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Korben, roi d’internet, logo bébé avec des lunettes en mode thug life

— Article en partenariat avec Surfshark

On a tendance à souvent présenter un VPN sous l’angle de la protection personnelle : comment il permet de garder nos informations privées, comment il va nous permettre d’accéder au catalogue mondial Amazon Prime, etc. On va aussi penser à la protection de toute sa famille et/ou de son parc de machines perso. On pense moins souvent à l’outil dans son application au domaine professionnel, alors que c’est tout aussi (si pas plus) important.

Surfshark VPN a récemment décidé de mettre un peu plus le focus sur cet aspect communautaire. Et après tout pourquoi pas, tous les intervenants sont gagnants (« iz a win win zituazion » comme disent les ricains). Aussi bien les entreprises qui vont du coup sécuriser leurs données et leurs employés, que ceux-ci qui auront une couche de protection offerte par la boite. C’est encore plus indispensable depuis la démocratisation du télétravail, les appareils et lieux de connexions sont beaucoup plus nombreux et variés qu’auparavant.

Et c’est d’autant plus simple à gérer avec Surfshark qu’il est le seul (avec IPVanish à ma connaissance) à proposer un abonnement qui prend en compte un nombre illimité d’appareils. Quelle que soit la taille de votre équipe (à partir de 5 personnes minimum) il n’y a pas de surcouts cachés à prévoir, de quota de trafic ou autres limitations, ce qui est plutôt appréciable. De plus il est l’un des plus flexibles du marché, il supporte toutes les plateformes et systèmes d’exploitation : Windows, macOS, Linux, Android, iOS, mais aussi la plupart des navigateurs, consoles de jeux, routeurs et autres smart TV. Téléphone, desktop, laptop ou tablette … quelle que soit la manière de travailler de chacun, il sera là.

L’interface sera toutefois légèrement différente de la version classique. Elle va permettre à un référent (le geek informaticien de la société ou le chef, à tout hasard) de superviser l’ensemble. Il disposera d’un certain nombre d’invitations, en fonction de la taille de l’abonnement, et il pourra alors donner des accès, en supprimer, gérer les droits … Ce qui permet de superviser un peu le tout sans que cela ne devienne trop le boxon. Plus d’excuse de « la mauvaise connexion » ou « je ne pouvais pas avoir accès depuis le pays ou j’étais, le site y est censuré » 😉 Avec plus de 3200 serveurs répartis dans 100 pays, quasi tous passés à des débits de 10 Gb/s, difficile de ne pas trouver ce qu’il vous faut.

L’interface pour la gestion des équipes

Bien entendu l’un des plus gros bénéfices est le même que si vous prenez Surfshark VPN en mode personnel : le chiffrement des données. Et dans le cadre d’informations d’entreprises parfois sensibles, cela peut être encore plus important. Chiffrement AES-256-GCM, protocole IKEv2/IPsec, possibilité d’utiliser OpenVPN, WireGuard ou L2TP … du côté sécurité toute la panoplie est là.

Vous bénéficiez aussi de toutes les fonctionnalités classiques (mode camouflage pour votre FAI, création d’identité alternative, multiHop, rotation d’IP, bouton kill switch, Surfshark Nexus …). Et si vous voulez encore mieux protéger votre équipe, vous avez la possibilité d’ajouter l’option Surfshark One. Cette dernière comprend un antivirus en temps réel (avec surveillance de hack potentiel de la webcam), un moteur de recherche privé (sans flicage et sans pubs), ainsi qu’un système d’alerte par mail. Celui-ci pourra s’avérer intéressant, car il va surveiller en continu les tréfonds du web pour vous prévenir si l’adresse d’un membre de votre société a fuité quelque part.

Le télétravail, meilleure invention de l’humanité

Et comme nous parlons ici d’un cadre plutôt pro, je ne dirai rien concernant les accès aux services VOD (et musique) du monde qui sont accessibles. Les connexions Surfshark ne sont pas bloquées par Netflix, YouTube, Amazon, Spotify…etc. En fonction du pays du serveur que vous choisirez, vous aurez accès à des catalogues de contenus sans restrictions géographiques. Non, n’insistez pas, je resterai motus et bouche cousue. Nada, je n’en parlerai pas. Pas envie d’avoir des soucis avec votre patron.

