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Korben, roi d’internet, logo bébé avec des lunettes en mode thug life

Si votre disque dur se rempli à vue d’œil et que vous ne savez pas comment faire le ménage, rmlint peut vous aider. Cet outil open source, disponible sur la plupart des distributions Linux, va vous permettre d’optimiser votre espace disque en un rien de temps.

Contrairement à d’autres outils du même genre, il se distingue par sa rapidité d’exécution en scannant vos disques en un clin d’œil pour dénicher tous les fichiers qui encombrent inutilement votre précieux espace de stockage. Au menu des fonctionnalités, rmlint est capable de détecter :

  • Les fichiers dupliqués et les répertoires en double
  • Les binaires non strippés (c’est-à-dire avec des symboles de débogage)
  • Les liens symboliques brisés
  • Les fichiers et répertoires vides
  • Les fichiers avec des ID utilisateur ou groupe invalides

Mais ce n’est pas tout puisqu’il propose également un mode paranoïa pour ceux qui veulent être sûrs à 100% de ne pas supprimer de fichiers importants par erreur. Il offre également de multiples options pour s’adapter à vos besoins et peut même se limiter aux fichiers plus récents qu’une certaine date.

Pour les fans de systèmes de fichiers modernes comme btrfs, sachez que rmlint les gère comme un chef et peut tirer parti des fonctionnalités avancées de ce dernier pour vous faire gagner encore plus d’espace disque.

Pour l’installer sous Debian / Ubuntu, un petit

sudo apt install rmlint

fera l’affaire. Ensuite pour le lancer, tapez simplement la commande rmlint suivie du répertoire que vous voulez analyser. Par exemple :

rmlint /home/utilisateur/dossier-bordel

Vous pouvez ajouter des options pour affiner l’analyse, comme -o pour spécifier un format de sortie ou

--paranoid

pour activer le mode paranoïa si vous ne faites pas confiance aux hashs retournés par l’outil et que vous craignez que des fichiers non-duplicate soient supprimés.

Et voilà, en quelques secondes (ou minutes selon la taille du répertoire), rmlint vous pondra un joli rapport listant tous les fichiers qui méritent de passer à la trappe. Il ne vous restera plus qu’à les supprimer d’un coup de rm bien placé et à profiter de vos gigaoctets fraîchement libérés !

Foncez sur https://rmlint.readthedocs.io/en/latest/ pour télécharger rmlint et découvrir toutes ses options. Votre disque dur vous dira merci !


— Article en partenariat avec Surfshark

Lorsque l’on parle d’un VPN, c’est principalement avec l’idée de disposer d’un outil qui va protéger vos données d’un point de vue professionnel (protéger votre équipe avec Surfshark). Ou pour son côté « amusement » comme débloquer les catalogues VOD/streaming, protéger sa TV intelligente, etc.

Mais une autre très bonne façon d’utiliser un VPN est de protéger la famille au sein même de votre habitation. Ce que fait plutôt bien Surfshark pour plusieurs raisons. Et la première n’est autre que le fait qu’il s’agit quasi du seul service du genre à proposer la protection d’un nombre illimité de machines et simultané. Donc que vous soyez célibataire ou que vous viviez avec une famille nombreuse c’est pareil, un seul abonnement et tout le monde en bénéficie.

Bon après même si le nombre d’appareils pris en compte peut être illimité … si la protection est foireuse ça n’a pas grand intérêt. Mais là encore Surfshark répond aux attentes. Outre le fait de n’avoir jamais été prit en flag de mentir sur sa politique de non-conservation de vos activités (multiples audits au fil des années), il repose sur la panoplie des meilleurs standards du domaine : chiffrement AES 256, protocole IKEv2/IPsec, support de Wireguard/OpenVPN/L2TP, etc.

Maintenant, comment est-ce qu’un VPN protège concrètement les utilisateurs de votre maison ?

Déjà en modifiant votre adresse IP. Vous savez sans doute déjà qu’une adresse IP est celle qui identifie votre machine sur Internet. Toutes vos actions y sont liées : achat en ligne, message sur un réseau social, etc. Il est donc assez facile de relier votre comportement en ligne à votre appareil.

Surfshark vous permet de modifier cette dernière en changeant de serveur, de manière aléatoire tous les x temps … ou de la garder fixe si besoin. En changeant d’IP, vous donnez aux sites que vous visitez (même à votre fournisseur d’accès via le mode camouflage) une localisation qui est différente de votre vraie position.

Le chiffrement de vos données est un autre aspect de cette protection. Par défaut tout ce que vous faites en ligne sera chiffré avec les meilleurs algorithmes du moment. Si une personne mal intentionnée venait à intercepter votre trafic, il ne pourrait rien en faire. Ce qui est plutôt appréciable, surtout si vous habitez un pays où le gouvernement en place aime jouer au petit curieux.

