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Korben, roi d’internet, logo bébé avec des lunettes en mode thug life

Vous êtes un développeur spécialisé dans l’open source et vous cherchez peut être à maximiser l’impact de vos projets en établissant une stratégie de lancement ?

Difficile de savoir par où commencer… Mais avec Gitroom, vous allez pouvoir organiser tout ça en programmant à l’avance tous vos contenus en un seul endroit. Publications sur les réseaux sociaux (Twitter, LinkedIn, Reddit et compagnie), articles de blog pour Dev.to, Hashnode ou Medium et annonces sur GitHub, le tout en respectant un timing parfait.

C’est un vrai bonheur pour les adeptes de l’organisation, tout ça dans une interface facile à utiliser qui vous permettra également de suivre en temps réel les tendances sur GitHub pour ajuster votre planning en conséquence. Vous recevez même des notifications quand votre projet cartonne et grimpe dans le classement des repos les plus populaires.

Mais Gitroom ne s’arrête pas là puisque vous pouvez aussi collaborer avec votre équipe directement sur la plateforme, comme ça, fini les échanges de mails sans fin et les documents perdus dans les méandres de Google Drive. Vous assignez des tâches, vous commentez, vous validez, le tout au même endroit.

Gitroom propose un généreux plan gratuit qui vous donne accès à l’essentiel des fonctionnalités et si vous voulez passer à la vitesse supérieure, les tarifs restent très abordables.

En plus, c’est open source ! Eh oui, vous pouvez héberger vous-même votre instance et profiter de toutes les fonctionnalités gratuitement. C’est pas beau ça ?

Bref, c’est l’outil qui manquait cruellement dans l’écosystème open source pour démocratiser et faciliter les lancements de projets. Avec son approche innovante et sa philosophie collaborative, Gitroom a tout pour devenir le compagnon indispensable des développeurs et des mainteneurs de projets.

Merci à Lorenper pour cette découverte de qualité.


Vous êtes un accumulateur compulsif de liens intéressants, d’articles à lire plus tard, de notes en vrac et d’images inspirantes ? Ça tombe bien, moi aussi et j’ai trouvé un super outil pour assouvir notre soif de collectionnite aiguë sans nous noyer dans le bordel : Hoarder !

C’est quoi Hoarder ? Et bien c’est une app open source et auto-hébergeable qui permet de sauvegarder en deux clics tout et n’importe quoi : des liens avec prévisualisation automatique, des notes de texte et même des images. Bon OK, je sais, y’a déjà 15000 apps de bookmarking et de prise de notes, alors pourquoi s’emballer pour Hoarder ?

Et bien parce qu’elle coche toutes les cases du cahier des charges de l’accumulateur exigeant :

  • 🔍 Une recherche full-text puissante pour retrouver en deux secondes la perle rare enfouie sous des tonnes de bookmarks.
  • 🏷️ Un étiquetage automatique par IA pour classer et organiser le bordel sans effort. Hoarder analyse le contenu et lui colle des tags pertinents. Magique !
  • 🌙 Un mode sombre (indispensable ^^).
  • 💾 La possibilité de tout héberger soi-même sur son serveur, pour garder le contrôle sur ses données.
  • 📱 Des apps mobiles (en plus du web) pour « hoarder » aussi depuis son smartphone.
  • 🆓 Tout ça gratuitement et avec une bonne tronche bien moderne, merci le design material.

Pour centraliser votre bordel numérique, c’est l’idéal. Vous pourrez sauvegarder tous les articles et threads Twitter intéressants que vous croisez, prendre des notes quand une idée vous traverse l’esprit (un jour peut-être ? ^^) et bien sûr y stocker tous les memes les plus drôles pour les ressortir au bon moment.

Le créateur de Hoarder, Mohamed Bassem, est un ingénieur système qui voulait garder la main dans le dev web tout en se faisant plaisir. Il utilisait Memos, une autre app de prise de notes, mais il lui manquait des features essentielles comme la prévisualisation des liens et le tagging automatique. Plutôt que de râler, il a retroussé ses manches et pondu sa propre solution. Respect.

D’ailleurs, Hoarder s’inspire beaucoup de Mymind, un produit commercial similaire, mais en y ajoutant la dimension auto-hébergement qui est primordiale pour les paranos de la vie privée dont je fais partie. Les alternatives open source comme Shiori ou LinkWarden ne proposent pas (encore) le tagging automatique par IA.

Et sous le capot, ça tourne avec des technos bien sexy comme Next.js, tRPC, Meilisearch et OpenAI.

Pour l’installer, c’est très simple : tout est packagé pour tourner facilement avec Docker et Docker Compose. Il vous faudra aussi une clé d’API OpenAI (pour le tagging) mais c’est optionnel et peu coûteux. Tous les détails sont dans la doc.

Vous pouvez aussi tester une démo en ligne si vous voulez vous faire une idée avant d’installer. Allez, je vous laisse, j’ai un paquet de liens à sauvegarder moi ! 😉

Merci à Lorenper pour l’info !


