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Korben, roi d’internet, logo bébé avec des lunettes en mode thug life

Oh my god !

Voici une bien mauvaise nouvelle pour les utilisateurs de Linux que nous sommes ! Un malware baptisé NerbianRAT sévit dans la nature depuis au moins 2 ans et il vient juste d’être identifié. Cette saleté est capable de voler vos identifiants en exploitant des failles de sécurité récemment corrigées.

C’est la boîte de sécu Checkpoint Research qui a révélé l’existence de cette variante Linux de NerbianRAT. D’après eux, c’est un groupe de cybercriminels nommé « Magnet Goblin » qui est derrière tout ça. Et leur technique est bien vicieuse : ils exploitent des vulnérabilités à peine patchées (les fameux « 1-day ») en rétro-ingéniérant les mises à jour de sécurité. Comme ça, ils peuvent cibler les machines pas encore à jour. Malin !

En plus de NerbianRAT, Checkpoint a aussi découvert un autre malware appelé MiniNerbian. C’est une version allégée utilisée pour backdoorer les serveurs e-commerce Magento et les transformer en serveurs de commande et contrôle pour le botnet NerbianRAT.

Mais le plus inquiétant c’est que Magnet Goblin est très réactif pour s’accaparer les dernières vulnérabilités 1-day et déployer ses saloperies comme NerbianRAT et MiniNerbian. Ça leur permet d’infecter des machines jusqu’ici épargnés comme les appareils qui se trouvent en périphérie de réseau comme le matériel IoT.

Checkpoint est tombé sur NerbianRAT en analysant les attaques récentes qui exploitent des failles critiques dans Ivanti Secure Connect. Dans le passé, Magnet Goblin a aussi exploité des 1-day dans Magento, Qlink Sense et possiblement Apache ActiveMQ pour propager son malware.

Les chercheurs ont trouvé cette variante Linux de NerbianRAT sur des serveurs compromis contrôlés par Magnet Goblin, avec des URLs du style :

  • http://94.156.71[.]115/lxrt
  • http://91.92.240[.]113/aparche2
  • http://45.9.149[.]215/aparche2

C’est pas tout ! Magnet Goblin déploie aussi une version modifiée d’un autre malware voleur d’infos appelé WarpWire. D’après la boîte Mandiant, cette variante engrange des identifiants VPN qu’elle expédie ensuite sur un serveur du domaine miltonhouse[.]nl.

Contrairement à sa version Windows qui est bien obfusquée, NerbianRAT Linux se protège à peine. Son code contient même des infos de debug qui permettent aux chercheurs de voir des trucs comme les noms de fonctions et de variables. Du beau travail…

Alors les amis linuxiens, méfiance ! Même si on se sent à l’abri avec notre machot, faut bien garder à l’esprit qu’aucun OS n’est invulnérable. La sécurité c’est aussi une histoire de comportement. Pensez à mettre régulièrement à jour vos machines, évitez les sites et les programmes louches, et utilisez vos neurones.

Un petit scan antivirus de temps en temps, ça peut pas faire de mal non plus. Et puis au pire, si vous chopez NerbianRAT, dites-vous que vous aurez participé bien malgré vous à une opération de recherche collaborative via VirusTotal 😉

Je vous laisse méditer là-dessus. En attendant portez-vous bien, pensez à éteindre la lumière en partant et que la Force soit avec vous !

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Vous avez entendu parler de Suyu ? C’est le nouvel émulateur Nintendo Switch open source qui fait pas mal parler de lui en ce moment. Faut dire qu’après la descente en flammes de son prédécesseur Yuzu, qui s’est pris un méchant procès de Nintendo et a dû mettre la clé sous la porte, les fans d’émulation se demandaient bien qui allait prendre le relais.