L’idéal dans ce cas est bien entendu de sécuriser le routeur de la maison, celui par lequel tout passe. Mais simplement installer le VPN sur tous vos appareils fera aussi très bien le taf. Et ce qui est plutôt cool c’est que Surfshark supporte toutes les religions, de Windows à Linux en passant par macOS, Android, iOS, BlackBerry, vos smart TV, navigateurs et mêmes consoles de jeux. Bref il est plus flexible qu’un contorsionniste.

Un point à prendre en compte est de choisir un VPN qui corresponde à votre situation. On pense souvent à des serveurs situés un peu partout dans le monde sans faire attention à sa propre géoloc. Or vous pouvez très bien avoir envie de regarder un contenu réservé à la France … depuis la France. Sans donner votre position. De ce côté Surfshark est blindé avec ses 3200+ serveurs (quasi tous en 10 Gb/s) répartis dans 100+ pays. Pas le plus grand parc de serveurs des VPN, mais le mieux réparti et avec l’un des meilleurs rapport qualité/prix du marché.

Comme vous êtes l’adulte de la maison (hum hum), ce sera à vous d’éduquer vos enfants sur le sujet.  Surtout les plus jeunes (et les plus vieux) qui ne sont pas forcément au courant des risques potentiels dans ce bourg mal famé que sont les Internets. Et avec le pack Surfshark One dont j’ai parlé dernièrement et intégré par défaut depuis peu, il vous permet de disposer en plus d’un antivirus, d’un système d’alerte, de la création d’identité alternative, d’un moteur de recherche privé, d’un surf sans publicités ni traqueurs et un tas d’autres options !

Récemment le site du VPN aux dents de requin a publié un classement mondial de la qualité de vie numérique. Et notre hexagone s’y classe … premier devant la Finlande et le Danemark. Place que l’on doit surtout au prix de nos connexions (merci Free), parce que niveau cybersécu et infrastructure électronique nous sommes bien plus mal placés (autour de la 15e place). Comme quoi il y a encore de la marge.

Et tout cela vous est accessible pour moins de 3.25€/mois TTC (abonnement 2 ans). Satisfait ou remboursé durant 30 jours, donc pas de prise de risques, vous pouvez tester ça au calme et vous faire votre idée. Niveau des modes de paiement il y en a pour tout le monde : de PayPal à la CB, en passant par les solutions comme Google Pay/Amazon Pay et les cryptomonnaies.

N’attendez plus, essayez Surfshark VPN !


Si vous avez encore un vieux PC sous Windows Vista qui prend la poussière dans un coin, ne le jetez pas tout de suite ! En effet, grâce à Windows Vista Extended Kernel, vous allez pouvoir lui donner un coup de jeune et profiter des logiciels récents normalement incompatibles.

Développé par le créateur de Supermium, un navigateur Chromium optimisé pour les anciens Windows, cet outil d’optimisation système est une véritable cure de jouvence pour votre machine vintage. En mettant à jour les fichiers important de ce système sorti en 2007, notamment les DLL, il lui permet de faire tourner des applications récentes comme Firefox, OBS Studio ou encore Chromium.

L’avantage, c’est que vous pourrez conserver votre bonne vieille installation et vos habitudes. Et vous n’aurez pas besoin de formater ou de changer d’OS, mais juste d’installer cet add-on et le tour sera joué. Comme ça, votre vieille bécane sera parée pour surfer sur le web, sans galérer avec des certificats expirés ou des technologies obsolètes.

Bien sûr, on ne parle pas de performances de haut vol, hein… N’espérez pas faire tourner les derniers jeux AAA du moment ou faire du montage vidéo 4K. Mais pour une utilisation bureautique et multimédia de base, ça fera largement l’affaire. C’est toujours ça de pris !

Bien sûr, niveau sécurité, c’est pas forcement le pied, donc soyez quand même trèèèès prudent. Notez aussi qu’il existe d’autres solutions beaucoup plus pertinente pour upgrader un PC vieillissant, comme installer une distribution Linux légère. Mais si vous tenez à rester sous Windows et que vous avez un faible pour Vista, y’a cet outil.

Vous pouvez télécharger Windows Vista Extended Kernel sur le site de l’auteur.

Allez, je vous laisse, j’ai un Pentium 4 qui m’attend pour une petite LAN de Quake 3 Arena à l’ancienne.

Bah quoi ?


