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Korben, roi d’internet, logo bébé avec des lunettes en mode thug life

— Article en partenariat avec Surfshark VPN

Aujourd’hui, vous savez que préserver sa vie privée en ligne est devenu une priorité pour beaucoup d’entre nous (en tous cas tout bon korbenaute se sent visé). Entre les data brokers, les gouvernements véreux curieux, les fuites et les pirates informatiques, il y a de quoi vouloir protéger ses données. Voici donc un petit tour d’horizon de différentes méthodes pour modifier son adresse IP et ainsi mieux protéger une part de vos données

Tor (The Onion Router)

Tor, c’est depuis de longues années un des champions de l’anonymat. Si vous voulez vraiment que personne (ou quasi) ne sache ce que vous faites en ligne, c’est l’outil qu’il vous faut. Tor fait passer votre trafic à travers une série de nœuds (ordinateurs bénévoles) disséminés aux quatre coins du globe. Chaque nœud ne connaît que l’adresse IP du nœud précédent et du suivant, ce qui rend la traçabilité plus compliquée.

Comme vous l’avez compris, les avantages sont un anonymat élevé (votre adresse IP est cachée, votre trafic est chiffré à chaque étape, etc.) et un accès à des contenus censurés. Parfait pour contourner les censures étatiques et accéder à des sites bloqués par exemple. Par contre l’outil a ses limites, notamment pour ce qui est de la vitesse. Tor est toujours souvent plus lent que les VPN, car votre trafic fait des détours. Si votre objectif est de télécharger de gros fichiers dégoulinants de Go, ou de regarder du contenu vidéo/streaming … ça va être tendu du slibard.

Après niveau utilisation c’est assez simple pour tout le monde, vous pouvez passer par le navigateur Tor maison qui inclus toutes les fonctionnalités permettant de surfer sainement sans laisser de traces (rapport au slibard si vous n’aviez pas fait le rapprochement).

Proxys

Les proxys sont un peu les cousins des VPN. Ils font office d’intermédiaires entre vous et le site web que vous visitez, mais ne chiffrent pas forcément votre trafic. En utilisant un proxy, votre trafic passe par un serveur intermédiaire. Ce serveur va relayer vos requêtes web et masque votre adresse IP réelle.

Les différents types de proxys (les plus connus sont HTTP plutôt axé navigation web, et SOCKS qui gèrent aussi les emails, le P2P, etc.) ont sensiblement les mêmes avantages que Tor. Une couche d’anonymat (masque votre adresse IP réelle) et offre l’accès à du contenu géorestreint afin de contourner certaines restrictions.

Mais eux aussi ont leur lot de limitations. Déjà parce que la qualité et la vitesse des proxys peuvent varier, ensuite parce que les proxys ne chiffrent pas toujours le trafic, donc potentiellement moins sécurisés que les VPN.

VPN (Virtual Private Network)

Le VPN de Surfshark, c’est la boite à outil de l’internaute prudent. Moins technique que les proxys pour Mr et Mme tout le monde, et sans les freins de Tor. En gros, un VPN crée un tunnel chiffré entre vous et un serveur distant. Ça fait croire à tous les curieux que vous surfez depuis un autre endroit. Quand vous vous connectez à un VPN, votre trafic Internet est redirigé via un serveur situé dans un autre pays (3200 serveurs, dans 100+ pays). Votre adresse IP réelle est cachée et remplacée par celle du serveur VPN. Avec Surfshark (comme pour Tor) il est possible de passer par plusieurs serveurs (fonction MultiHop) et même d’être invisible pour votre fournisseur d’accès Internet (mode camouflage).

Donc ici aussi votre identité est préservée (vous pouvez même créer des identités alternatives si ça vous chante). Votre adresse IP réelle est masquée. Impossible pour les sites web de savoir d’où vous venez vraiment. Tout votre trafic est chiffré de bout en bout (algorithme AES 256, protocoles Wireguard/OpenVPN, IKEv2 …), ce qui protège vos données des pirates, surtout sur les réseaux Wi-Fi publics. Et vous avez accès au contenu géolimité (catalogues Netflix, Amazon Prime Video & co). Vous vous ouvrez les portes de tous les contenus bloqués. Sans compter que votre surf habituel s’en trouve amélioré également (plus de publicités, de cookies inutiles… voir mon article sur la fonction Cleanweb de Surfshark).

