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Korben, roi d’internet, logo bébé avec des lunettes en mode thug life

Chouette, une jolie nénette qui vous a demandé comme amie sur Facebook ! L’occasion de faire une nouvelle rencontre ou alors un faux profil qui va essayer de vous soutirer des informations, voire de vous escroquer ? Voici une infographie réalisée par Barracuda Networks, qui vous permettra d’y voir plus clair…

Photo d'un faux profil avec une photo de profil de très mauvaise qualité

Enfin, ce que je vous conseille quand même, c’est de n’ajouter que des gens que vous connaissez vraiment… Ça semble évident dit comme ça, mais en général, une paire de jolis…. yeux, ça peut faciliter l’ajout d’amis précipité 🙂


Ça fait quelques années qu’écrire un bouquin me trottine dans la tête… Ça m’attire, mais je ne l’ai pas encore fait pour 2 raisons :

  • Le sujet… Un sujet technique ? Un roman ? Une réflexion ? De la poésie ?
  • Le temps… Je n’en ai pas. Il faudrait que j’en dégage.

Après il y a aussi la question du talent 🙂 Peut-être que je ne suis absolument pas fait pour ça, mais tant que je n’ai pas essayé, je ne le saurai pas 🙂

Bref, tout ça pour dire que si vous aimez écrire et si vous avez l’habitude de travailler en collaboration avec d’autres gens sur des œuvres littéraires ou des articles, il existe une application open source baptisée BookType qui tourne avec du Python qui va vous permettre de faire de grandes choses. Je suis en train de l’installer et comme c’est du Django, je galère un peu, car je ne suis pas familier avec ce framework. Mais pour vous expliquer toute la beauté de la chose, BookType va vous permettre d’ouvrir un espace collaboratif sur votre site pour que vous ou des gens motivés puissent écrire leurs propres livres.

Plateforme d'écriture collaborative Booktype

Booktype gère le versionning, les traductions, et surtout l’export qui peut être fait vers des formats d’ebooks (PDF, ePub, ODT, HTML, MOBI…etc), des plateformes comme Amazon, iBooks, Lulu ou même partir chez l’imprimeur. Voici une présentation en vidéo :

Vous pouvez tester une démo en ligne ici (Inscrivez vous pour tester vraiment). Je pense qu’il y a moyen de faire un truc sympa avec ce système.

Toutes les infos sur Booktype sont par ici.

Source


Ça fait plusieurs années que Bram Cohen, le papa de Bittorrent en parle, et je suis très heureux de voir que le streaming p2p avance… Ce protocole, dérivé de celui de Bittorrent permet tout simplement d’offrir un streaming vidéo / audio en peer 2 peer ce qui, je ne vous le cache pas est une très grosse avancée.

Actuellement, lorsqu’on veut retransmettre une vidéo en streaming sur le net, il y a 2 possibilités… Soit la vidéo est hébergée, soit elle est streamée en temps réel. Dans les 2 cas, cela nécessite des serveurs avec une grosse bande passante et évidemment, le média est centralisé. Avec Bittorrent Live, ces coûts d’infrastructure seront largement réduits grâce au p2p. Chacun ira chercher chez son voisin le petit bout de stream qui lui manque.

Pour le moment, tout ceci est encore expérimental même si un client pour Windows, OSX et Linux est disponible et permet de lire des flux BT Live dans une page web avec un player spécial. Le défi technique, c’était d’éviter les temps de latence nécessaires au téléchargement des chunks (morceaux) du live, et d’après Bram Cohen, ce problème a été corrigé. BT Live reste en dessous de 5 secondes de temps de latence, en faisant reposer la diffusion du stream à 99% sur les utilisateurs connectés. Là où c’est dommage, c’est que le protocole ne sera pas open source mais il devrait être utilisable gratuitement en cas d’utilisation non commerciale. Pour ceux qui voudront intégrer de la pub dans leurs diffusions ou rendre l’accès payant, il faudra acquitter de la licence, ce que je peux comprendre. (Business is business)

Capture d'écran de l'interface de Bittorrent Live

En tout cas, j’attends le SDK avec impatience pour voir ce que la bête a dans le ventre. Pour faire un essai, je vous invite à vous connecter sur cette page. Là je suis en train de tester et ce n’est pas la joie. Ça lag à mort… Vendredi à 17h, c’est un vrai live qui sera diffusé… Un concert de J:Miah. L’occasion de faire un test grandeur nature.

Source


Lorsque vous allez trop vite et que vous fermez un onglet par erreur dans Firefox ou Chrome, il suffit de faire un simple CTRL+SHIFT+T pour le rouvrir (ou CMD+SHIFT+T sur Mac). Mais lorsque vous fermez un dossier ou un logiciel (sous Windows) par erreur, pour le relancer, il faut repasser par le menu démarrer ou le raccourci que vous avez mis sur votre bureau ou dans la barre des tâches.

Ce que je vous propose c’est de gagner quelques précieuses secondes de votre vie, en relançant la dernière application fermée (ou les dernières applications fermées), avec une simple combinaison de touches : CTRL + SHIFT + F (et CTRL + SHIFT + A pour les dossiers).

Capture d'écran du logiciel Undoclose affichant la liste des applications à protéger

Pratique ! Je regrette juste une chose, c’est que ça ne capture pas le nom des fichiers ouverts dans les applications pour pouvoir les restaurer aussi dans la foulée. Undoclose est téléchargeable ici.

Source et photo


Passer par une connexion SSL (HTTPS) permet d’éviter que des yeux un peu trop curieux n’interceptent vos communications. C’est d’ailleurs pour cela que de plus en plus d’acteurs du web comme Google, Twitter, Facebook (ou même Korben.info) sont accessibles en HTTPS.

Et pourtant, certains chemins détournés permettent quand même d’en savoir un peu plus sur ce que fait un internaute, même si ce dernier passe par une connexion chiffrée.

Une technique plutôt originale permet par exemple de savoir quelle région du monde est en train d’observer une personne sur Google Maps. En analysant le JavaScript de la page GMaps avec Firebug, Vincent Berg, chercheur pour IOActive, a découvert que Google utilisait pour ses cartes, une espèce de grille sur laquelle les images PNG de la carte se positionnent. L’astuce, c’est que chaque PNG a un poids différent.

Il a donc réalisé une base de données contenant les poids des images PNG de quelques grandes villes du monde comme Paris, Berlin, Amsterdam ou Genève. Chaque ville a donc son empreinte unique et simplement en sniffant le trafic SSL d’une connexion à Google Maps et en relevant le poids des images consultées par l’Internaute, il est capable de déterminer quelle ville ce dernier observe.

Alors bien sûr, c’est très limité, car on ne peut pas compiler une base regroupant l’intégralité de la surface de Google Maps, mais la technique d’analyse reste très intéressante. Il pourrait bien sûr y avoir des faux positifs, mais par exemple, en relevant le poids des images et pages HTML de sites Internet sensibles, un Big Brother malintentionné (pléonasme) pourrait supposer que vous y avez consulté telle ou telle page sur tel ou tel site, avec une connexion chiffrée.

Source