— Article rédigé par l’ami Remouk (DansTonChat) – Merci à lui —

The Land Beneath Us : derrière ce nom bizarre se cache une belle petite surprise pour les fans de dungeon-crawler en tour par tour, un roguelite à la progression bien dosée, un gameplay tactique avec pas mal d’originalité. Je vous en dis plus… Ci-dessous ! 😉

Tout commence après une intro un peu chelou, dont l’ambiance guillerette et cartoon contraste complètement avec le jeu : on est dans bas-fonds d’un univers cybernétique, informatique, à base de gros pixels et d’effets de lumières/3D super jolis, de glitchs visuels et de musique électronique posant une atmosphère intrigante.

En vue de dessus, on déplace notre robot case par case. Chaque mouvement ou attaque, c’est un tour de jeu : les ennemis agiront en même temps, comme dans ce bon vieux NetHack… On utilise surtout haut, bas, gauche, droite, pour se mouvoir mais aussi pour donner des coups. Sympa : on choisi une arme par direction ! À nous de créer des synergies et essayer de faire face à toutes les situations.

À cela s’ajoute quelques mécaniques bienvenues : des améliorations d’armes, des reliques qui nous ajoutent ou améliorent nos compétences, une téléportation, mais aussi des combos à base de « puces » électroniques ! En gros, des pouvoirs qui seront lancés après avoir effectué un certain enchainement de mouvement. En prévoyant bien son coup, ça peut être dévastateur ou salvateur, bref, c’est cool. 🙂

Qui dit roguelite, dit progression entre chaque partie. Là-dessus c’est bien dosé, on débloque régulièrement des éléments qui nous offrent de nouvelles possibilités, nous permettent d’aller plus loin, ou nous facilitent carrément la vie (skills, emplacements d’inventaire, + de choix dans le loot…). Bien sûr, une fois le jeu « terminé », on peut continuer mais en ajoutant des handicaps ; pour finir le jeu à 100% il va falloir être bon !

Je ne vais pas parler du scénario, car honnêtement, je n’ai rien compris (je pense que c’est dû à la traduction française, parce que vraiment, c’était pas clair…), mais l’ambiance qui s’en dégage est super sympa, un truc un peu dark genre purgatoire, mélangé à des personnages assez rigolos… Et une histoire de révolte. 🤷

Niveau technique, si vous appréciez le genre comme moi, vous allez kiffer. 🙂 C’est très joli, très lisible et clair malgré de (très) gros pixels parfois. L’atmosphère est superbe. Le seul truc un peu relou, c’est que quand on choisi une arme, on ne peut pas voir en même temps les armes qu’on a déjà… À part ça c’est bien foutu, tant qu’on prend le temps de peser le choix de nos actions (une erreur peut s’avérer fatale).

J’ai vraiment passé un super moment, c’est un jeu prenant et assez « reposant », en dehors de certains combats tendus. Les runs durent environ 30-45 minutes, on se surprend à les enchaîner pour découvrir le monde suivant, pour débloquer des capacités, des puces, ou tenter une nouvelle approche au niveau des pouvoirs / armes.

Pour environ 15€ vous pouvez foncer ! Une démo est disponible sur les différentes plate-formes, je vous invite à vous faire votre propre avis, en espérant que vous passerez un bon moment à collecter des âmes dans ce donjon tactique ! 🤖

Retrouver The Land Beneath Us sur PC (Steam)Nintendo SwitchPlaystationXbox


i ça vous saoule de devoir répéter inlassablement votre mot de passe wifi à tous vos invités, il existe une solution simple et sécurisée pour partager votre clé wifi sans prise de tête : Wificard.io

Fini les post-its gribouillés collés sur le frigo ou les SMS interminables pour redonner le code wifi à chaque nouvel arrivant. Avec Wificard.io, vous allez pouvoir partager vos accès réseau en un clin d’oeil. Il vous suffit d’entrer le nom de votre SSID et le mot de passe associé, de choisir la langue et hop, le tour est joué !

L’outil génèrera alors automatiquement un joli QR code personnalisé.

Vos invités ou collaborateurs n’ont plus qu’à scanner ce QR code avec leur smartphone pour se connecter illico au réseau, sans même avoir à entrer le mot de passe. Pratique, non ?

Cerise sur le gâteau, l’outil fonctionne entièrement en local. Aucune information n’est envoyée sur le net, vous gardez le contrôle total sur vos données. C’est simple, gratuit, et ça marche sur tous les appareils. Que demander de plus ?

Alors la prochaine fois qu’on vous demande le code wifi, dirigez donc vos invités vers votre QR code Wificard.io. En un flash, tout le monde sera connecté sans même connaître votre mot de passe. De quoi libérer de la bande passante dans votre cerveau pour des choses plus essentielles ! Par contre, si une équipe de télévision vient faire un reportage chez vous, pensez à retirer la Wifi Card du tableau en liège derrière vous, sinon tout le monde va se moquer.