Bref le VPN c’est le meilleur des 2 mondes. Super pratique, léger et complet, il permet de tout gérer et surveiller depuis une interface simple à prendre en main. Et si vous n’êtes pas encore convaincu, Surfshark propose ce que peu d’autres font : il supporte l’illimité en simultané. Vous pourrez donc protéger toute votre famille (ou votre équipe avec Surfshark Teams), sans subir de ralentissements parce que trop de gens sont connectés en même temps.

En ce qui concerne les prix, Surfshark reste parmi les moins chers du marché. Vous allez payer moins de 71€ TTC pour 27 mois de protection (abo 2 ans + 3 mois offerts), soit 2.63€/mois pour un nombre illimité de machines ! Difficile de faire mieux. C’est d’ailleurs mon VPN depuis maintenant plusieurs années, et je n’ai jamais eu de raisons de m’en plaindre !

Pour rester incognito et protéger vos données, rien de mieux que de combiner plusieurs de ces outils. Utilisez un VPN comme Surfshark pour le quotidien, Tor pour les moments où l’anonymat est crucial, et des proxys pour des besoins spécifiques. En jonglant avec ces technologies, vous pourrez naviguer en toute tranquillité, loin des regards indiscrets.

Allez, maintenant, à vos claviers et protégez votre vie privée comme des pros !

Testez Surfshark VPN


Quand on n’a pas de réseau sous la main pour se transférer un gros fichier, c’est souvent galère. Faut trouve une clé USB et quand c’est pour balancer un truc d’un smartphone à un ordinateur, c’est mission impossible. Heureusement, FlyingCarpet pourrait bien devenir votre nouvel allié dans ce genre de situations !

Disponible sur Android, iOS, Linux, macOS et Windows, cette application libre permet d’échanger des fichiers entre tous ces appareils sans avoir besoin d’un réseau WiFi commun ou d’une connexion mobile. Il suffit que les deux terminaux soient assez proches et équipés d’une puce WiFi.

Le principe est simple : l’un des appareils crée un réseau ad hoc auquel l’autre se connecte. La connexion est sécurisée par WPA2 et un mot de passe échangé via un QR Code. Les données sont même chiffrées de bout en bout avec AES-256 et tout ça sans avoir besoin d’être un expert !

Une fois appairés, les deux appareils peuvent alors s’envoyer des fichiers dans les deux sens, comme s’ils étaient sur un réseau local classique. Les débits sont suffisants pour transférer rapidement plusieurs gigaoctets et c’est même l’idéal pour déplacer de gros fichiers entre différents systèmes de fichiers sans avoir à configurer un partage réseau.

L’outil gère les reprises en cas de déconnexion et affiche une barre de progression pendant les transferts. Sur ordinateur, on peut même envoyer des dossiers entiers de manière récursive. Alors évidemment, cela désactive la connexion internet sur certaines plateformes mais la restaure une fois le transfert terminé. Sur Android, l’appareil qui crée le réseau peut même continuer à accéder au web en partageant sa connexion cellulaire.

C’est open source et disponible sur GitHub pour ceux qui veulent.


Un interpréteur Python 3 flambant neuf, entièrement réécrit en Rust, ça claque, non ? Pour ceux qui hibernent, Rust, c’est le langage de programmation qui monte, qui monte et qui cartonne notamment grâce à sa rapidité légendaire et son bon niveau de sécurité.

Et en fusionnant avec Python, on obtient le meilleur des deux mondes, puisque ça permet d’utiliser Python comme un langage de script dans vos applications Rust. Vous pourrez ainsi, grâce à RustPython, profiter de la simplicité et de l’expressivité de Python, tout en bénéficiant des performances et de la robustesse de Rust.

RustPython peut aussi être compilé en WebAssembly, ce qui permet d’avoir du Python directement dans votre navigateur, sans installer quoi que ce soit et ainsi, votre code s’exécutera à la vitesse de la lumière. Évidemment ce projet est open-source et libre comme l’air et pour l’utiliser, c’est simple comme bonjour.

Tout d’abord, assurez-vous d’avoir installé Rust sur votre machine. Si ce n’est pas le cas, filez sur rustup.rs dare-dare ! Ensuite, clonez le dépôt GitHub de RustPython :

git clone https://github.com/RustPython/RustPython

Placez-vous dans le répertoire RustPython fraîchement cloné, puis lancez la démo :

cd RustPython
cargo run --release demo_closures.py

Et voilà, vous venez d’exécuter du code Python à la vitesse du son grâce à RustPython ! Notez que cet outil dispose également d’un compilateur JIT expérimental qui compile les fonctions python en code rust natif.