J’en profite d’ailleurs pour mentionner une petite nouveauté du côté de l’antivirus sur Windows, la fonctionnalité Web Protection. Celle-ci n’a rien de révolutionnaire, mais est plutôt axée pratico-pratique. Elle permet de vérifier vos logiciels et applications et scanner toutes urls avant que vous n’accédiez aux sites. Et bloquer celles qui pourraient s’avérer dangereuses, ce qui limitera les risques de phishing ou de téléchargements de malwares de la part des plus distraits.

Bref si vous cherchez à mieux protéger vos salariés adorés, vous pouvez utiliser directement le formulaire sur le site Surfshark (bouton rouge « Demander un devis ») pour recevoir une offre. Mais la démarche peut venir de votre côté si vous êtes salarié et que vous pensez que votre protection n’est pas assurée ou suffisante. N’hésitez pas à en parler avec votre boss pour attirer son attention sur le sujet.

Prenez soin de vos employés avec Surfshak VPN !


Dosdude1 est un hacker assez connu dans le petit monde du hackintosh et dernièrement, il a réussi un exploit : ressusciter un Mac Mini DTK ! Pour ceux qui ne sont pas familiers avec ce nom, le DTK est un prototype de Mac Mini équipé d’une puce A12Z, qu’Apple avait distribué à quelques développeurs triés sur le volet en 2020 pour qu’ils adaptent leurs applications à l’architecture ARM.

Ce DTK était donc censé être temporaire… les développeurs avaient le droit de le garder 6 mois, puis devaient le renvoyer à Apple pour destruction. Mais comme souvent, certains exemplaires ont fini par tomber du camion poubelle et se sont retrouvés en Chine pour y être recyclés. C’est là que l’histoire devient intéressante puisqueDosdude1 a réussi à mettre la main sur un de ces DTK en piteux état. La carte mère était sérieusement endommagée, les puces de stockage avaient disparu, bref ce n’était pas gagné.

Mais ce serait mal connaître notre bidouilleur de génie qui armé de patience et de talent, a entrepris un véritable travail d’orfèvre pour restaurer cette épave. En gros, il a réparé les circuits de la carte mère au dremel et à la lime, remplacé les condensateurs défectueux, et surtout il a ressoudé une nouvelle puce de stockage après l’avoir flashée avec le bon firmware. Un vrai travail de titan !

Après de longues heures de labeur, le verdict tombe : la machine démarre et s’affiche en DFU ! Bon, elle n’est pas encore complètement fonctionnelle, il faut encore restaurer macOS et l’activer mais quand on connaît le niveau de sécurité des puces Apple, c’est déjà un sacré exploit d’en arriver là !

Pour restaurer le DTK, dosdude1 va alors devoir ruser. Impossible de se servir des firmwares génériques comme pour un hackintosh, vu que la puce est verrouillée mais le bricoleur est ingénieux et décide d’utiliser les serveurs de récupération d’Apple pour obtenir les bons fichiers du DTK en se basant sur son numéro de série. Pas con 🙂

Une fois macOS restauré, il faut encore activer la machine et là, mauvaise surprise, ça ne marche pas ! En fait, le numéro de série a changé mais dosdude1 a plus d’un tour dans son sac. Il parvient à retrouver le numéro de série et l’adresse MAC d’origine en interrogeant une nouvelle fois les serveurs d’activation d’Apple puis il les réinjecte dans la puce de stockage, effectue une dernière restauration, et là… Ça fonctionne !

Le DTK est enfin pleinement opérationnel sous macOS 11.2, la dernière version supportée. En prime, il lui ajoute un boîtier complet de Mac Mini 2018 avec tous les accessoires et le résultat est incroyable ! On dirait un Mac Mini tout droit sorti d’usine !

Respect dosdude1 car malgré tous les efforts d’Apple pour verrouiller ses appareils, y’a toujours un mec qui réussira à les obstacles et ça c’est cool !

