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Korben, roi d’internet, logo bébé avec des lunettes en mode thug life

Vous en avez assez de la complexité de Google Analytics et de son impact sur la vie privée de vos visiteurs ? Alors laissez-moi vous parler de Plausible Analytics, une alternative open source rafraîchissante qui se concentre sur l’essentiel au travers de son interface épurée et intuitive.

Ainsi, vous avez accès en un clin d’œil à toutes les statistiques clés de votre site web : nombre de visiteurs uniques, pages vues, sources de trafic, pays d’origine…sans vous noyer dans les données. Et son point fort, c’est le respect de la vie privée puisque là où Google Analytics suit vos visiteurs à la trace, Plausible reste totalement anonyme : Pas de cookies, pas de données personnelles collectées, rien. Vos utilisateurs naviguent sereinement, et vous récoltez des data sans compromettre vos valeurs.

En plus d’être éthique, Plausible est aussi incroyablement léger. Son script pèse moins d’1 KB, contre 45 KB pour Google Analytics comme ça, vos pages se chargent en un éclair, votre référencement naturel s’améliore, et même la planète respire mieux avec moins de données qui transitent !

Et comme Plausible est open source, vous pouvez l’adapter à vos besoins spécifiques ou même l’héberger vous-même. Mais si vous préférez la simplicité du cloud, y’a moyen d’utiliser ça en SaaS sur leurs serveurs moyennant finance.

Vous pouvez aussi spécifier des événements custom pour suivre les objectifs importants pour votre business, comme les clics sur des boutons d’action ou les pages vues d’un tunnel de conversion. Je vous invite à lire la documentation qui détaille toutes les possibilités offertes.

A vous de voir maintenant si vous balancez Google Analytics au profit de Plausible.


Fini les captures d’écran toutes moches qui donnent pas envie. Avec Freeze, vous allez pouvoir customiser vos screenshots de code comme jamais.

Vous pouvez l’installer avec Homebrew sur macOS ou Linux, ou même avec un bon vieux go install si vous êtes old school et une fois que c’est fait, vous balancez juste

freeze moncode.js -o code.png

dans votre terminal, et hop, Votre screenshot sera là, beau frais comme un gardon et beau comme un camion.

Vous pouvez même capturer le résultat de commandes avec le paramètre –execute :

freeze --execute "eza -lah"

Le petit plus de Freeze, c’est qu’il permet de choisir un thème afin de personnaliser le rendu du code. Un petit --theme dracula et vous voilà avec un code aux couleurs du célèbre vampire. Besoin d’ajouter des contrôles de fenêtre façon macOS ? --window et le tour est joué. Et que dire de la possibilité d’ajouter une ombre, des coins arrondis, ou même d’intégrer votre propre police ? Les dev de Freeze ont pensé à tout…

Et si vous êtes du genre à aimer bidouiller, vous allez adorer le mode interactif de Freeze. Lancez

freeze --interactive

et vous pourrez customiser votre screenshot en direct, comme un vrai pro.

C’est aussi un vrai gain de temps pour les développeurs qui souhaitent rendre des bouts de code présentables pour intégrer par exemple dans une doc ou un site web. Allez, je vais vous donner un petit exemple pour la route. Disons que vous voulez capturer un bout de code JavaScript, avec le thème Dracula, une jolie fenêtre, une ombre, et des coins arrondis.

Voilà ce que ça donne :

freeze moncode.js --theme dracula --window --shadow.blur 20 --shadow.x 0 --shadow.y 10 --border.radius

Ainsi, en une seule ligne de commande, vous obtenez une image de code digne d’un vrai pro. Puis l’avantage c’est que ça peut s’automatiser.

Bref, je crois que vous avez compris l’idée. Si ça vous intéresse, rendez-vous sur https://github.com/charmbracelet/freeze.


Si vous vous intéressez au reverse engineering comme moi, permettez-moi de vous présenter FLARE-VM de Mandiant ! C’est un outil très pratique pour vous monter rapidement un petit labo d’analyse de malwares sans vous prendre la tête.

Concrètement, FLARE-VM est une jolie brochette de scripts d’installation pour Windows, basés sur deux technos bien badass : Chocolatey (un gestionnaire de paquets) et Boxstarter (un outil pour scripter des installs et configurer des environnements reproductibles). Bref, ça mâche le boulot et ça permet d’installer tout un tas d’outils et les configurer proprement en quelques minutes.

Bon, avant de se lancer, faut quand même checker deux-trois prérequis. Déjà, n’oubliez pas que FLARE-VM est prévu pour tourner sur une VM, donc préparez-en une bien propre (Windows 10+ de préférence) sur VMWare ou Virtualbox par exemple. Ensuite, vérifiez que vous avez bien au moins 60 Go d’espace disque et 2 Go de RAM. Et pensez à désactiver les mises à jour Windows et l’antivirus, sinon ça risque de faire des misères.

Ouvrez ensuite une invite PowerShell en tant qu’administrateur et téléchargez le script d’installation installer.ps1 sur votre bureau à l’aide de la commande suivante :

(New-Object net.webclient).DownloadFile('https://raw.githubusercontent.com/mandiant/flare-vm/main/install.ps1',"$([Environment]::GetFolderPath("Desktop"))\install.ps1")

Débloquez le script d’installation :

Unblock-File .\install.ps1

Puis activez son exécution :

Set-ExecutionPolicy Unrestricted -Force

Si vous recevez un message d’erreur indiquant que la stratégie d’exécution est remplacée par une stratégie définie à une portée plus spécifique, vous devrez peut-être passer une portée via Set-ExecutionPolicy Unrestricted -Scope CurrentUser -Force. Pour afficher les stratégies d’exécution pour toutes les portées, exécutez Get-ExecutionPolicy -List.

