Cette couverture du CES 2015 a été rendue possible grâce au soutien de Domadoo.
Le CES, vous devriez vraiment voir ça… C’est tellement immense qu’il me sera impossible de tout voir et de parler avec tout le monde, mais en tout cas, ça m’explose la tête comme si j’étais un enfant de 4 ans cocainé déambulant dans le plus grand Toys’R’Us du monde.
C’est un truc de malade et j’ai vraiment beaucoup de chance d’être là. En me promenant, je suis tombé sur un truc qui va plaire à tous les bidouilleurs qui s’intéressent à la domotique.
Ca s’appelle Razberry (non, pas Raspberry) et c’est une petite carte Z-Wave qui vient se connecter directement aux ports GPIO d’un Raspberry Pi et qui permet de recevoir et transmettre des signaux Z-Wave.
Pour ceux qui ne connaîtraient pas Z-Wave, il s’agit d’un standard de communication domotique qui est chiffré et qui fonctionne en établissant un réseau mesh entre tous les appareils Z-Wave présents chez vous. L’intérêt de Z-Wave, c’est qu’il est vachement supporté par des tas de constructeurs et a le vent en poupe.
Pour en revenir à la petite carte Razberry, elle permet tout simplement de transformer n’importe quel Raspberry Pi en passerelle domotique Z-Wave. En plus du côté hardware, cette carte embarque un serveur web et un moteur pour faire tourner vos apps (API C et API JSON) grâce au SDK de Z-Wave.
A côté de ce produit plutôt rigolo pour mettre au point des applications domotiques amusante, la société Z-Wave & Me qui le commercialise, propose aussi une version clé USB de ce module, pour pouvoir faire plus ou moins la même chose, mais directement depuis votre PC. Elle est capable de gérer jusqu’à 232 modules et un logiciel baptisé Z-Way SW est disponible en téléchargement pour exploiter cette clé.
Vous trouverez plus d’infos ici.
A la recherche d’un DNS qui vous protège et respecte votre vie privée ?

Vie privée, contrôle parental, exceptions de filtrage…
NextDNS offre une grosse couche de sécurité qui vous permet de bloquer automatiquement la résolution de certains noms de domaine en fonction de listes fournies par différents acteurs. Vous pouvez par exemple bloquer les sites remontés par Google comme les sites fournissant des malwares ou proposant des pages de phishing. Tout ce qui est cryptojacking, c’est-à-dire les sites utilisant votre navigateur pour miner de la cryptomonnaie à votre insu, peut être également bloqué.
Le typosquatting vous connaissez ? Il s’agit de prendre un nom de domaine qui ressemble vraiment à un nom de domaine officiel et tromper les gens qui feraient des fautes de frappe ou en utilisant des caractères ASCII graphiquement proche de véritables lettres de l’alphabet. Et bien ici, même chose, NextDNS vous protège.