vous codez vous-même votre site web et que vous avez envie d’ajouter un peu de fiesta, de bonne humeur et de célébration à celui-ci, j’ai la lib qu’il vous faut.

Cela s’appelle Canvas Confetti et ça permet d’ajouter en animation de confetti, d’émoji ou de neige à vos pages web.

Pour l’installer, rien de plus simple:

npm install canvas-confetti

Importez ensuite la bibliothèque Canvas Confetti dans votre fichier JavaScript où vous souhaitez utiliser l’animation du confetti comme ceci :

import confetti from 'canvas-confetti';

Pour lancer l’animation du confetti, appelez la fonction confetti() sans paramètres ou avec des options personnalisées. Voici un exemple de lancement de l’animation par défaut :

confetti();

Et voici un exemple de lancement de l’animation avec des options personnalisées :

confetti({
  particleCount: 150, // Nombre de confetti à lancer
  spread: 180, // Angle maximal de dispersion des confettis
  startVelocity: 30, // Vitesse initiale des confettis
  origin: {
    x: Math.random(), // Position initiale aléatoire des confettis sur l'axe horizontal
    y: Math.random() - 0.2 // Position initiale légèrement plus élevée sur l'axe vertical
  },
  colors: ['#ff0000', '#00ff00', '#0000ff'], // Couleurs des confettis
  shapes: ['square', 'circle', 'star'], // Formes des confettis
  scalar: 2 // Taille des confettis
});

Pour réinitialiser l’animation du confetti et effacer tous les confettis en cours d’animation, utilisez la méthode confetti.reset() :

confetti.reset();

Si vous souhaitez limiter l’espace sur votre page où les confettis apparaissent, vous pouvez utiliser un canvas personnalisé. Pour cela, créez un élément <canvas> dans votre HTML et appelez la fonction confetti.create() en lui passant l’élément <canvas> et des options globales facultatives :

const canvas = document.createElement('canvas');
document.body.appendChild(canvas);

const myConfetti = confetti.create(canvas, { // Options globales facultatives
  resize: true, // Permet de redimensionner le canvas en fonction de la fenêtre
  useWorker: true // Utilise un web worker pour le rendu du confetti
});

myConfetti({ // Options personnalisées
  particleCount: 100,
  spread: 160
  // Autres options personnalisées
});

Enfin, si vous souhaitez créer des confettis personnalisés à partir d’une forme SVG ou d’un texte, utilisez les méthodes confetti.shapeFromPath et confetti.shapeFromText :

const pathShape = confetti.shapeFromPath({ path: 'M0 10 L5 0 L10 10z' }); // Forme SVG

const textShape = confetti.shapeFromText({ text: '🐈', scalar: 2 }); // Texte personnalisé

confetti({
  shapes: [pathShape, textShape],
  scalar: 2
});

Le mieux reste d’aller faire un tour sur la page de démo qui comporte également des exemples d’intégration.