OneFetch est un outil qui devrait vous plaire si vous êtes développeur. En effet, celui-ci permet d’afficher les informations d’un projet Git directement depuis votre terminal, tout cela de manière graphique (ASCII).
OneFetch supporte plus de 50 langages de programmation différents et vous présentera les infos comme ceci :
Si vous voulez l’installer, vous pouvez passer par le Snap Store, en clonant directement en clonant le repo + un petit « make install » ou en récupérant le binaire.
Si vous vous intéressez au rétro-gaming autrement que pour l’aspect « gaming » pur, vous allez kiffer la série mise en ligne par Arte.
Baptisée Retrogaming Made In France, ces 10 épisodes vous emmèneront à la rencontre de créateurs français qui ont marqué nos mémoires avec leurs créations (si vous êtes suffisamment ancien bien sûr).
Je pense notamment à Captain Blood, Les Voyageurs du Temps ou encore Atlantis, Dune et Alone in the Dark. Concernant ce dernier, j’y jouais dans le noir, la nuit, et je peux vous dire qu’il me faisait sursauter. Et j’ai réussi à aller jusqu’au bout malgré la terreur :-).
Lorsqu’on parle de vidéoconférence ce sont souvent les mêmes noms qui viennent en tête : Skype, Google Hangout, les appels vidéos Slack, voire les Facebook et autres Youtube Live.
Et bien, pensez à ajouter à cette liste le nom de Jitsi. Ce dernier est un projet open source, 100% gratuit, multiplateformes (Windows, macOS, Linux, Android, iOS) et qui a la particularité d’être modulable selon les besoins. De plus il est compatible avec le standard webRTC.
Par défaut Jitsi est composé de 2 modules (Videobridge et Meet) qui vous permettent non seulement de faire de la vidéoconférence classique mais aussi de chatter (oui les émojis sont présents, rassurez-vous), de partager son écran ou des vidéos YouTube, d’éditer des documents à plusieurs (via Etherpad), etc.
Mais vous pouvez aussi ajouter d’autres extensions depuis Github pour élargir encore le champ des possibilités : plus d’options audio, enregistrer vos sessions, faire de la diffusion simultanée (streaming), partager des fichiers, chiffrer vos communications … parmi d’autres exemples.
Autre petite chose assez sympa, l’outil ne vous demande même pas de créer un compte. Lancez juste une session depuis leur site et partagez l’URL (que vous pouvez personnaliser) avec vos contacts. Hyper simple et hyper rapide. Vous pouvez aussi sécuriser l’accès à cette session via un mot de passe pour éviter les voyeurs éventuels.
Et si vous êtes parano bien éduqué, vous voudrez faire tourner Jitsi en local. Chose très simple à réaliser puisqu’il suffit de récupérer les fichiers nécessaires pour l’installer sur votre serveur perso. Ainsi aucun risque de voir vos conversations top secrètes filtrer à l’extérieur.
Contrairement à d’autres technologies de vidéoconférence, Jitsi transmet la vidéo et l’audio de chacun directement à tous les participants, au lieu de les mélanger au préalable. Moins de latence, plus de qualité et surtout pas d’aspect technique complexe ou d’abonnement supérieur à payer si votre groupe de conférenciers passe subitement de 2 à 20 000. On ne sait jamais, un jour vous discutez au calme avec votre grand-mère et le lendemain vous êtes devenu une star du web qui cherche à rester proche de sa communauté ;-).
Plus sérieusement grâce à son côté open source certains ont créé leur propre environnement et ajouté diverses fonctionnalités afin d’adapter Jitsi à leurs besoins, c’est ce qu’on fait des équipes de Comcast, Stride, Matrix ou encore Rocket.chat.
Déjà l’avant-dernier jeu de ma liste de 10 FPS, j’espère que jusqu’ici vous vous êtes bien délassé avant de reprendre les choses sérieuses au taf ou à l’école. Évacuez-moi tout ce stress des vacances de la Toussaint ! Et s’il vous en reste un peu, voici FPS Agency : Forest.
Cette semaine on se rapproche plutôt du jeu militaire classique dans lequel vous devez vous la jouer solo à la Rambo. En effet pour une fois ce n’est pas un jeu multijoueurs donc vous êtes seul face à vous-même, vous n’aurez pas l’excuse du « oh, mais hein, je meurs tout le temps à cause de ces no-life qui ne sortent pas du jeu, moi j’ai une vie à côté sinon je les headshots faciles aussi ».
Tout cassé l’hélico
Pour l’histoire : toute votre équipe est morte dans le crash de l’hélicoptère qui devait vous mener à bon port et vous êtes l’unique survivant. À vous de réaliser la mission initiale seul … à savoir faire tomber le baron de la drogue, Ramirez, et son armée d’environ 12 milliards de sbires (à vue de nez).
(#SpoilerAlert) La première mission se fait sans tirer une seule balle et est (avis perso hein) assez chiante donc petite astuce pour vous la terminer vite fait : collez-vous contre les rochers à votre droite et suivez-les tout du long sans vous occuper des ennemis au centre 😉 Dès le stage suivant, ça devient plus sympa : dégommez tout ce qui bouge !
Bon graphiquement ce n’est pas le plus réussi ni le plus coloré, mais ça défoule bien. Et il vous faudra un minimum de stratégie pour avancer dans les niveaux tout en conservant un certain stock de munitions de manière continue. Parce que sans elles vous allez vite ramer, éliminer les soldats de Ramirez au cure-dent ce n’est pas simple. 12 milliards qu’ils sont, je vous l’ai déjà dit.
J’avoue que je n’ai pas pris le temps de finir le jeu en entier donc si de votre côté vous y parvenez dites-le-moi, et prenez une capture écran du fameux Ramirez, juste pour voir à quoi il ressemble 😉
« Ce que vous appelez l’enfer, il appelle ça chez lui ».
