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Korben, roi d’internet, logo bébé avec des lunettes en mode thug life

J’ai mis des années à récupérer mon compte Mastodon et je ne m’en sers pas beaucoup donc cette application ne me concerne pas trop. Mais je sais que vous êtes nombreux à suivre la frénésie du monde numérique dessus, alors pourquoi souffrir dans l’interface habituelle alors qu’on peut vivre l’expérience communautaire de Mastodon sans stress ?

Et pour cela, il y a TheDesk, un excellent client Mastodon qui vous rappellera fortement Tweetdeck pour ceux qui ont connu.

Disponible pour Windows, Linux et macOS, TheDesk vous offre une expérience Mastodon fluide, avec de nombreuses fonctionnalités et des mises à jour hebdomadaires.

Vous pouvez l’utiliser comme une application sur votre ordinateur ou, grâce à sa version PWA, également accessible sur les navigateurs Chrome et Firefox.

Parmi les fonctionnalités intéressantes de TheDesk, citons la possibilité de gérer plusieurs comptes sur différents serveurs Mastodon et de personnaliser votre interface grâce à des thèmes préinstallés. Vous pouvez même créer votre propre thème pour donner un style unique à votre expérience. De plus, l’interface utilisateur de TheDesk est claire, facile à utiliser et extrêmement réactive.

Mais TheDesk ne se contente pas de vous offrir une expérience agréable sur Mastodon. Il vous permet également de répondre, liker et partager des toots (l’équivalent Mastodon de « tweets ») en un clic, de suivre et de gérer vos abonnements, et de rechercher facilement des utilisateurs et des hashtags. De plus, la fonction de synchronisation des notifications vous permet de rester à jour sur ce qui se passe dans votre communauté Mastodon préférée.

Pour ceux qui cherchent à optimiser leur productivité, TheDesk propose également un calendrier intégré pour suivre les événements à venir et les dates importantes. Vous pouvez même configurer des rappels pour ne pas manquer les dates clés. Idéal pour les community managers.

Et qu’en est-il de la sécurité et de la confidentialité ? Et bien TheDesk est conforme à la philosophie de Mastodon et fait de la protection de vos données une priorité. Le logiciel est régulièrement mis à jour pour s’assurer que vous bénéficiez des dernières fonctionnalités et de la sécurité.

Si ça vous tente, allez jeter un œil à TheDesk en visitant leur site web à l’adresse : TheDesk. Qui sait, peut-être que cela vous donnera une nouvelle perspective sur la vie et vous rappellera que, parfois, la meilleure façon de communiquer avec les autres, ce n’est pas de les bombarder de mèmes et de hashtags, mais simplement de partager des pensées et des expériences réelles dont on peut collectivement tirer des choses positives.


Les séquenceurs MIDI sont des logiciels qui, lorsqu’ils ont émergés à l’époque, nous permettaient de jouer avec des claviers électroniques pour créer grâce à notre ordinateur, des mélodies envoûtantes et parfois, avouons-le, un peu cacophoniques.

Si vous souhaitez vous y remettre, sans pour autant vous prendre la tête avec des softs complexes ou onéreux, vous êtes sur le bon article puisqu’aujourd’hui je vais vous parler d’un outil nommé Cacophony.

Cacophony est un séquenceur MIDI minimaliste et ergonomique, spécialement conçu pour vous aider à composer sans avoir besoin de vous former. L’une des choses qui m’a vraiment séduit dans Cacophony, c’est cette interface épurée, utilisable sans souris, qui ramène à l’essence même de la composition musicale.

Ce séquenceur MIDI est open source, et offre toutes les fonctionnalités de bases nécessaires aux débutants, ce qui signifie qu’il n’est pas aussi évolué que les logiciels professionnels, mais qu’il vous permettra de vous amuser et bien sûr commencer à créer de la musique.

De plus, il prend en charge l’exportation vers différents formats audio (wav, mp3, ogg, or mid) avec possibilité de séparer les pistes. Vous pourrez donc facilement sauvegarder votre œuvre d’art et la partager avec vos amis.

Il est disponible sur Linux, MacOS et Windows et sa frugalité vous permettra de le faire fonctionner sur d’anciennes machines. Par contre, c’est open source, donc gratuit si vous le compilez vous-même. Autrement, si vous voulez récupérer le binaire directement, il faudra payer un peu moins de 10$ via Itch.io.