Enfin, exécutez le script d’installation comme ceci :

.\install.ps1

Pour passer votre mot de passe en argument :

.\install.ps1 -password <mot_de_passe>

Pour utiliser le mode CLI uniquement avec un minimum d’interaction utilisateur :

.\install.ps1 -password <mot_de_passe> -noWait -noGui

Pour utiliser le mode CLI uniquement avec un minimum d’interaction utilisateur et un fichier de configuration personnalisé :

.\install.ps1 -customConfig <config.xml> -password <mot_de_passe> -noWait -noGui

Une fois lancée, l’installation va télécharger et installer tous les outils sélectionnés, configurer les variables d’environnement, épingler des raccourcis sur la barre des tâches, etc. Bref, en quelques clics, vous obtiendrez un environnement de reverse engineering aux petits oignons, prêt à l’emploi pour désosser du malware !

Après l’installation, il est recommandé de passer en mode de réseau host-only et de prendre un instantané de la machine virtuelle. Vous pouvez ensuite personnaliser votre environnement FLARE VM en fonction de vos besoins spécifiques :

  • Mettez à jour les outils et les logiciels installés pour vous assurer que vous disposez des dernières versions.
  • Configurez les paramètres réseau selon vos préférences, par exemple en passant en mode NAT ou en mode pont si nécessaire.
  • Installez des outils ou des utilitaires supplémentaires qui pourraient être utiles pour votre flux de travail d’analyse.
  • Personnalisez les paramètres de l’interface utilisateur et les préférences selon vos goûts.

Et c’est parti mon kiki !

Après, si vous voulez aller plus loin et contribuer à l’amélioration de FLARE-VM, jetez un œil aux repos GitHub du projet :

Happy reverse à tous ! 🚀


Vous en avez marre de GRUB et ses limitations ? Vous rêvez de pouvoir booter facilement Windows, Linux et macOS sur la même machine en EFI ou UEFI ? Ne cherchez plus, rEFInd est là pour révolutionner votre expérience de démarrage !

Développé comme un fork de rEFIt, rEFInd pousse encore plus loin les possibilités de boot. Cet outil détecte automatiquement tous les systèmes d’exploitation installés sur votre ordinateur comme ça, fini le temps perdu à configurer manuellement chaque entrée ! Le plus dingue avec rEFInd, c’est qu’il peut même lancer directement des noyaux Linux sans passer par un bootloader intermédiaire. Ça simplifie énormément la configuration. Et pour les nostalgiques du bon vieux BIOS, pas de panique : rEFInd gère aussi le boot des OS en mode legacy via le CSM. Bref, c’est vraiment un outil très pratique pour gérer un multiboot sur les cartes mères modernes.

En plus d’être hyper pratique, rEFInd en jette grave avec ses thèmes graphiques. Ainsi, vous pouvez complètement personnaliser le look de votre menu de boot. Mettez une image de fond stylée, changez les icônes, ajoutez une bannière… Faites-vous plaisir ! C’est tellement plus agréable qu’un écran noir avec trois lignes de texte.

Mais rEFInd, ce n’est pas qu’une question d’esthétique. C’est aussi bourré d’options de configuration avancées pour les power users qui permettent de définir des paramètres de boot par défaut, modifier à la volée les options passées aux OS, activer le support des pilotes EFI, et bien plus encore. Tout se fait via un fichier texte hyper simple à comprendre.

Pour installer rEFInd, c’est facile : Téléchargez la dernière version sur le site officiel, décompressez l’archive et lancez le script d’installation. En quelques secondes, c’est prêt ! Le programme s’installe sur la partition EFI et prendra la main au démarrage suivant.

Maintenant, si vous voulez vraiment assurer niveau sécurité, vous pouvez même configurer rEFInd pour fonctionner avec Secure Boot. Il suffit de le signer numériquement avec votre propre clé, comme ça, vous serez certain que personne ne pourra modifier votre configuration de boot.

Ça facilite tellement la vie au quotidien et en plus ça en jette visuellement, alors pourquoi vous priver ?

Plus d’infos sur le site de rEFInd.


Theme Park est une méga collection de thèmes CSS pour donner un coup de pep’s à tous vos outils chouchous : Deluge, Emby, Flood, Jackett, Jellyfin, Lidarr, Nzbget, Nzbhydra2, Ombi, Organizr, Overseerr, Plex, Portainer, Prowlarr, Qbittorrent, Radarr, Readarr, Rutorrent, Sabnzbd, Sonarr, Tautulli, Transmission, Unraid, Whisparr, et une tripotée d’autres.

Y’en a pour tous les goûts, du plus classieux au plus funky. Avec juste quelques lignes de code, vous allez pouvoir affirmer votre style unique.

Adieu la grisaille, bonjour les couleurs flashy et les designs innovants !

Et le kif, c’est que c’est hyper simple à mettre en place. Vous avez l’embarras du choix niveau installation : Docker, scripts personnalisés, Nginx, Apache… Bref, que vous soyez un newbie ou un pro du terminal, vous allez pouvoir en profiter en deux temps trois mouvements. Et si vous avez besoin d’un coup de main, la doc est là pour vous guider pas à pas.

Un exemple avec Plex :

Ou encore une personnalisation de Bitwarden :

Mais attendez, c’est pas fini ! Le vrai plus de Theme Park, c’est sa communauté de passionnés. On parle de vrais artistes qui partagent leurs créations avec générosité. Vous allez pouvoir piocher dans un catalogue de thèmes toujours plus étoffé, ou même proposer vos propres chefs-d’œuvre.

Si ça vous intéressez, rendez-vous sur https://theme-park.dev/ et vous pourrez commencer à bidouiller et personnaliser vos apps pour les rendre unique.