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Korben, roi d’internet, logo bébé avec des lunettes en mode thug life

— Article rédigé par l’ami Remouk (DansTonChat) – Merci à lui —

Si vous suivez un peu l’actualité du jeu vidéo, vous avez sûrement entendu parler de ce nouveau volume des aventures de nos monstres de poches préférés, j’ai nommé les Furby les Pokémon bien sûr !

En effet, non content de promettre une révolution rafraîchissante à la formule habituelle, le titre rencontre un certain succès en se vendant à 6,5 millions d’exemplaires en 7 jours seulement (le second meilleur lancement de toute la saga).

Succès mérité ? Si le jeu n’est pas dénué de défaut, j’ai envie de dire oui et de vous expliquer pourquoi :

Tout d’abord, parce que la promesse d’une aventure plus libre, où l’exploration prime, est tenue. Alors soyons clairs dès le début, les graphismes ne sont pas dignes des capacités de la Switch… 🙁 C’est vraiment LE point noir. Mais ça n’empêche pas de se prendre au jeu.

Joueur de Pokémon Go capturant un Pikachu dans un parc

Habituellement, on se balade de ville en ville pour affronter des champions de plus en plus puissants. Ici, l’histoire se recentre sur le remplissage du Pokédex, donc la chasse et l’observation des Pokémon, rien d’autre ! Ça peut décevoir mais les missions sont suffisamment nombreuses et variées pour nous tenir en haleine de nombreuses heures.

Je ne vais pas vous détailler tous les apports et différences de ce jeu, surtout que le looooooong tutorial se fera un plaisir de tout expliquer parfaitement, mais on peut saluer les efforts fournis par Game Freak pour secouer un peu la licence et ne pas rendre l’expérience monotone. Selon moi c’est réussi !

Groupe de joueurs de Pokémon Go cherchant des Pokémon rares dans les rues de la ville

Par exemple le passage en mode « combat » est super bien intégré : on n’a plus l’impression d’être coupé dans notre élan. Et d’ailleurs, les bastons sont enrichies grâce aux styles rapides / puissants, mais aussi moins nombreuses puisqu’on peut désormais capturer des Pokémon sans les tabasser. Déjà c’est plus sympa pour eux, les pauvres… Mais aussi ça rend les sessions plus fluides et agréables.

Il y a pas mal de choses qui rendent la vie plus facile. Les bivouacs dans lesquels on peut se téléporter pour se reposer, etc., le crafting, simple et efficace, qui permet de s’équiper sans se ruiner, les différentes montures, super cools à utiliser… 🙂 Ce que je retiens de ces nouveaux éléments, c’est que peu de choses sont frustrantes !

Capture d'écran du jeu Pokémon Go montrant un Pokémon rare apparu près d'un monument historique

En fait, ça ressemble pas mal à l’idée qu’on pouvait se faire de Pokémon, à l’époque, avant d’y jouer : on explore des milieux naturels à la recherche de certaines espèces, on les observe, on expérimente jusqu’à trouver la bonne approche pour les capturer, on combat les dangers grâce à nos Pokémon préférés avec lesquels on se lie d’amitié pour la vie entière… 🤗 Bon OK je suis trop sentimental. Mais parfois ça fait du bien.

Acheter Légendes Pokémon : Arceus sur Switch

Sachez que cette aventure aura fait vibrer mon âme d’aventurier, et pour la peine, la prochaine fois je vous parle d’un jeu d’exploration pure ! 🙂


Voici une extension pour Chrome et ses dérivés qui va vous plaire si vous voulez automatiser certaines tâches. Cette extension c’est Automata qui permet simplement en connectant des blocs ensemble de remplir des formulaires, réaliser certaines tâches répétitives, prendre une capture écran, scraper de la donnée sur des sites…etc.

C’est hyper visuel et très simple à prendre en main et parce qu’une bonne vidéo vaut mieux qu’un long dessin, voici une démo :

Chaque action peut être déclenchée manuellement, à une date / heure spécifique, avec un raccourci clavier ou simplement lors de la visite d’un site. À partir de là, vous pourrez effectuer des actions, injecter vos propres données à partir d’un JSON ou CSV, mais également parcourir et récupérer de la data à partir des pages visées.

Super pratique !

Automata est téléchargeable ici.


Je suis assez tête en l’air, je dois bien l’avouer. Et malheureusement, ça me joue encore des tours. Alors pour tout ce qui est planning éditorial, rendez-vous et autres événements importants, j’utilise le calendrier de mon mac / iPhone. C’est synchronisé et ça fonctionne bien.

Mais je ne suis pas un grand fan de l’application Calendar d’Apple et je ne pense pas forcément à la regarder. Heureusement, grâce à Laurent que je remercie, j’ai découvert Itsycal.

Il s’agit d’une application compagnon qui se loge dans la barre de menus de macOS et qui se connecte à votre calendrier. Cela vous permet à la fois d’afficher les événements futurs, mais également d’en rajouter ci besoin.