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C’est vraiment une histoire incroyable que je découvre là… Un groupe de cyber criminels a réussi l’exploit de pirater plus de 400 000 serveurs Linux / FreeBSD / OpenBSD / SunOS / OSX depuis 15 ans, et tout le monde est passé à côté. Et tout cela grâce à un cheval de Troie appelé Ebury qui se planque discrètement dans le système.

Techniquement, Ebury s’infiltre via OpenSSH, le protocole qui permet de se connecter à distance à un serveur et une fois installé, ce parasite ouvre une porte dérobée pour que les pirates puissent entrer et sortir comme dans un moulin. Et le pire, c’est qu’il est super discret : il efface ses traces et se fait passer pour un processus légitime. Un vrai caméléon !

Très contents de mettre la main sur tous ces serveurs, les hackers ont aussi réussi à récupérer les mots de passe chiffrés de plus de 500 utilisateurs. Un trésor de guerre qui leur a permis de craquer la moitié des comptes et de se balader tranquille sur les machines infectées. D’après les experts en sécurité d’Eset, Ebury aurait commencé à sévir dès 2009, en s’attaquant aux serveurs de kernel.org, le sanctuaire du noyau Linux. Puis au fil des années, il s’est propagé un peu partout, en passant par des fournisseurs d’accès, des hébergeurs web, jusqu’à créer un méga botnet de plus de 400 000 zombies. Un peu flippant quand même…

Mais alors pourquoi personne n’a rien vu pendant tout ce temps ?

Eh bien, en 2011 déjà, des petits malins avaient repéré un truc louche et donné l’alerte. Les boss de kernel.org avaient alors promis de mener l’enquête… mais sans jamais donner de nouvelles. Un silence radio qui en dit long sur l’ampleur de la catastrophe !

Le pire dans tout ça, c’est qu’Ebury est toujours actif et continue de contaminer de nouvelles victimes grâce notamment à des failles 0-day dans des outils d’administration, du phishing, des attaques par dictionnaire sur SSH… Bref, l’attirail classique du parfait petit pirate. Sans oublier une méthode bien vicieuse : le gang vole carrément les identifiants d’autres cybercriminels et les utilise pour louer des serveurs et brouiller les pistes.

Ainsi, une fois qu’ils ont mis la main sur un maximum de machines, ils minent de la cryptomonnaie, volent des données bancaires, envoient du spam et redirigent du trafic web pour se faire du blé. La routine du cybercriminel, quoi… Mais rassurez-vous, il y a quand même des trucs à faire pour éviter de se faire piéger comme un bleu.

Déjà, oubliez le mot de passe unique et passez à l’authentification multi-facteurs sur SSH. Ensuite, surveillez vos logs et les connexions douteuses. Et si vous êtes sysadmin, appliquez direct les patchs de sécurité et surveillez régulièrement vos serveurs. Pour vous dire à quel point ces mecs sont doués, réussir à passer inaperçu pendant 15 piges et pirater autant de serveurs, c’est quand même pas rien ! Alors c’est pas une raison pour baisser la garde en touillant votre petit café !

Pour en savoir plus sur Ebury et ses impacts, n’hésitez pas à consulter ce rapport détaillé disponibles en ligne.

Bon courage 🙂

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Vous cherchez une solution libre pour gérer vos projets ? Ne cherchez plus, Planka est là pour booster votre travail d’équipe !

Avec Planka, fini les tableaux de bord moches et mal foutus. Son interface est tellement intuitive et agréable qu’elle donnerait presque envie de bosser le dimanche. Mais on va quand même éviter hein, faut pas pousser mémé dans les orties. 😅

En plus, l’appli est bourrée de fonctionnalités que je trouve bien pensées pour :