Bah c’est Suyu qui s’y colle, avec une équipe de développeurs passionnés qui ont repris le code source de Yuzu pour continuer à faire évoluer l’émulation Switch. Mais attention, les gars ont retenu la leçon et font super gaffe à pas se mettre Nintendo à dos comme Yuzu ! Déjà, fini la monétisation du projet, Suyu c’est 100% bénévole. Ils l’annoncent clairement sur leur page GitLab, zéro profit, que dalle, nada. Normal, vu que c’était un des points qui avaient bien énervé Nintendo dans le procès contre Yuzu.

Pareil pour les guides pas à pas pour expliquer comment jouer à des jeux piratés, c’est terminé. Les mecs veulent pas entendre parler de warez, au point que c’est devenu le sujet tabou numéro 1 sur leur Discord. Suyu joue la carte de la prudence à fond et refuse d’être associé de près ou de loin au piratage. Sachant que c’était un autre gros point de crispation de Nintendo contre Yuzu, ça me parait logique.

Après est-ce que ça suffira à éviter les foudres des avocats de Big N, ça c’est une autre histoire. Car même en jouant profil bas, Suyu n’en reste pas moins un émulateur Switch, avec tout ce que ça implique légalement, notamment le fait de devoir extraire la clé de sécurité d’une Switch pour pouvoir jouer aux jeux, ce qui ne plait pas non plus à la firme japonaise. D’ailleurs, les dévs le disent eux-mêmes, ils évoluent pour l’instant dans une « zone grise », le temps de trouver une solution pour en sortir. Wait and see comme on dit.

Mais en attendant, force est de constater que Suyu fait du bon boulot. Enfin un émulateur Switch puissant, open source et qui en plus est plutôt user-friendly. De quoi donner envie d’y jeter un œil et pourquoi pas de filer un coup de main si vous vous y connaissez un peu en dev. Le code est dispo sur le GitLab, avis aux amateurs ! Je vous ferait pas de tuto, hein ^^.

Bon après, bien que l’émulation soit LÉGALE, n’empêche que c’est quand même un peu couillu comme projet. Rien que le nom, Suyu, qui se prononce comme « sue you » (traduisez « attaquez-moi en justice » pour les anglophobes), ça montre bien que les mecs ont de l’humour et qu’ils sont conscients de jouer avec le feu. On peut pas leur enlever ça.

Et puis c’est cool de voir que malgré les menaces, la communauté de l’émulation continue de faire vivre ce hobby de passionnés. Avec tous les projets qui se sont fait dégommer ces derniers temps, on aurait pu croire le milieu complètement plombé. Mais heureusement, y a encore des irréductibles pour prendre la relève et faire perdurer la tradition, même si ça devient de plus en plus tendu.

Donc voilà, un petit coup de projecteur sur Suyu qui le mérite bien. Si vous voulez en savoir plus, je vous invite à faire un tour sur leur site, y a toutes les infos nécessaires. Et n’hésitez pas non plus à rejoindre leur serveur Discord pour suivre l’actu du projet et échanger avec les dévs et la communauté.

Sur ce, je retourne jouer à Zelda BOTW sur mon PC, vu que maintenant c’est possible grâce à Suyu 😉 J’déconne, j’déconne… Quoique !

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Si vous êtes fan des jeux Nintendo, et notamment de Zelda, ça ne vous aura surement pas échappé. Mais pour les autres, qui comme moi, sont passé totalement à côté, et bien petite séance de rattrapage aujourd’hui pour ce concert qui sort de l’ordinaire.

Ça s’est passé pendant le Nintendo Live 2024 et durant 30 min, l’orchestre a interprété les titres phares de Zelda. Et c’est magnifique !

De quoi faire chauffer YouTube DL pour mettre ensuite tout ça dans une playlist.

On y retrouve les morceaux suivants :

00:00 – Tears of the Kingdom: Main Theme (Reprise)

Le thème principal de « Tears of the Kingdom » résonne comme une invitation audacieuse à l’aventure, encapsulant parfaitement l’essence de l’exploration et de l’innovation que promet ce titre. Sa reprise en ouverture du concert évoque immédiatement l’excitation et l’anticipation qui entourent ce nouveau chapitre de la saga Zelda. La composition reflète la continuité et l’évolution de la franchise, tissant des éléments familiers avec de nouvelles harmonies pour capturer l’esprit d’une aventure encore inexplorée. C’est un hommage vibrant à l’avenir de la série, promettant aux fans de nouvelles énigmes, territoires, et légendes dans le riche univers de Hyrule.