Capture d'écran de l'interface Itsycal pour Mac

Itsycal en plus de son joli sourire propose un mode sombre, la possibilité d’afficher les numéros de semaine et même de mettre la date dans la barre de menu.

Logo d'Itsycal, le compagnon de calendrier pour Apple

Bref, vous l’aurez compris, c’est super pratique pour garder le lien avec son calendrier et ne plus rien oublier.

À télécharger ici.


Si vous êtes plus littéraire que matheux mais que vous devez quand même faire quelques petits calculs de budget, des factures ou ce genre de choses désagréable, foncez vite sur le site Numbr.dev.

Sur ce site, une simple page blanche qui vous permettra de mêler le texte aux mathématiques. Numbr prendra en compte tous les chiffres, les calculs, les conversions, les formules mathématiques et même du JavaScript.

Dans la colonne de droite, vous trouverez alors le résultat de vos calculs et formules et vous pourrez reprendre ces variables ensuite dans votre texte pour en faire d’autres choses comme le convertir dans une autre unité de mesure ou calculer un pourcentage.

Capture d'écran de l'interface utilisateur de Numbr - Un bloc note pour calculer des trucs

On peut bien sûr rédiger tout cela sous la forme d’un texte, ce qui donnerait ceci :

Schéma montrant comment utiliser Numbr - Un bloc note pour calculer des trucs

Je vous avoue que c’est hyper agréable à utiliser et ça permet de mettre à plat des raisonnements chiffrés en les expliquant avec du texte. Et pourquoi pas s’en servir pour faire quelques factures.

La seule limite c’est votre imagination !

Logo de Numbr - Un bloc note pour calculer des trucs

Évidemment, tout ce que vous écrivez est ensuite sauvegardable et partageable avec une simple URL.

Si Numbr vous intéresse, c’est par ici. Et je vous conseille de lire la courte documentation pour voir toutes les possibilités de l’outil.


Si vous suivez un peu l’actualité, cela ne vous aura pas échappé : Twitter propose depuis peu à certaines personnes la possibilité d’afficher un NFT sous la forme d’une image de profil.

Un NFT, ça ne veut pas dire « Non Functioning Testicle » mais Non Fongible Token. C’est tout simplement un contenu (image, musique, document, vidéo…etc) dont l’acte de propriété est enregistré et authentifié dans une blockchain. Je vous ai déjà tout expliqué à ce sujet ici.

Capture d'écran du bouton 'NFT' sur Twitter

Il y a beaucoup de haine anti-NFTs en ce moment, d’abord parce que c’est à la mode (et les gens adorent suivre la mode) mais aussi parce que ce n’est pas quelque chose de très utile, que c’est sujet à spéculation et que ça consomme un peu d’énergie. Alors forcément, ça cristallise la haine de certaines personnes qui mettent sur le dos de cette technologie le dérèglement climatique, les méfaits du capitalisme, la disparition des abeilles, le passeport sanitaire, les chocolatines, leur misère sentimentale et la petite goutte de pipi qui traine dans leur slip.

C’est vrai, le NFT sous sa forme actuelle n’est pas encore à son plein potentiel, et comme l’ont été la radio, la télévision, Internet, le smartphone, les vaccins, les cryptomonnaies…etc à leurs débuts, il y a évidemment des gens qui condamnent cette technologie pour X raisons diaboliques.

C’est leur droit.

Malgré la vindicte populaire, certains fous osent courageusement afficher leur NFTs sur leur profil Twitter en utilisant cette fonctionnalité.

Mais alors comment distinguer un profil NFT d’un profil Twitter classique ?

Simple : L’avatar est dans un espèce de losange aux coins arrondis.

Illustration de la manipulation pour activer le mode NFT sur Twitter

Seulement voilà, tout le monde n’a pas de NFTs ou pas forcément l’option active sur Twitter, permettant d’associer un NFT avec son profil.

Heureusement, il existe un moyen de tricher. Et ce moyen, on le doit à Mathis Hammel qui a développé un petit service permet à partir de votre nom d’utilisateur Twitter, de récupérer votre avatar dans un format identique à celui des possesseurs de NFTs.

Je sais, c’est de la triche mais c’est trop rigolo. Pour cela, il suffit d’appeler l’url suivante en remplaçant le pseudo (ici Korben) par votre pseudo Twitter :

http://mathis.h25.io/nft/Korben

Par contre, sachez qu’en utilisant ce service, certains fous de la gare vous traiteront comme une raclure de bidet sans même chercher une seconde à savoir si c’est un trucage ou si vraiment vous être une sale ordure pro-NFT-destructeur-des-mondes. Vous allez faire le plein de points Godwin en un rien de temps.

Cela dit, ça peut être une expérience sociale intéressante alors préparez-vous !

Merci Mathis !