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Korben, roi d’internet, logo bébé avec des lunettes en mode thug life

Vous cherchez une méthode simple et efficace pour raccourcir vos URLs tout en gardant un œil sur les statistiques ? Sink peut vous aider ! Ce raccourcisseur d’URL nouvelle génération combine simplicité d’utilisation, rapidité et sécurité, et il est entièrement déployable sur Cloudflare, donc pas besoin de gérer de serveurs !

Avec cet outil, les URLs longues et illisibles laissent la place à des liens propres et mémorisables, que vous pouvez personnaliser avec vos slugs comme bon vous semble. Et si l’inspiration vous manque, pas de souci puisque Sink dispose d’un assistant IA intégré pour vous suggérer des slugs intelligents basés sur le contenu de votre page.

Maintenant parlons analytics… Avec Sink, vous pouvez suivre les statistiques de vos liens comme un pro : Combien de clics, d’où viennent-ils, à quelle heure sont-ils arrivés…etc, vous aurez toutes les stats pour frimer (ou optimiser vos campagnes, au choix).

Sink utilise les dernières technologies à la mode :

  • Nuxt pour le framework
  • Cloudflare Workers KV pour la base de données
  • Cloudflare Workers Analytics Engine pour les analytiques
  • Shadcn-vue pour les composants d’interface
  • Tailwind CSS pour le style
  • Et bien sûr, le tout est déployé sur Cloudflare !

Avec un combo pareil, vous êtes parés à affronter le trafic le plus intense et vos liens tiendront la route !

En plus c’est open source, alors pourquoi hésiter ?

Pour déployer cet outil, c’est simple :

Étape 1 – Forkez le Dépôt
1. Rendez-vous sur la page GitHub de Sink.
2. Cliquez sur le bouton « Fork » en haut à droite pour forker le dépôt dans votre propre compte GitHub.

Étape 2 – Créez un Projet Cloudflare Pages
1. Accédez à Cloudflare Pages.
2. Cliquez sur « Create a project ».
3. Sélectionnez le dépôt « Sink » forké précédemment.
4. Choisissez le preset « Nuxt.js ».

Étape 3 – Configurez les Variables d’Environnement
Ajoutez les variables environnementales suivantes :
NUXT_SITE_TOKEN : configurez un token de site supérieur à 8 caractères.
NUXT_CF_ACCOUNT_ID : trouvez votre Cloudflare Account ID ici.
NUXT_CF_API_TOKEN : générez un token d’API Cloudflare avec les permissions nécessaires en suivant ce guide.

Étape 4 – Déploiement Initial
Cliquez sur « Save and deploy ». Si le déploiement échoue, annulez-le et passez à l’étape suivante.

Étape 5 – Configurez les Fonctionnalités

1. Allez dans Settings -> Functions dans Cloudflare Pages.
2. KV namespace bindings : Associez KV à une namespace KV existante ou nouvelle.
3. Workers AI Bindings (optionnel) : Associez AI au catalogue Workers AI.
4. Analytics Engine Binding : Associez ANALYTICS au dataset sink et activez le Cloudflare Analytics Engine Beta pour votre compte.

Étape 6 – Redéployez le Projet : Après avoir configuré les bindings, redéployez le projet depuis Cloudflare Pages.

Étape 7 : y’a plus qu’à accédez à votre tableau de bord déployé, à raccourcir un lien en utilisant l’interface, à le personnaliser avec un slug, à le diffuser puis à consulter l’analytique de vos liens pour suivre les clics et l’engagement.

Pour tester Sink c’est par ici !


Les voitures connectées sont devenues de véritables cauchemars pour la vie privée. On nous vend ça comme le summum de la technologie, avec des fonctionnalités dignes de K2000, mais en réalité, c’est plutôt Orwell qui se cramponne dans les virages. Parce qu’au lieu de voitures intelligentes, on se retrouve surtout avec des mouchards à quatre roues bardés de capteurs qui enregistrent le moindre de nos faits et gestes.

Vous pensiez que les traqueurs sur le web étaient intrusifs ? Attendez de voir ce que les constructeurs auto ont mijoté pour nous espionner à notre insu. Caméras, micros, GPS, données de conduite, les voitures modernes collectent un max d’infos sur nous et nos passagers, et attention, ce n’est pas juste pour optimiser les performances ou assurer notre sécurité hein. Non, l’objectif c’est de monétiser toutes ces données personnelles en les refilant à des tiers, souvent sans notre consentement.