03:55 – The Ballad of the Goddess

« The Ballad of the Goddess » est emblématique de « The Legend of Zelda: Skyward Sword », jeu qui explore les origines de la Master Sword et la relation profonde entre Link et Zelda. Ce morceau, avec ses mélodies célestes, évoque le courage et l’espoir, thèmes centraux du jeu. Intéressant fait, la mélodie de cette ballade est en réalité le thème de Zelda joué à l’envers, révélant l’ingéniosité et la profondeur de la composition musicale de la série. Sa performance lors du concert rend hommage à l’une des histoires fondatrices de la mythologie de Zelda, célébrant le début d’un destin héroïque.

06:11 – Zelda’s Lullaby

« Zelda’s Lullaby » est peut-être l’un des thèmes les plus emblématiques et affectueux de toute la franchise Zelda, symbolisant la douceur et la résilience de la Princesse Zelda. Présent dès les premiers jeux de la série, ce morceau a été revisité à travers les générations, servant de leitmotiv pour représenter Zelda elle-même. Sa présence dans le concert souligne l’importance de Zelda non seulement comme personnage mais aussi comme cœur battant de la série, rappelant des moments de tendresse et de réconfort au milieu des tumultes d’Hyrule.

09:00 – Link’s Awakening Medley 2024

Le « Link’s Awakening Medley 2024 » célèbre la charmante aventure de Link sur l’île mystérieuse de Koholint. Ce jeu, initialement sorti pour la Game Boy et plus tard remastérisé pour la Nintendo Switch, est remarquable pour son ton mélancolique et ses thèmes de rêve et de réalité. L’inclusion de ce medley dans le concert offre une exploration musicale de l’un des titres les plus uniques de la série, avec des compositions qui évoquent à la fois l’aventure insulaire de Link et la quête profondément personnelle pour découvrir la vérité derrière l’île.

13:26 – Breath of the Wild: Main Theme

Le thème principal de « Breath of the Wild » capture l’essence de la liberté et de l’exploration qui définissent ce jeu révolutionnaire. Avec ses vastes paysages ouverts et son approche non linéaire de l’aventure, « Breath of the Wild » a marqué un tournant dans la série. La musique joue un rôle crucial dans l’immersion du joueur, avec des thèmes qui évoluent de manière dynamique en fonction des actions et de l’environnement. L’exécution de ce thème lors du concert est un rappel puissant de la grandeur de Hyrule et de l’appel incessant à l’aventure.

15:35 – Hyrule Castle

Le thème « Hyrule Castle » est l’un des morceaux les plus dramatiques et épiques de « Breath of the Wild », représentant la lutte désespérée contre le mal qui se cache en son cœur. Sa composition riche et puissante évoque à la fois le danger imminent et l’espoir d’une victoire contre Ganon. Joué lors du concert, il rappelle les moments les plus intenses de l’aventure de Link, soulignant la bravoure nécessaire pour affronter les ténèbres.

17:43 – Breath of the Wild: 2017 Nintendo Switch Presentation Trailer

Ce morceau, originaire du trailer de présentation de « Breath of the Wild » pour la Nintendo Switch en 2017, a capturé l’imagination de millions de fans, symbolisant le renouveau de la franchise Zelda. Sa performance au concert évoque la magie de la première découverte du jeu, une composition qui mélange curiosité, excitation et l’immense potentiel d’aventure, reflétant parfaitement l’esprit d’innovation de « Breath of the Wild ».

21:15 – Ocarina of Time: Kakariko Village

« Kakariko Village » de « Ocarina of Time » est une mélodie qui incarne la tranquillité et la paix d’un des lieux les plus emblématiques de Hyrule. Son inclusion dans le concert rappelle les racines profondes de la série Zelda, transportant l’auditeur dans un espace de nostalgie et de sérénité. C’est un hommage à la simplicité et à la beauté des moments de repos et de répit dans les aventures de Link.