Si vous avez envie d’en savoir plus, rendez-vous sur https://rustpython.github.io.

Source


Ça y est, la nouvelle version de Video DownloadHelper est enfin disponible !

Ça fait plus de 15 ans que Mig et son équipe bossent d’arrache-pied sur cette extension de téléchargement de vidéos, et ça se voit puisque des années après, elle drainent encore et toujours des millions d’utilisateurs sur Firefox, Chrome et Edge. Video DownloadHelper est un incontournable.

Pour cette version 9, l’équipe a fait appel à Paul Rouget (Salut Paul !), un vétéran de chez Mozilla qui a passé 17 ans à enrichir Firefox… alors, autant vous dire qu’avec un tel CV, il s’y connaît en extensions ! Et concrètement, qu’est-ce que ça nous apporte ?

Eh bien, un paquet de nouveautés bien intéressantes.

Déjà, l’interface a eu droit à un bon coup de polish. C’est plus moderne, ça supporte enfin les thèmes sombres (indispensable pour préserver nos petits yeux fatigués), et en prime, c’est navigable au clavier pour une meilleure accessibilité.

Mais la fonctionnalité la plus cool, c’est la barre latérale dans laquelle vous pouvez accrocher Video DownloadHelper pour avoir une vue en temps réel des vidéos disponibles au téléchargement, de celles en cours de download et des vidéos déjà récupérées. C’est hyper pratique pour garder un œil sur ses téléchargements sans quitter la page sur laquelle on est.

Et si vous souhaitez juste récupérer l’audio d’une vidéo pour créer une playlist ou écouter un discours sans stocker la vidéo complète, c’est maintenant possible puisque Video DownloadHelper peut extraire uniquement la piste audio, ce qui est parfait pour gagner en espace disque et vous créer des petits podcasts personnels à écouter en voiture ou dans les transports.

En parlant de format, la dernière version gère également la conversion d’un format à l’autre (merci FFmpeg) et supporte tout un tas de qualités (de l’Ultra HD à la basse définition) et de conteneurs (MKV, MP4, WebM, etc.). Bref, vous aurez l’embarras du choix.

De plus, l’extension supporte le téléchargement de vidéos depuis plus de 1 000 sites web, y compris les vidéos YouTube et les flux en direct, ce qui vous permettra de mater tout ça offline tranquillement plus tard.

Bref, vous l’aurez compris, l’équipe de Video DownloadHelper a vraiment mis les petits plats dans les grands pour nous offrir une version 9 de haute volée. C’est chouette de voir une extension durer aussi longtemps et continuer d’évoluer pour toujours mieux répondre aux besoins. Et le taf de Paul sur cette release se ressent vraiment surtout au niveau de l’interface qui est vraiment hyper agréable et hyper pratique à utiliser.

Bref, si ça fait longtemps que vous n’avez pas jeté un œil à Video DownloadHelper, je pense que c’est le moment de la réinstaller et de retester le téléchargement de vidéo sur votre site préféré (Youtube, X, Facebook, Vimeo…etc.)

Encore bravo à Mig, à Paul et à tous ceux qui participent à ce projet, pour ce nouvel opus de qualité !

A télécharger ici !

Source


Vous rêvez de créer des visuels de fou pour vos réseaux sociaux ?

Ne cherchez plus, SocialScreenshots est là ! Développé par Gabriel, un jeune développeur toulousain de 29 ans, cet outil ingénieux vous permet de capturer, recadrer et améliorer vos captures d’écran en quelques clics, directement depuis votre navigateur.

Inspiré par l’interface de Screen Studio, Gab a développé son site uniquement avec ReactJS et canvas, en créant lui-même tout l’habillage et le résultat est très sympa !

Grâce à ce site, vous pouvez créer un screenshot directement depuis un site web, puis le recadrer automatiquement au format voulu (Pour X, Facebook, Instagram, Linkedin et les résolutions d’écran classiques), et l’améliorer grâce à l’éditeur afin d’obtenir des rendus dignes d’un graphiste en herbe en ajoutant une ombre, en arrondissant les coins, et en choisissant un joli fond ou un dégradé pour l’arrière-plan.

C’est gratuit, y’a pas de filigrane ni de limite de temps, vous n’avez rien à installer et pas même besoin de créer un compte. Et toutes les manipulations se font localement dans votre navigateur, pour un maximum de simplicité et de confidentialité.

À découvrir ici