Aller au contenu
Korben, roi d’internet, logo bébé avec des lunettes en mode thug life

Il se trame quelque chose au Royaume de Donaldville ! Picsou, Donald et toute leur bande ont besoin de vous !

En effet, je ne sais pas si vous vous rappelez du projet « Retour à la Case Mémoire » dont vous trouverez l’article ici, mais il est temps de donner un coup de pouce supplémentaire à cette équipe talentueuse, car ils sont de retour sur KissKissBankBank pour une petite rallonge budgétaire et une occasion de plus pour vous de vous joindre au projet !

Pour ceux qui ont raté l’épisode précédent, il s’agit d’un court-métrage rendant hommage à notre canard milliardaire préféré, avec des acteurs en chair et en os. Le projet a fait du chemin depuis, et j’ai même eu l’honneur de participer en tant que figurant.

Depuis notre dernière discussion, l’équipe a avancé à grands pas, mais comme toute belle aventure, il y a des imprévus, et c’est là que votre soutien entre en jeu. La qualité et l’ambition du projet méritent vraiment qu’on leur donne un coup de pouce.

Je vous mets au défi de trouver un projet aussi original et passionné dans le monde du cinéma indépendant actuellement. Les effets spéciaux, les décors, costumes et les incrustations BD sont vraiment chouettes ainsi que l’histoire, cela va sans dire.

Pensez à la joie que vous ressentiriez en voyant sur grand écran Edgard Merrill (Oncle Picsou), Damien (le Donald de cette version), Miss Frappe et bien sûr un vilain Rapetou, dans un scénario plein d’action, d’humour et de clins d’œil à l’univers de notre canard favori.

Donc si vous avez envie de contribuer à la réalisation de ce rêve et de partager un peu de magie, rendez-vous sur leur page KissKissBankBank. Il y a de belles contreparties également !!

Il ne reste que 2 jours et chaque contribution compte, et en plus, vous pourrez dire que vous avez aidé à créer un petit bout de l’histoire du cinéma !

Pour rester connecté et suivre l’avancement du projet, je vous invite à consulter leur chaîne YouTube, et bien sûr, la campagne KissKissBankBank.

J’espère que vous ressentirez la même passion et excitation que moi en découvrant le film final. J’ai hâte !

Toutes les infos sur le film sont là !


Vous êtes développeur, mais vous n’êtes pas designer et encore moins spécialiste en UX / UI… Alors que faire ?

Et bien le mieux c’est encore de pomper ce qu’on fait les autres. Enfin, s’inspirer… Vous m’avez compris. Et pour cela, il existe un outil merveilleux qui s’appelle Screenshot To Code et qui comme son nom l’indique, est capable de convertir une simple capture écran d’interface web en HTML / CSS Tailwind.

Mais comment est-ce possible ? Et bien Screenshot To Code utilise simplement GPT-4 Vision pour analyser le code et Dall-E pour générer des images similaires.

Vous pouvez l’installer sur votre ordinateur en suivant les instructions du Github, voire le faire tourner sur un Docker. Mais si c’est juste pour tester, le plus simple c’est encore d’aller sur cette démo en ligne.

Pour l’avoir testé, la génération du code est impressionnante, mais niveau rendu, on est très loin de la copie parfaite. Cependant, comme on peut ajuster en discutant avec l’IA, il est possible de s’approcher du rendu voulu.

Ensuite y’a plus qu’à exporter le code et voilà ! Vous avez une maquette HTML / CSS d’un site à moindres frais (ça vous coûte l’utilisation de l’API d’OpenAI)

À découvrir ici.


Vous vous sentez l’âme d’un écrivain et vous avez envie de rédiger vos mémoires par exemple… Ou une petite nouvelle sympa que vous auto-éditerez. Ou alors vous êtes grouillots dans une grosse boite et on vous demande de faire des rapports que personne ne lira. C’est un classique.

Sauf que voilà, écrire, c’est pas votre passion. Heureusement, il existe un site qui s’appelle Strut.so qui est à mi-chemin entre le Word et l’organisateur d’idées pour que votre production soit toujours au top !

L’outil utilise chatGPT 4 derrières. Sauf que c’est gratuit et ça rend l’outil suffisamment intelligent pour vous aider à organiser le bordel dans votre tête dans des espaces de travail, allant du brouillon à la note en passant par le document de recherche et pour finir enfin en version finalisée. Vous pouvez même automatiquement combiner plusieurs notes pour en faire un vrai document.

L’IA de Strut vous accompagne dans la réflexion, la mise au point d’un plan, dans la rédaction évidemment, mais également pour tout ce qui est reformulation, correction…etc. C’est comme bosser à plusieurs mains sur un document avec un collègue sauf que là, il n’est pas relou.

Si vous donnez l’URL de votre site à Strut, il saura en dégager un style d’écriture qu’il pourra alors reprendre à son compte pour vos écrits. Vous pouvez même quand vous lui demandez des trucs, faire référence à d’autres pages du projet, simplement en mentionnant le titre de la page avec un arobase devant.

Pour faire une comparaison un peu houleuse, les développeurs ont Cursor et les rédacteurs ont Strut.

L’outil est en ligne et ses créateurs assurent que les données que vous y mettez ne sont pas utilisées pour entrainer d’IA.

Pour rédiger votre premier document, cliquez ici.


Que vous soyez sous macOS, Linux ou Windows, si vous êtes développeur, alors Pixi risque de vous intéresser. Ce projet écrit en Rust, au logo « apéricube » n’est ni plus ni moins qu’un gestionnaire de paquets fonctionnant sur l’écosystème Conda et permettant d’installer toutes les libs et outils dont vous auriez besoin dans vos projets.

