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Korben, roi d’internet, logo bébé avec des lunettes en mode thug life

Si vous aviez l’habitude d’utiliser la commande cache: de Google ou le petit lien qui allait bien pour consulter la copie d’une page web lorsque celle-ci a été supprimée, vous allez être triste puisque Google a retiré cette fonctionnalité aussi rapidement que Macron l’a fait pour les droits chômage.

Alors plutôt que de chialer comme un référenceur spécialisé en Lycos, je vous propose plutôt de vous rendre sur le site CachedView (jeu de mots cashew – noix de cajou) qui à partir de l’URL de votre choix, ira vérifier si des versions en cache existent sur Archive today, la bibliothèque du congrès, la Wayback Machine…etc et même Google Cache tant que ça fonctionne encore un peu.

Ensuite y’a plus qu’à cliquer sur les liens en vert, et vous pourrez consulter les copies en cache des sites probablement censurés par le nouvel ordre mondial comme d’habitude ^^.

Voilà, c’est aussi simple que ça !


Si vous cherchez une application pour gérer tous vos codes de double authentification, je vous propose aujourd’hui qu’on se penche sur le cas de 2FAS.

Il s’agit d’une application disponible en français sous iOS et Android qui est totalement libre et qui supporte les codes TOTP (time-based one-time passwords) et HOTP.

Pour rappel, le 2FA (Two-Factor Authentication) est une méthode d’authentification qui fournit une couche supplémentaire de sécurité pour les comptes en ligne. Ainsi en plus du nom d’utilisateur et du mot de passe, le 2FA utilise un deuxième facteur, qui n’est ni plus ni moins qu’un mot de passe à usage unique (OTP) affiché sur le téléphone de l’utilisateur, pour vérifier l’identité de ce dernier. Cela permet d’empêcher l’accès non autorisé aux comptes, même si le mot de passe est compromis.

Le fonctionnement de 2FAS est assez similaire à celui d’Authy ou de Google Authenticator. Sauf que 2FAS propose de la synchronisation sur votre compte iCloud / Google si vous le désirez et la possibilité d’importer des codes existants depuis d’autres outils comme Aegis, Raivo OTP, Lastpass, Google Authenticator, andOTP ou encore Authenticator Pro. Pour ceux qui sont coincés avec Authy, vu que ça ferme, surveillez le blog dans les jours qui viennent, je vous prépare un tuto pour vous sauver.

Pour sécuriser l’app, vous pouvez lui ajouter un code pin ansi sur le faceID, et cerise sur le gateau, vous avez la possibilité d’installer une extension sur votre navigateur desktop qui ira communiquer directement avec votre smartphone pour saisir à votre place les codes de double authentification via une simple alerte.

Bref, c’est un outil moderne, avec une interface très sympa et en plus c’est libre ! Que demande le peuple ?

À découvrir ici.


Je ne sais pas si vous trainez sur Twitter, depuis qu’Elon en a pris la (mauvaise) direction, mais en ce qui me concerne, j’étais là avant lui, et je serai là après lui. Donc je reste sur Twitter malgré sa faune parfois un peu glauque.

Mais ça ne m’empêche pas d’être également présent sur Bluesky et Mastodon, même si je ne les utilise pas vraiment. J’essaye quand même d’y partager mes articles. D’ailleurs, pour Bluesky, je me suis fait une moulinette en python, qui me permet d’y automatiser le post de mes articles de blog avec l’aide de ChatGPT pour que ce soit encore plus naturel.

Mais si vous ne voulez pas trop vous prendre la tête, y’a Louis Grasset qui a mis en ligne Touitomamout (Jeu de mots ^^ : Tweet To Mammouth). Il s’agit d’un outil qui peut s’installer sur votre machine / serveur / docker et qui permet de faire du cross-post depuis Twitter vers Mastodon et / ou Bluesky. En plus des messages textes, des images, des vidéos ou encore des gifs animés, l’outil permet même si vous le désirez de synchroniser l’entièreté de votre profil (nom, avatar, bannière, description).

