Oyé Oyé braves gens ! Google vient de lancer une première version de son site Google App Engine ! Mais qu’est ce que c’est que ce truc me direz vous ?

Il s’agit en fait d’un service vous permettant de créer et d’heberger des applications en ligne, un peu à la manière des applications Facebook.

Google fournit tout de A à Z ! L’espace disque, le SDK et l’infrastructure qui fait que si vous lancez une application web qui va plaire à des millions de gens, vous n’aurez pas à vous soucier de problèmes serveur 🙂

Apparement le SDK est aussi conçu pour que vos applis puissent fonctionner avec les services Google comme Gmail ou Google Docs.

Ce service est pour le moment ouvert aux 10 000 premiers développeurs qui voudront tester la chose. Vous serez limité à 500 Mb d’espace disque (!!) et le premier language utilisé par cette plateforme est le Python. (Il y en aura d’autres + tard.)

Bref, une fois encore Google vise loin et je dois dire que c’est pas pour me déplaire. Je n’ai pas encore eu le temps de tester à fond la chose, mais sachez qu’il y a déjà quelques applications dispo dans la galerie du AppSpot.

Bon, il faudra que je me penche un peu plus sur la question pour voir avec quoi tout cela s’intègre mais avoir un « SDK pour faire des applications sur la plateforme Google« , ça va peut être permettre à Google de rattraper le retard des applications web par rapport aux applications traditionnelles et nous verrons peut être naitre, un jour, un WebOS digne de ce nom. (Sans parler de la compatibilité de ses applications avec Android…Décidement…)

A toi de jouer maintenant, ami développeur ! Ca se passe par là…

Envoyé par Sébastien de TuxPlanet, un extrait très révélateur du code source de Windows Vista

Merci Sébastien pour ce petit moment de détente geekesque…

Je reste dans la thématique Torrent du jour en vous proposant ce soir un petit soft qui s’appelle Open Registrations Checker et qui permet de surveiller la disponibilité des invitations proposées au compte-goutte par certains portails torrent. En effet, de nombreux portails sont fermés et propose des invitations de temps en temps limitées en nombre et dans le temps. Grâce à ORC, vous ne louperez plus une invit’ chez tous ces sites là.

Il vous suffit de télécharger le soft, de l’installer et d’y importer cette liste de portails en la plaçant dans les dossiers

• C:\Program Files\Torrents Open Registrations Checker\
• C:\Documents and Settings\ [Votre nom d’utilisateur] \

et le tour est joué ! ORC surveillera plus de 166 portails pour vous et dès qu’il vous donnera le feu vert, vous pourrez aller vous enregistrer dessus.

é?videment, attention à ne pas vous inscrire sur des portails proposant du contenu piraté (ou du moins, attention à ne pas télécharger par « inadvertance » du contenu piraté)

🙂

Source

Tiens, voilà une nouvelle plutôt intéressante en terme de sécurité. Nathan Harrington, un programmeur de chez IBM, a réussi à intégrer un niveau supplémentaire d’authentification dans GNOME. (Interface graphique utilisée par exemple sous Ubuntu)

En fait, quand l’utilisateur tape son login et son mot de passe, le programme mesure le timing entre toutes les touches appuyées et les compare avec un schéma pré-enregistré. Selon la théorie, la vitesse d’espacement entre les touches est propre à chacun et peut être comprise comme une information d’authentification en plus du mot de passe classique.

Pas mal !

Pour le moment évidement, ce n’est pas encore intégré de série mais le source est là si ça vous intéresse…

Si vous êtes un twitter-addict et que vous cherchez de nouvelles personnes à suivre, pourquoi ne pas réaliser à partir des gens que vous suivez, une liste des personnes qui reviennent le plus dans leurs contacts Twitter et que vous ne suivez pas encore ? (Vous suivez le raisonnement là ?)

Comment ? Tout simplement avec Twubble qui va scanner tout ce beau monde pour vous et vous dira qui manque absolument dans vos contacts !

Pour ma part, il s’agit de Littlegirl que je n’ai pas le plaisir de connaitre et de Fred Cavazza…

A vous d’essayer maintenant (il faut etre loggé sur Twitter pour que ça marche)