Chez Mozilla, ils ont passé en revue les 25 plus grandes marques automobiles du marché. Résultat : toutes sans exception ont été étiquetées « Confidentialité non incluse ». Comme quoi, en matière de respect de la vie privée, les constructeurs de voitures trustent la pole position au palmarès de la lose. Ils s’en donnent à cœur joie pour nous profiler et revendre nos données personnelles à tout va.

Entre le partage douteux de nos infos avec la police et les gouvernements, la revente de nos données de géolocalisation aux courtiers et le manque flagrant de protection de toutes ces données, les voitures connectées nous la jouent vraiment à la Mad Max côté vie privée. Concrètement, ça veut dire que n’importe qui ou presque peut savoir où vous êtes allés, à quelle vitesse, avec qui, ce que vous avez fait dans l’habitacle…etc

Bref, votre intimité est mise à nue comme un chassis sur un pont.

C’est encore pire quand on découvre que certains constructeurs comme Nissan ou Hyundai se permettent carrément de collecter des données sur votre « activité sexuelle », votre « niveau d’intelligence » ou vos « caractéristiques génétiques » ! Et refourguer ces infos ultrasensibles à des « partenaires marketing » pour du ciblage publicitaire. Non mais allô quoi ? Depuis quand ma voiture a besoin de connaître mes exploits sur la banquette arrière et la qualité de mes chromosomes ?

Et le pompon, c’est que les applis de ces voitures exigent qu’on « éduque et informe » tous les passagers sur leur politique de confidentialité à rallonge. Genre on va se taper un PowerPoint sur le RGPD entre deux feux rouges. Et puis quoi encore ? Un quiz Questions Pour Un Champion de 150 questions avant de démarrer le moteur ?

Le pire, c’est qu’en tant que conducteurs, on n’a quasi aucun contrôle là-dessus. Soit on accepte de se faire traquer comme un mouchard à chaque km, soit on se passe des fonctionnalités connectées qui nous ont fait acheter la tuture à la base. C’est comme si on vous obligeait à installer un spyware sur votre PC pour pouvoir utiliser Word. Vive le chantage à la vie privée !

Parce que oui, refuser le partage de données avec le constructeur peut littéralement transformer votre Tesla en brique. Ils le disent noir sur blanc dans leurs CGU absconses : pas de données, pas de mises à jour, pas d’assistance, pas de garantie. Bref, tu payes une fortune pour une bagnole technologique, mais si tu refuses qu’elle t’espionne, c’est à tes risques et périls mon coco. C’est tout un concept.

Alors certes, certaines marques comme Toyota font des efforts niveau transparence. En effet, Toyota offre aux utilisateurs américains la possibilité de supprimer leurs données personnelles, même en dehors des lois de confidentialité de Californie. Certes, les constructeurs européens comme Renault et Dacia respectent mieux la vie privée pour se conformer au RGPD. Mais globalement, protéger nos données personnelles dans nos véhicules reste l’exception, pas la règle.

En avril 2023, Reuters a rapporté que des employés de Tesla partageaient des images sensibles enregistrées par les voitures des clients. En mai 2023, un lanceur d’alerte Tesla a partagé plus de 100 gigaoctets de fichiers confidentiels, révélant des problèmes avec le système Autopilot. Des propriétaires de Tesla ont aussi intenté une action en justice collective en mars 2022, alléguant que Tesla scanne les visages des conducteurs sans leur consentement.

Au final, on est loin de l’image sexy et futuriste qu’on essaie de nous vendre. En réalité, les voitures connectées ressemblent plus au cauchemar de 1984 qu‘aux voitures dans Demolition Man. Les constructeurs nous prennent pour des idiots en mode « circulez y’a rien à voir » pendant qu’ils s’en mettent plein les poches avec le magot de nos données.

Il est urgent que les régulateurs sifflent la fin de la récré et imposent des garde-fous, sinon toute notre vie privée va finir par disparaître dans le rétroviseur des voitures connectées. En attendant, je vous conseille d’opter pour un bon vieux modèle sans fioritures, quitte à avoir l’air d’un has been au volant d’une Citroën AX Diesel. Au moins, elle vous emmènera d’un point A à un point B sans vendre la mèche sur vos déplacements à une armada de profiteurs de données.

Mais bon, si vous tenez absolument à votre engin connecté, n’oubliez pas d’étudier ses CGU par cœur et de briefer vos passagers avant chaque trajet. Avec un peu de chance, vous arriverez à destination avant qu’ils ne s’endorment.