Pour le faire tourner dans Docker, c’est easy. Il vous suffit de créer un docker-compose.yml et de mettre ça dedans :

version: '3.9'

services:
  touitomamout:
    container_name: "touitomamout"
    image: louisgrasset/touitomamout:latest  # Or "ghcr.io/louisgrasset/touitomamout:latest"
    restart: unless-stopped
    environment:
      - ENV_FILE=/data/.env
      - STORAGE_DIR=/data
    volumes:
      - ./data:/data

Puis de lancer la commande suivante :

docker-compose up -d

Et voilà de beaux comptes de réseaux sociaux bien synchronisés. Bravo Louis !


Je n’aime jamais trop quitter mon terminal. On y est tellement bien.

Et encore moins pour ouvrir un navigateur et aller chercher de l’info sur Wikipédia. Ouin !

Heureusement, il existe Wiki Tui, un client TUI (Text User Inteface si vous ne saviez pas encore), écrit en Rust (donc rapideeee) qui va vous permettre de faire des recherches et de parcourir Wikipédia directement depuis votre terminal.

Le bonheur ! Ça fonctionne avec les mêmes touches que Vim, ce qui vous évitera de trop bousculer vos petites habitudes, parce qu’arrivé à un certain âge… Bref, je m’égare. Vous aurez alors accès à la table des matières de la page Wikipédia pour vous rendre directement à la partie du sujet qui vous intéresse.$

Wiki TUI dispose également de différents thèmes pour faire plaisir à vos petits yeux.

Pour l’installer sous mac:

sudo port install wiki-tui

Ou avec Rust :

cargo install wiki-tui

Bref, c’est minimaliste et super pratique pour ne pas vous laisser distraire dans votre navigateur.

À découvrir ici.


— Article rédigé par l’ami Remouk (DansTonChat) – Merci à lui —
— Contient des liens affiliés Amazon —

Prendre une feuille de papier dans son classeur d’école, et dessiner des petits bonshommes armés, des monstres, les faire se battre les uns les autres, les découper au ciseau, ajouter des catapultes, des échelles, les rayer, gommer des éléments, recommencer… Vous faisiez ça aussi, vous, quand vous étiez petits ? Inkulinati reprend ce concept mais le transpose dans une époque médiévale et fantastique. 🪄

Remplacez votre feuille d’écolier par un parchemin, votre criterium par une plume et de l’encre, ajoutez un peu de magie pour que les personnages prennent vie et bougent réellement sur le papier, et voilà : vous pouvez imaginer exactement à quoi ressemble ce jeu de stratégie / tactique en tour par tour !

Pour expliquer le gameplay de manière très simple, mais un peu foireuse, imaginez un Worms en tour par tour. Donc en gros c’est un RPG tactique où on donne des ordres un par un : déplacement, attaque, utiliser un pouvoir, passer son tour… Sauf que comme dans Worms, c’est en vue de côté, avec des armes à distance et beaucoup d’humour.

Déjà, nos unités (épéistes, chevaliers, lanciers (?!) et autres… Y a genre 50 unités différentes) sont des animaux rigolos. Et puis ils n’hésitent pas à montrer leurs fesses, par exemple, pour étourdir l’ennemi. Normal. Les petits dialogues et textes, disséminés un peu partout, prêtent toujours à sourire, c’est léger, c’est marrant, c’est cool ! Il faut ramasser de l’encre sur le terrain (ou en voler) pour pouvoir dessiner de nouvelles créatures. Malin.

Les combats, assez tactiques, intéressants, et parfois ardus, demandent réflexion, puis sont enrobés d’une ganache roguelite. C’est à dire que les évènements sont déterminés de manière procédurales, on choisit un peu notre chemin pour viser la facilité ou bien des récompenses à débloquer (monstres, pouvoirs, trésors…) qui nous serviront pour la suite… Afin de mieux recommencer et faire une meilleure run !

Il y a aussi un mode Joueur contre Joueur, mais je n’ai pas eu l’occasion de le tester. Sur le papier, ça ne peut qu’être cool, car les combats contre le CPU sont cools. 😀 Franchement c’est un bon petit jeu de stratégie, rigolo mais proposant un gameplay solide, si vous appréciez le genre vous pouvez foncer !

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