Si ça vous intéresse, vous pouvez télécharger le logiciel en allant sur leur site officiel.


Imaginez, vous êtes un gentil utilisateur de Linux, pour qui tout se passe bien. Vous travaillez sur un fichier important et à un moment, boum bim patatra, vous faite THE boulette, à savoir, vous écrasez votre fichier par un autre truc sans importance.

Quelle horreur.

MAIS PAS DE PANIQUE, je vais pouvoir vous aider avec RecoverPy. Il s’agit d’un outil puissant qui exploite les capacités de votre système pour récupérer des fichiers perdus. Dispo uniquement sur les systèmes Linux, cet utilitaire, une fois installé, vous permet de sélectionner la partition système, et de rechercher une chaîne de texte voulu pour comme par enchantement récupérer les résultats.

Pour installer l’outil, vous aurez besoin des programmes suivants : grep, dd et lsblk.

Ensuite, installez les dépendances :

apt install grep coreutils util-linux progress

Puis si vous utilisez pipx :

sudo pipx run recoverpy

Ou comme ceci :

python3 -m pip install recoverpy

Après y’a plus qu’à lancer l’outil :

python3 -m recoverpy

Tel un archéologue de la data, vous pourrez alors sauvegarder des blocs individuellement et explorer des blocs voisins pour augmenter vos chance de récupérer ces fichiers. Mais attention, pensez toujours à faire des sauvegardes et à démonter la partition avant de commencer votre aventure, car on ne sait jamais. C’est un peu l’outil de la dernière chance.

Vous l’aurez compris, RecoverPy est un outil précieux qui mérite toute votre attention et qui saura vous sauver la mise le moment venu.


Il était une fois, au fond d’un grenier obscur et poussiéreux, un routeur que personne n’avait utilisé depuis des lustres. Oublié par tous, il était là, désespérément fidèle à son mot de passe par défaut. Si seulement quelqu’un avait eu l’outrecuidance de lui donner une seconde chance…

Et bien, aujourd’hui, c’est son grand jour grâce à cet outil de recherche de mots de passe par défaut baptisé Default Credentials Cheat Sheet.

Default Credentials Cheat Sheet est une base de référence des identifiants par défaut de tout un tas de matos principalement réseau, pour aider les pentesteurs et les bidouilleurs à se connecter en admin à du matos un peu ancien. Il s’appuie sur des projets tels que changeme, routersploit et Seclists pour offrir une base de données conséquente et est compatible avec Kali Linux, Ubuntu, Lubuntu et leurs dérivés.

Pour l’installer, tapez ceci dans votre terminal :

pip3 install defaultcreds-cheat-sheet

Les fonctionnalités de cet outil incluent la recherche de mots de passe, la mise à jour des enregistrements, l’exportation de données et un outil de recherche nommé Pass Station.

Pour utiliser creds, une fois installé, il suffit d’ouvrir un terminal et d’entrer la commande suivante en précisant le matériel qui vous intéresse.

creds search linksys  

Et ensuite, pour mettre à jour la base :

creds update

Ou encore faire un export des identifiants qui vous intéressent

creds search linksys export

De quoi accéder à vos anciens appareils et de leur redonner vie.


Aujourd’hui, je vous présente ARTful, une bibliothèque Android native pour modifier l’Android Runtime (ART) sur Android 13 et 14. Ça va faire plaisir aux développeurs qui veulent mettre des bâtons dans les roues des curieux qui aiment jouer avec les apps Android en les analysant d’un peu trop près.

La magie de cette bibliothèque réside dans sa capacité à changer dynamiquement l’implémentation de n’importe quelle méthode statique, éliminant l’utilisation de références en clair et entravant l’ingénierie inverse.

Pour vous donner un aperçu concret de ce que ARTful peut faire pour vous, imaginez une application où les développeurs veulent éviter que les pirates ne mettent le nez dans leur code. Grâce à ARTful, ils peuvent modifier dynamiquement les méthodes statiques pour les rendre plus résistantes à l’ingénierie inverse. Et voilà, mission accomplie !

Et pour que tout le monde puisse profiter des bienfaits de cette bibliothèque, les concepteurs ont choisi de la rendre open source ici : Github ARTful.

Eclatez-vous bien !