Avec un peu de chance

Source (Merci à G1doot pour le partage)


Préparez-vous à une rencontre explosive entre les plus grands personnages de la culture pop : Gus Fring, le légendaire baron de la drogue de Breaking Bad, et une armada d’adversaires redoutables venus des quatre coins de l’imaginaire collectif : Terminator, Daenerys Targaryen et son dragon, et bien d’autres icônes se sont donné rendez-vous pour un affrontement sans merci contre l’imperturbable et méthodique Gus Fring, magistralement interprété par Giancarlo Esposito.

Dans cette vidéo délicieusement décalée, Gus Fring vs The World, on assiste à un déferlement de moyens pour tenter d’éliminer Gus Fring. Mais c’était sans compter sur le sang-froid légendaire et les ressources insoupçonnées de celui qui a bâti un empire de la méthamphétamine à Albuquerque. Tel un T-1000 en costume trois pièces, Gus encaisse les assauts et retourne la situation à son avantage avec une économie de mouvements frisant la poésie.

Au-delà du grand spectacle VFX, cette vidéo est un bel hommage au charisme magnétique de Giancarlo Esposito et à la profondeur qu’il a su insuffler à son personnage culte. Gus Fring est entré dans la légende des antihéros comme un stratège hors pair, un adversaire aussi brillant que redoutable.

En quelques minutes jubilatoires, ce court-métrage réussit l’exploit de condenser tout ce qui fait la singularité de Gus Fring et l’aura quasi mystique du personnage. Bref, si Breaking Bad vous manque autant qu’à moi, et que vous rêvez de le revoir, cette vidéo est pour vous.

Et si vous n’avez pas encore eu la chance de découvrir la série, bah déconnez pas, ce serait con de mourir sans l’avoir vu ! Allez hop hop hop !

Source


— Article en partenariat avec Surfshark VPN

Aujourd’hui, vous savez que préserver sa vie privée en ligne est devenu une priorité pour beaucoup d’entre nous (en tous cas tout bon korbenaute se sent visé). Entre les data brokers, les gouvernements véreux curieux, les fuites et les pirates informatiques, il y a de quoi vouloir protéger ses données. Voici donc un petit tour d’horizon de différentes méthodes pour modifier son adresse IP et ainsi mieux protéger une part de vos données

Tor (The Onion Router)

Tor, c’est depuis de longues années un des champions de l’anonymat. Si vous voulez vraiment que personne (ou quasi) ne sache ce que vous faites en ligne, c’est l’outil qu’il vous faut. Tor fait passer votre trafic à travers une série de nœuds (ordinateurs bénévoles) disséminés aux quatre coins du globe. Chaque nœud ne connaît que l’adresse IP du nœud précédent et du suivant, ce qui rend la traçabilité plus compliquée.

Comme vous l’avez compris, les avantages sont un anonymat élevé (votre adresse IP est cachée, votre trafic est chiffré à chaque étape, etc.) et un accès à des contenus censurés. Parfait pour contourner les censures étatiques et accéder à des sites bloqués par exemple. Par contre l’outil a ses limites, notamment pour ce qui est de la vitesse. Tor est toujours souvent plus lent que les VPN, car votre trafic fait des détours. Si votre objectif est de télécharger de gros fichiers dégoulinants de Go, ou de regarder du contenu vidéo/streaming … ça va être tendu du slibard.

Après niveau utilisation c’est assez simple pour tout le monde, vous pouvez passer par le navigateur Tor maison qui inclus toutes les fonctionnalités permettant de surfer sainement sans laisser de traces (rapport au slibard si vous n’aviez pas fait le rapprochement).

Proxys

Les proxys sont un peu les cousins des VPN. Ils font office d’intermédiaires entre vous et le site web que vous visitez, mais ne chiffrent pas forcément votre trafic. En utilisant un proxy, votre trafic passe par un serveur intermédiaire. Ce serveur va relayer vos requêtes web et masque votre adresse IP réelle.

Les différents types de proxys (les plus connus sont HTTP plutôt axé navigation web, et SOCKS qui gèrent aussi les emails, le P2P, etc.) ont sensiblement les mêmes avantages que Tor. Une couche d’anonymat (masque votre adresse IP réelle) et offre l’accès à du contenu géorestreint afin de contourner certaines restrictions.

Mais eux aussi ont leur lot de limitations. Déjà parce que la qualité et la vitesse des proxys peuvent varier, ensuite parce que les proxys ne chiffrent pas toujours le trafic, donc potentiellement moins sécurisés que les VPN.