24:18 – The Legend of Zelda Main Theme

Le thème principal de « The Legend of Zelda » est sans doute le morceau le plus iconique de toute la franchise, immédiatement reconnaissable par des générations de joueurs. Son interprétation en clôture du concert sert de rappel puissant et émouvant de l’aventure et de l’exploration qui sont au cœur de Zelda depuis plus de trois décennies. C’est une célébration de l’esprit indomptable de la série, invitant les fans à se remémorer leurs propres voyages à travers Hyrule et au-delà.

Bonne écoute à tous.

Merci à Lorenper


Ça y est les amis, c’est la grande nouvelle de la semaine dans le monde de l’IA ! Elon Musk, le grand patron de xAI, a balancé sur Twitter que son chatbot Grok va passer en open-source dans les prochains jours. Et ça, c’est pas rien, surtout quand on sait que ce petit bijou est capable, selon ses dires, de rivaliser avec ChatGPT !

Faut dire que depuis sa sortie l’an dernier, Grok a pas chômé. Il a été boosté avec des fonctionnalités de fou, comme l’accès à des infos en temps réel et la possibilité de s’exprimer sans filtre, même si ça plait pas à tout le monde. 😅 Pour l’instant, seuls les abonnés premium de X (anciennement Twitter) peuvent en profiter pour la modique somme de 16 dollars par mois. Mais ça, ça risque bien de changer !

Parce que voilà, Elon est pas content. Il y a quelques jours, il a carrément attaqué OpenAI en justice, l’accusant d’avoir trahi ses principes d’ouverture et de transparence. Faut savoir qu’à la base, Musk avait co-fondé OpenAI avec Sam Altman il y a presque 10 ans, justement pour contrer la domination de Google dans l’IA. Mais depuis, OpenAI est passé en mode closed-source et s’est rapproché de Microsoft, son nouveau meilleur pote. Forcément, ça passe mal auprès d’Elon qui n’hésite pas à balancer : « OpenAI est devenu une filiale de facto de Microsoft, la plus grande entreprise technologique au monde ». Aïe, ça pique ! 😬

Résultat, ça a foutu un sacré bordel dans le milieu. Des pointures comme Vinod Khosla (un des premiers investisseurs d’OpenAI) et Marc Andreessen (co-fondateur d’Andreessen Horowitz) s’en sont mêlés, alimentant le débat sur les avantages et les risques de l’open-source dans l’IA. Pendant ce temps-là, Elon persiste et signe : « OpenAI est un mensonge », a-t-il tweeté lundi. Ambiance ! 🔥

Mais revenons-en à nos moutons. Si Grok passe effectivement en open-source comme promis, ça va faire du bruit. xAI rejoindrait ainsi le club select des boîtes comme Meta et Mistral qui ont déjà publié le code de leurs modèles. Et c’est pas la première fois qu’Elon joue la carte de la transparence : Tesla a déjà open-sourcé plein de brevets, et même X (ex-Twitter) a rendu publics certains de ses algorithmes l’an dernier.

Alors, qu’est-ce que ça va donner concrètement ? 🤔

On peut imaginer que des développeurs du monde entier vont pouvoir mettre les mains dans le cambouis de Grok, l’améliorer, le customiser à leur sauce. Ça pourrait donner lieu à des utilisations vraiment cool, comme par exemple intégrer Grok à des apps ou des sites web pour proposer une assistance ultra-performante aux utilisateurs. Ou encore s’en servir comme base pour créer des chatbots spécialisés dans des domaines pointus, type médecine, droit, finance… Les possibilités sont quasi infinies !

Après, faudra quand même rester vigilant. Parce que l’open-source, c’est chouette, mais ça peut aussi ouvrir la porte à des dérives si c’est mal encadré. Genre des mecs mal intentionnés qui se serviraient du code de Grok pour créer des chatbots malveillants, des spambots, ou pire encore. 😱 Espérons qu’Elon et son équipe ont prévu des garde-fous solides pour éviter ça (j’en doute…).