  • Créer des projets, des tableaux, des listes, des cartes, des labels et des tâches à tire-larigot
  • Assigner des membres à vos cartes, surveillez le temps passé, fixez des deadlines, ajoutez des pièces jointes et des commentaires pour tenir tout le monde informé
  • Profiter du support du Markdown dans vos descriptions et commentaires pour mettre en forme vos idées de génie
  • Filtrer vos cartes par membres et labels pour vous y retrouver dans votre joyeux bordel organisé
  • Customiser le fond de vos projets pour coller à votre mood du jour (aujourd’hui ce sera papillons et arc-en-ciel 🌈)
  • Savourer les joies des mises à jour en temps réel pour voir en direct qui a encore déplacé votre carte dans la mauvaise liste
  • Recevoir des notifications pour ne rien louper, même quand vous faites semblant de bosser en télétravail comme tous les Thierry.
  • Et bien sûr profiter de Planka dans votre langue favorite (même en Klingon si ça vous chante)

Sous le capot, Planka embarque une stack technique de premier choix avec du React, Redux, Semantic UI…etc. côté client et côté serveur, on retrouve Sails.js, Knex.js et PostgreSQL.

En plus, c’est simple à installer (Dockeeeer) -> Je vous invite à lire la doc et je vous dis à demain 🙂


Attendez une petite seconde… Vous me dites que je peux transformer mon iPhone et mon Apple TV en Super Nintendo? En PlayStation? En Sega Master System ?? Incroyable ! Et oui mes petits rétro gamers, c’est désormais possible grâce à l’arrivée tant attendue de RetroArch sur l’App Store !

Pour ceux qui débarquent, c’est un programme qui vous permet de jouer à tous vos jeux rétro préférés sur une seule plateforme. Grâce à son système de « cores », vous pouvez émuler différentes consoles et retrouver vos jeux d’enfance sans problème.

Cette plateforme est open-source et multi-système et s’appuie sur l’API libretro pour fournir une interface uniforme pour l’émulation. Ce qui rend RetroArch unique, c’est son adoption de technologies modernes comme le support pour les shaders GPU avancés, le contrôle de taux dynamique, ou encore l’utilisation de l’API Vulkan pour un rendu graphique optimisé.

Depuis son lancement initial, RetroArch n’a cessé de se développer et de s’améliorer, supportant désormais un éventail impressionnant de plateformes : Windows, macOS, Linux, Android, iOS, tvOS ainsi que des consoles comme la PlayStation et la Xbox.

Parmi ses fonctionnalités, on retrouve :

  • Support avancé des shaders GPU
  • Contrôle de la fréquence dynamique pour synchroniser l’audio et la vidéo
  • Enregistrement vidéo avec FFmpeg
  • Interface de configuration automatique des gamepads
  • Netplay peer-to-peer pour jouer en ligne sans latence
  • Fonctionnalités avancées de sauvegarde et de rembobinage du gameplay
  • Superposition de boutons sur écran tactile
  • Thumbnails des jaquettes de jeux
  • Options pour réduire la latence d’entrée et audio
  • Interfaces utilisateur multiples comme CLI, XMB, GLUI et Ozone

L’émulation n’est pas sa seule spécialité puisque RetroArch englobe un large éventail d’applications, ce qui en fait une véritable toile pour les passionnés de rétro-gaming.

Pour la configuration et l’installation de RetroArch, c’est simple :

  1. Téléchargez RetroArch à partir de RetroArch.com. Ou si vous êtes sur un appareil Apple c’est par ici.
  2. Installez le logiciel en suivant les instructions spécifiques à votre système d’exploitation.
  3. Téléchargez et installez les cores (émulateurs) via RetroArch.
  4. Ajoutez vos ROMs en scannant votre répertoire de jeux.

Une fois configuré, vous pouvez également profiter de fonctionnalités avancées telles que les shaders pour améliorer les graphismes, ou encore la configuration de manettes personnaliser votre gameplay. Et pour ceux qui aiment jouer en ligne, RetroArch propose également une fonction Netplay, permettant de jouer à vos jeux rétro préférés avec vos amis, quel que soit leur lieu géographique.

Bref, n’attendez plus pour transformer votre iPhone, iPad, Apple TV, ou tout autre appareil compatible, en une véritable machine à remonter le temps du gaming. Pour plus de détails et de tutoriels, visitez le site officiel de RetroArch.

Amusez-vous bien !