VPN (Virtual Private Network)

Le VPN de Surfshark, c’est la boite à outil de l’internaute prudent. Moins technique que les proxys pour Mr et Mme tout le monde, et sans les freins de Tor. En gros, un VPN crée un tunnel chiffré entre vous et un serveur distant. Ça fait croire à tous les curieux que vous surfez depuis un autre endroit. Quand vous vous connectez à un VPN, votre trafic Internet est redirigé via un serveur situé dans un autre pays (3200 serveurs, dans 100+ pays). Votre adresse IP réelle est cachée et remplacée par celle du serveur VPN. Avec Surfshark (comme pour Tor) il est possible de passer par plusieurs serveurs (fonction MultiHop) et même d’être invisible pour votre fournisseur d’accès Internet (mode camouflage).

Donc ici aussi votre identité est préservée (vous pouvez même créer des identités alternatives si ça vous chante). Votre adresse IP réelle est masquée. Impossible pour les sites web de savoir d’où vous venez vraiment. Tout votre trafic est chiffré de bout en bout (algorithme AES 256, protocoles Wireguard/OpenVPN, IKEv2 …), ce qui protège vos données des pirates, surtout sur les réseaux Wi-Fi publics. Et vous avez accès au contenu géolimité (catalogues Netflix, Amazon Prime Video & co). Vous vous ouvrez les portes de tous les contenus bloqués. Sans compter que votre surf habituel s’en trouve amélioré également (plus de publicités, de cookies inutiles… voir mon article sur la fonction Cleanweb de Surfshark).

Bref le VPN c’est le meilleur des 2 mondes. Super pratique, léger et complet, il permet de tout gérer et surveiller depuis une interface simple à prendre en main. Et si vous n’êtes pas encore convaincu, Surfshark propose ce que peu d’autres font : il supporte l’illimité en simultané. Vous pourrez donc protéger toute votre famille (ou votre équipe avec Surfshark Teams), sans subir de ralentissements parce que trop de gens sont connectés en même temps.

En ce qui concerne les prix, Surfshark reste parmi les moins chers du marché. Vous allez payer moins de 71€ TTC pour 27 mois de protection (abo 2 ans + 3 mois offerts), soit 2.63€/mois pour un nombre illimité de machines ! Difficile de faire mieux. C’est d’ailleurs mon VPN depuis maintenant plusieurs années, et je n’ai jamais eu de raisons de m’en plaindre !

Pour rester incognito et protéger vos données, rien de mieux que de combiner plusieurs de ces outils. Utilisez un VPN comme Surfshark pour le quotidien, Tor pour les moments où l’anonymat est crucial, et des proxys pour des besoins spécifiques. En jonglant avec ces technologies, vous pourrez naviguer en toute tranquillité, loin des regards indiscrets.

Allez, maintenant, à vos claviers et protégez votre vie privée comme des pros !

Testez Surfshark VPN


Quand on n’a pas de réseau sous la main pour se transférer un gros fichier, c’est souvent galère. Faut trouve une clé USB et quand c’est pour balancer un truc d’un smartphone à un ordinateur, c’est mission impossible. Heureusement, FlyingCarpet pourrait bien devenir votre nouvel allié dans ce genre de situations !

Disponible sur Android, iOS, Linux, macOS et Windows, cette application libre permet d’échanger des fichiers entre tous ces appareils sans avoir besoin d’un réseau WiFi commun ou d’une connexion mobile. Il suffit que les deux terminaux soient assez proches et équipés d’une puce WiFi.

Le principe est simple : l’un des appareils crée un réseau ad hoc auquel l’autre se connecte. La connexion est sécurisée par WPA2 et un mot de passe échangé via un QR Code. Les données sont même chiffrées de bout en bout avec AES-256 et tout ça sans avoir besoin d’être un expert !

Une fois appairés, les deux appareils peuvent alors s’envoyer des fichiers dans les deux sens, comme s’ils étaient sur un réseau local classique. Les débits sont suffisants pour transférer rapidement plusieurs gigaoctets et c’est même l’idéal pour déplacer de gros fichiers entre différents systèmes de fichiers sans avoir à configurer un partage réseau.

L’outil gère les reprises en cas de déconnexion et affiche une barre de progression pendant les transferts. Sur ordinateur, on peut même envoyer des dossiers entiers de manière récursive. Alors évidemment, cela désactive la connexion internet sur certaines plateformes mais la restaure une fois le transfert terminé. Sur Android, l’appareil qui crée le réseau peut même continuer à accéder au web en partageant sa connexion cellulaire.

C’est open source et disponible sur GitHub pour ceux qui veulent.