Pixi est libre et open source et s’inspire fortement de Cargo pour ceux qui connaissent. Il supporte Python, R, C/C++, Rust, Ruby et bien d’autres langages. Et permet de reproduire des environnements à l’identique entre les OS sans avoir besoin de Docker, tout simplement grâce aux fichiers lockfiles qu’il crée automatiquement.

Pour installer Pixi sous Linux et macOS :

curl -fsSL https://pixi.sh/install.sh | bash

Et sous Windows, ouvrez un Powershell et entrez la commande :

iwr -useb https://pixi.sh/install.ps1 | iex

Ensuite y’a plus qu’à créer votre projet comme ceci :

pixi init pixi-hello-world
cd pixi-hello-world

Ajoutez ensuite les dépendances dont vous avez besoin :

pixi add python

Ou si vous voulez une version spécifique du paquet :

pixi add python==3.10

Créez le code dont vous avez besoin (ici ce sera donc hello_world.py) :

def hello():
    print("Salut tout le monde !!!!")
 
if __name__ == "__main__":
    hello()

Puis lancez ce code dans votre environnement :

pixi run python hello_world.py

Sachez qu’il est également possible de mettre ce code dans une tâche (task) comme ceci :

pixi task add hello python hello_world.py

Mon code étant dans la task « hello », je peux maintenant l’appeler comme ceci :

pixi run hello

Et pour avoir un Shell dans l’environnement que vous venez de créer :

pixi shell

Et une fois que vous êtes content, y’a plus qu’à faire un

pixi build

Pour récupérer un package Conda prêt à être déployé ailleurs.

Bref, super pratique pour mettre en place un environnement aux petits oignons avec les bons paquets et les bonnes versions sans se prendre la tête. Cela permet d’avoir des environnements isolés facilement reproductibles et donc partageables.

À tester d’urgence 🙂


J’aurais mis quelques années, mais ça y est, je suis enfin passé sur une architecture ARM64 pour mon usage quotidien. Il s’agit d’un iMac M3 (donc Apple Silicon) de couleur bleu pastel et ça marche super bien !

Sauf évidemment, quand on veut faire de la machine virtuelle. Là, ça se complique. En effet, j’ai une licence Vmware Fusion 13.5 et si je veux faire tourner un Windows 11 dedans, il faut forcément que ce soit un Windows ARM.

Après quelques errances, j’ai réussi du coup, j’en profite pour vous faire un petit tuto de comment installer Windows 11 ARM dans VMware Fusion.

Pour commencer, vous devez vous procurer l’image Windows 11 ARM chez Microsoft. Vous verrez qu’en la téléchargeant, vous vous retrouverez avec un fichier .VHDX (Hyper-V) totalement inutile pour Vmware… À moins de la convertir !

Et pour ça, on va utiliser l’outil vdiskmanager de VMware. Ouvre donc un terminal et entrez la commande suivante :

/Applications/VMware\ Fusion.app/Contents/Library/vmware-vdiskmanager -r ./Windows11_InsiderPreview_Client_ARM64_en-us_22598.VHDX -t 0 ./Windows11.vmdk

Cela aura pour effet de transformer le VHDX en VMDK (format que vous pouvez aussi ouvrir sous VirtualBox).

Une fois que c’est fait, lancez Vmware et créez une nouvelle VM. Choisissez ensuite « Créer une machine virtuelle personnalisée« .

Choisissez Windows 11 ARM en système d’exploitation, puis n’oubliez pas de cocher la case « Démarrage sécurisé UEFI » (traduction de Secure Boot)

Mettez un mot de passe, puis allez chercher l’image VMDK comme Disque virtuel.

Au moment de la sélection, n’oubliez pas de choisir « Effectuer une copie séparée du disque virtuel« . Cela aura pour effet de copier le disque virtuel à l’endroit de votre choix au moment de sa création, afin d’éviter tout bug.

Finalisez l’opération et lancez la VM. Tadaaaaa ! Windows démarre, c’est merveilleux non ?

Sauf que y’a pas le support du réseau virtuel de Vmware dans cet image. On va donc devoir installer Windows sans support réseau. Quand vous serez sur cet écran (ou avant), appuyez sur la combinaison de touches MAJ + F10 (si vous avez un clavier Mac, faudra faire Fn + F10).

Cela va ouvrir un terminal dans lequel vous devrez entrer la commande suivante :

OOBE\\BYPASSNRO

Ça va activer la possibilité d’installer Windows 11 sans support réseau et relancer l’installation. Maintenant, vous devriez vous ceci :

« I don’t have the fucking Internet » !! C’est l’option qu’il nous fallait ! Cliquez dessus puis sur « Continue With Limited Setup« .

Et voilà, finalisez l’install et vous aurez un beau Windows sans réseau. Mais whaaaat, sans réseau c’est nul, alors on va arranger ça. Lancez un Powershell en admin….

et entrez la commande suivante et faites « A » pour « Yes to All » :

Set-ExecutionPolicy RemoteSigned

Ensuite, vous n’avez plus qu’à installer les Vmware Tools en passant par le menu de Vmware :

Un petit reboot de Windows plus tard, et voilà, vous avez maintenant un Windows parfaitement fonctionnel (mais non activé) sur votre machine ARM.

Et en bonus, j’avais fait cette vidéo pour mes Patreons il y a quelques semaines. Rejoignez-nous !