Vous vous êtes souvent demandé comment un CD pouvait se retrouver sur le net, si peu de temps après sa sortie, voir même avant !

Voici une illustration trouvée sur Spin qui montre que les opportunités pour un album entre le moment de sa conception à sa sortie en magasin, de se retrouver sur le net ne manquent pas.

1. Au studio : 4 mois avant sa sortie. Dès que les enregistrements sont finis, n’importe qui du producteur aux ingénieurs en passant par les musiciens peuvent récupérer l’enregistrement.
2. A la maison de disque : 3 mois et demi avant sa sortie. Les maisons de disques envoient les albums aux sociétés comme Sonic Arts pour ajouter un code crypté afin d’identifer les pirates rippeurs, sans forcement les en empêcher.
3. Par la presse : 3 mois avant sa sortie. Le passage par la case « presse » est le moment le plus fréquent pour un CD de se faire ripper, protections ou pas.
4. A l’usine : 1 mois avant sa sortie. En général, pendant sa production à grande échelle, le CD est protégé et mis sous clé mais parfois certains tombent du camion…
5. Chez les grossistes : 2 semaines avant sa sortie. Dès que les CDs sont en attentes pour être envoyés aux disquaires, c’est quasiment garanti que celui-ci se retrouve en ligne.
6. Chez les disquaires : Evidement dès que l’album est dans les bacs ou en vente en ligne, c’est fichu 🙂

Amusant…surtout le passage par la presse.

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A voir sur Intruders.tv, une vidéo interview (sous-titrée) d’Alex Tew, le créateur de The Million Dollar Homepage.

Il raconte comment il a eu cette formidable idée et il revèle en exclusivité qu’il va bientôt revenir avec un nouveau projet. Apparement une start-up un peu plus sérieuse que son projet initial.

Sympa cette interview, ça me rappelle des bons souvenirs.

Cliquez ici pour voir l’interview

Breakthrough, une organisation des droit de l’homme vient de sortir un nouveau jeu vidéo appelé ICED!.

Ce jeu vous met dans la peau d’immigrants fraichement arrivés aux USA. Vous perdrez votre visa étudiant, vous n’aurez plus assez d’argent, et si vous faites trop d’achats vous perdrez des points.

Breakthrough espère ainsi aider au changement des mentalité. Il pense peut être ainsi faire pression sur le gouvernement pour stopper les injutices du système d’imigration américain ?

En tout cas l’initiative est intéressante, même si je pense que les gens en général et les politiques en particulier ne jouent pas vraiment à ce genre de jeux vidéo…

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Evidement, vous allez devenir la star de la soirée. Les gens vont se jeter sur vous et vous aurez enfin une vie sociale ! Tout cela grâce à ce t-shirt :

L’equalizer incrusté à l’intérieur évolue au son des sons ambiants.

Et si celui là ne vous plait pas, il en existe une version Pong

Bon, c’est quand même super cher pour faire le kéké (25 $) mais pourquoi pas ! J’ai trouvé ça marrant.

Si ça vous dit, vous pouvez les commander ici.

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Vous vous souvenez de The Pirate Bay qui faisait un appel aux dons pour s’acheter une plateforme pétrolière au milieu de nul part ?

Et bien si vous avez donné quelques euros pour cette formidable opération, sachez tout de même que The Pirate Bay explose tous les records en terme de revenus publicitaires.

La publicité la plus chère est vendue 20 000 € la journée (uniquement sur le marché Suedois) ! Oui, vous ne rêvez pas !

Le hic, c’est que la police est encore après eux et enquête sur la façon dont les fondateurs de TPB gèrent ces revenus et veulent surtout savoir si ils payent bien les taxes et impôts qu’il faut. Actuellement, le site est officiellement le hobby des 2 co-fondateurs Fredrik Neij et Gottfrid Svartholm mais si le juge décide que ça dépasse le simple hobb, ils risquent gros…soit environ 1 à 2 ans de prison.

Durant les 4 derniers mois, la société Eastpoint Media en charge de la publicité de TPB en a vendu pour 60 000 €  / mois. Il faut quand même savoir que le dernier raid de la police (31 mai 2007) n’a rien arrangé et a fait augmenter le nombre de visiteurs de TPB.

Comme ces chiffres ne concernent que la version Suédoise, imaginez ce que cela peut rapporter sachant que The Pirate Bay est traduit dans 35 langues différentes et visité par des internautes des 4 coins du monde.

Là ou ça devient drôle, c’est que EastPoint Media transfert l’argent vers Random Media qui gère l’argent des co-fondateurs de The Pirate Bay.

Random Media a un numéro de téléphone à Stockholm mais surtout une adresse à Genève en Suisse. En recherchant cette adresse, on se rend compte qu’elle appartient au groupe « Geneva Management Group » (GMG).

GMG est une société spécialisée dans la gestion des taxes (et surtout détaxes) et dans les placements. Leur activité est d’aider les sociétés et les particuliers à « migrer » leur argent dans des pays où les taxes sont plus faibles et où les autorités n’ont pas de contrôle réel sur les banques.

GMG se refuse évidement à tout commentaire sur Random Media mais il faut savoir qu’ils ont donné un n° de téléphone au représentant de Random Media, Daniel Oded. Celui-ci qui a travaillé pour la société Target Point à Tel Aviv (Israel) qui est détentrice d’un brevêt international concernant un système pour gérer et vendre de la publicité sur Internet.

Daniel Oded s’est évidement lui aussi refusé à tout commentaire…

Je vous laisse seul juge de tout cela mais bon, ça ne sent pas bon aussi bien pour l’image de The Pirate Bay que pour leurs ennuis avec la justice.

Quand à leur plateforme au milieu de l’océan, et les appels aux dons, je pense qu’ils peuvent aller se faire voir maintenant…

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