Vous cherchez un moyen simple et efficace d’analyser vos données stockées dans des fichiers CSV ? Ça tombe bien puisqu’il y a un service qui s’appelle WhatTheDuck et qui vous permet d’exécuter des requêtes SQL directement sur vos CSV, le tout depuis votre navigateur web. Plutôt cool, non ?

Le concept est simple : vous uploadez vos fichiers CSV sur le site (vous pouvez en charger plusieurs d’un coup), puis vous écrivez vos requêtes SQL dans l’éditeur prévu à cet effet. Et là, magie, WhatTheDuck exécute vos requêtes et vous affiche les résultats ! Vous pouvez même télécharger le résultat de votre requête au format CSV.

L’interface est super intuitive et l’éditeur SQL dispose de la coloration syntaxique pour vous aider à écrire vos requêtes sans vous planter. C’est l’outil idéal pour faire des analyses de données rapides sans avoir à installer tout un environnement sur votre machine. Imaginons par exemple que vous ayez un fichier CSV qui contient les ventes de votre boutique en ligne…. vous pouvez en quelques clics avoir les stats des produits les plus vendus, calculer votre chiffre d’affaires par mois ou encore lister les clients qui ont passé le plus de commandes. Les possibilités sont quasi illimitées !

WhatTheDuck supporte un sous-ensemble du langage SQL, ce qui est largement suffisant pour faire des requêtes basiques. Si vous êtes un pro des bases de données, vous trouverez peut-être l’outil un peu limité, mais pour la plupart des utilisations c’est juste ce qu’il faut.

Autre exemple : vous avez récupéré un gros fichier CSV qui liste tous les restos de votre ville avec leurs coordonnées et le type de cuisine. Plutôt que de vous farcir tout le fichier à la main, vous pouvez utiliser cet outil pour filtrer les données et trouver en deux secondes tous les restos italiens dans votre quartier. Pratique pour organiser votre prochaine pizza party !

Seul petit bémol, il faut que vos fichiers CSV soient bien formatés pour que ça fonctionne. Il faut que votre fichier ait une ligne d’en-tête qui liste les noms des colonnes. Mais bon, c’est généralement le cas donc ça ne devrait pas poser de problème.

Bref, je vous laisse explorer toutes les possibilités offertes par What The Duck. C’est gratuit et open source, donc n’hésitez pas à jeter un oeil au code si vous êtes curieux de voir comment c’est fait.

Un grand merci à Lorenper pour m’avoir fait découvrir ce petit bijou

Happy SQL !


— Article en partenariat avec pCloud —

Salut les amis ! Aujourd’hui, on plonge dans l’univers du stockage en ligne avec pCloud, une alternative européenne aux géants comme Dropbox et Google Drive. Créé en Suisse en 2013, pCloud propose une solution de stockage en ligne simple, économique et sécurisée. Solution qui est, en plus, respectueuse des normes RGPD et répond aux critères de qualité helvètes. Je l’utilise depuis un petit moment maintenant (5 ou 6 ans), c’est l’une de mes solutions de backups au quotidien.

Le service compte déjà plus de 20 millions d’utilisateurs qui profitent de ses services depuis ses datacenters aux USA et au Luxembourg. En plus d’une interface super accessible sur le web, ordinateur et sur mobile il est connu pour ses niveaux supérieurs en termes de sécurité et de confidentialité (chiffrement AES-256, TLS/SSL, option de double authentification pour protéger vos données sensibles, politique zéro connaissance, etc.). Surtout, le chiffrement se fait côté client donc directement sur votre machine. Personne n’a accès à votre clé de chiffrement.

C’est aussi une solution flexible et pratique qui conviendra à toute la famille. Non seulement elle supporte de nombreux OS (macOS/iOS, Windows, Linux, Android), mais permet aussi la sauvegarde (via pCloud Backup) et la synchronisation automatiques. Bien utile lorsque vous prenez pas mal de photos ou vidéos avec votre smartphone comme moi (la vie de staaaar auvergnate baby). En mode desktop elle dispose en plus d’une application de bureau (pCloud Drive), un disque virtuel qui simplifie la gestion des données et augmente le stockage de l’appareil.

Avec pCloud, vous pouvez stocker entre 500 Go et 10 To, sans limites de taille de fichier. La vitesse d’upload et de téléchargement est illimitée, elle dépend uniquement de votre connexion internet. Vous pouvez même accéder à vos fichiers hors ligne et lire vos contenus directement depuis l’application grâce à son lecteur multimédia intégré.

La synchronisation des fichiers est ultra-rapide grâce à la technologie de synchronisation par blocs. De mon expérience, au niveau de la rapidité c’est quasi aussi direct que si vous bossiez sur votre propre disque dur, même sur des fichiers volumineux. Niveau des sauvegardes il faudrait un vrai très gros soucis pour que vous perdiez vos infos, elles sont copiées 5 fois sur des serveurs différents.

pCloud excelle dans le partage de fichiers, et c’est plutôt pratique au quotidien, surtout si vous échangez avec des personnes qui n’utilisent pas le service. Vous pouvez par exemple générer des liens de partage avec différentes options de permissions, les protéger par mot de passe, et même personnaliser l’apparence du lien en lui-même. 