En attendant, on a hâte de voir ce que ça va donner ! Et vous, vous en pensez quoi ? Vous croyez que l’open-source peut vraiment révolutionner le monde de l’IA, ou bien c’est juste un énième coup de com’ de notre cher Elon ?

Allez, je vous laisse cogiter là-dessus, et rdv très vite pour la suite des aventures ! 😉

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Ça y est les gars, WhatsApp continue de nous en mettre plein la vue avec une nouvelle mise à jour bien badass qui va clairement révolutionner notre façon d’utiliser cette app de messagerie qu’on adore tous secrètement (ou pas). La version bêta pour Android 2.24.3.17 vient tout juste de sortir grâce au Google Play Beta Program et croyez-moi, cette update a de la gueule !

La grosse nouveauté qui déboite, c’est que les dev de WhatsApp sont en train de bosser sur une petite phrase bien pratique qui va s’afficher dans vos conversations pour vous rappeler que vos échanges sont chiffrés de bout en bout. Ça a l’air de rien comme ça, mais c’est clairement un plus pour la confidentialité et la tranquillité d’esprit.

Pour l’instant, cette fonctionnalité est encore en développement, donc pas la peine de la chercher partout dans votre app, même si vous installez la dernière bêta. Mais les petits gars de chez WABetaInfo nous ont quand même dégoté un screenshot en avant-première pour nous mettre l’eau à la bouche.

Comme vous pouvez le voir sur cette capture d’écran, WhatsApp va rajouter une jolie petite phrase sous le nom de votre contact ou de votre groupe, avec même un petit cadenas pour faire genre c’est ultra secure. Un vrai régal pour les yeux et pour votre parano légendaire, avouez !

Alors bien sûr, techniquement vos conversations étaient déjà chiffrées de bout en bout hein, pas de panique. Mais cette phrase, c’est juste un rappel visuel, pour vous rassurer et vous montrer que WhatsApp en a clairement quelque chose à carrer de votre vie privée. C’est beau putain (oui j’en fais des caisses).

Bon après faut pas s’emballer non plus, cette indication ne va pas rester affichée en permanence. D’après les tests de WABetaInfo, le message va disparaître au bout de quelques secondes pour laisser place à votre bon vieux « last seen ». Mais c’est toujours ça de pris !

Alors quand est-ce qu’on pourra enfin profiter de cette innovation de malade sur nos smartphones Android ? Bah pour l’instant c’est un peu le mystère, vu que la fonctionnalité est encore en développement. Mais vu la vitesse à laquelle WhatsApp nous pond des updates en ce moment, ça ne devrait plus trop tarder.

En attendant, si vous voulez absolument frimer auprès de vos potes en leur montrant cette nouveauté en avant-première, vous pouvez toujours vous inscrire au programme bêta de WhatsApp sur le Play Store. Mais bon, faudra pas venir pleurer si votre app plante toutes les 5 minutes hein !

En tout cas, cette update montre bien que WhatsApp est à fond sur la sécurité en ce moment. Entre ça et l’arrivée des sauvegardes chiffrées sur Google Drive, on peut dire que la confidentialité est clairement devenue le cheval de bataille de l’app. Et franchement, c’est plutôt une bonne nouvelle vu les scandales à répétition sur les fuites de données et autres joyeusetés du genre.

Bon après, on va pas se mentir, WhatsApp appartient quand même à Facebook hein. Donc niveau respect de la vie privée, y’a encore du boulot. Mais au moins, avec des initiatives comme celle-là, on a l’impression que les choses bougent un peu dans le bon sens. C’est toujours ça de pris !

Bon allez, sur ce je vous laisse, j’ai un max de conversations WhatsApp à chiffrer moi. Prenez soin de vous les amis, et n’oubliez pas : avec WhatsApp, vos petits secrets sont (presque) bien gardés maintenant !