Vous avez donc accès à une gestion granulaire des accès aux fichiers, avec des autorisations spécifiques pour les équipes et les utilisateurs. Surtout qu’un système d’alerte existe, pour signaler les modifications louches de certains fichiers par exemple. Tous vos fichiers sont lisibles via différents lecteurs intégrés (pas besoin d’installer d’autres outils).

Mais là où le service se distingue particulièrement, c’est par ses offres à vie : un espace de stockage pour 99 ans à un prix attractif. Pas d’abonnement mensuel qui vient vous piquer au portefeuille chaque mois. Une fois passée la piqûre initiale vous pouvez oublier son achat jusqu’à la fin de votre vie ! (ou tout du moins celle du service).

D’ailleurs parlant des tarifs les offres Lifetime de pCloud sont uniques sur le marché, avec des options allant de 1 à 10 To. Pour cet été vous pourrez profiter d’une vague de promos vraiment sympa avec des remises de 58 à 70% selon la taille du forfait :

  • pack 1To + pCloud Encryption gratuit à 199€ (au lieu de 664€)
  • pack 2To + pCloud Encryption gratuit à 279€ (au lieu de 828€)
  • pack 10To + pCloud Encryption gratuit à 890€ (au lieu de 2119€)

Et la cerise sur le cake de cette promo, c’est l’intégration de pCloud Encryption, qui vous permet de chiffrer vos contenus directement sur votre machine. Cela sans manipulation complexe, vos fichiers sont donc chiffrés en local sur votre machine avant même d’être envoyés dans le nuage. Vous seul détenez la clé de chiffrement, qui n’est partagée nulle part. Une cerise à 150€ offerte en plus, ça ne se refuse pas ^^

Plutôt cool non ? Et pour les sceptiques, le service propose une version gratuite jusqu’à 10 Go, parfaite pour tester le service avant de s’engager.

Pour résumer il s’agit d’une excellente alternative aux services de stockage cloud des Zetazunis. Il allie simplicité d’utilisation, sécurité, et un excellent rapport qualité-prix. Si vous cherchez, un service de cloud sécurisé, ergonomique et abordable, pCloud est à considérer sérieusement. Surtout que leur support client est plutôt au taquet (jamais dû trop attendre).

Alors, prêts à passer au cloud européen ?


Vous en avez marre de la valse des emails pour planifier une simple réunion ? Bienvenue au club ! Heureusement, j’ai déniché un petit bijou open source qui va vous changer la vie : Rallly.

Rallly (avec 3 L), c’est l’outil parfait pour organiser vos événements sans prise de tête. Son concept est simple mais diablement efficace. Vous créez un sondage avec les dates et heures qui vous conviennent, vous invitez les participants et hop, chacun vote pour son créneau préféré. Comme ça, terminé le casse-tête pour trouver un moment qui arrange tout le monde !

Sous son interface épurée, Rallly cache une machinerie bien huilée. Développé en Next.js, Prisma et tRPC, le backend assure un service aux petits oignons et côté front, TailwindCSS apporte une touche d’élégance sans sacrifier la performance.

Mais la cerise sur le gâteau, Rallly est entièrement open source ! Vous pouvez donc héberger votre propre instance en un clin d’œil grâce à Docker. Clonez le dépôt GitHub, configurez vos variables d’environnement, lancez Docker Compose et voilà, votre Rallly personnel est prêt à l’emploi.

L’installation se fait en quelques commandes :

git clone https://github.com/lukevella/rallly.git
cd rallly
cp sample.env .env (et éditer le fichier pour la config)
yarn
yarn db:setup (ou "yarn dx" si vous n'avez pas de base postgres qui tourne)
yarn dev

Et si vous voulez passer à la vitesse supérieure, suivez le guide pour déployer votre instance avec Docker Compose. Bien sûr, vous pouvez garder le contrôle sur qui peut accéder à votre instance. Il suffit de renseigner les adresses email autorisées dans votre fichier de configuration et vous pouvez même utiliser des wildcards (*) pour autoriser des domaines entiers.

Une fois votre serveur opérationnel, créer un sondage devient alors un jeu d’enfant. Choisissez vos options de date et d’heure, envoyez le lien à vos invités et laissez la magie opérer. Vous pouvez par exemple restreindre le nombre de votes par participant, histoire d’éviter les abus. Ou encore clôturer un sondage quand bon vous semble. Et comme ça, plus besoin de relancer les retardataires ou de jongler entre les agendas.

La plupart des options sont gratuites mais quelques fonctionnalités avancées nécessitent quand même un compte payant. Quoiqu’il en soit, c’est un super outil que je vous recommande !