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Korben, roi d’internet, logo bébé avec des lunettes en mode thug life

Wouhou, on s’est encore une fois retrouvé avec la web-family (Patrick Beja et Jérôme Keinborg) pour un nouveau numéro du podcast Rendez-vous Tech. Ma dernière intervention date d’il y a environ 2 mois et nous avions parlé du confinement et de Zoom (entre autres). Cela semble déjà bien loin tout ça.

Cette fois-ci le sujet principal de notre discussion tourne autour du bras de fer qui a commencé entre Twitter et Donald Trump. Qui est vraiment à l’origine du boxon ? Qu’est ce que contient la section 230 de l’executive order que Donald pourrait signer ? Pourquoi est-on peut-être à un moment historique ?

Donald Trump et Jack Dorsey, PDG de Twitter, lors d'une réunion

Twitter vs Trump (lien vers le podcast) ou à écouter sur YouTube.

Dans la seconde moitié de l’épisode nous abordons d’autres sujets dont les « cults » et les « Step Chickens » sur Tik Tok (kézako?), l’application de traçage à la mode, Facebook Venue, IGTV qui décide de redistribuer une part de ses revenus aux créateurs ou encore AliExpress qui lance Connect, un moyen de mettre en contact des marques et des influenceurs.

1h18 à nourrir votre cerveau d’informations intéressantes, le tout distillé par 3 voix suaves pleines de douceur … que demander de plus ? (oui des chips et un jeu de pamplemousse, je sais). Et si vous ne deviez retenir qu’une chose, Jérôme (dans son immense sagesse) l’a très bien résumé « Qui décide de la vérité sur Internet ? C’est Korben, on le sait bien » 😉


Si votre boite à outil web a encore un peu de place, voici un logiciel à y ajouter : FreeFileSync. Comme son nom l’indique assez bien il vous permet de synchroniser et comparer des dossiers entre eux, gratuitement. Il est disponible pour Windows (7 et plus), Linux ou macOS (10.8 et plus).

FFS est assez léger à l’utilisation puisqu’il ne va pas copier chaque fois l’entièreté d’un dossier, mais plutôt comparer s’il y a eu des différences depuis son dernier passage et mettre à jour les fichiers si c’est le cas. Le soft vous propose également de créer de programmer des sauvegardes régulières.

Parmi ses autres options intéressantes : l’exclusion de certains types de fichiers, le support FTP/FTPS pour les sauvegardes sur un serveur, la synchronisation avec Google Drive, le batch de travaux, synchroniser les mobiles via le protocole MTP, accéder aux fichiers en ligne avec SFTP … et surtout aucune limite au nombre de fichiers à synchroniser. Et bien plus.

Une fois installé et ouvert vous allez simplement faire glisser (ou sélectionner via le bouton « Parcourir ») le dossier de départ dans la première zone principale (1) puis faire de même avec le dossier dans lequel placer la copie (2).

Interface FreeFileSync

Vous devrez ensuite « Comparer » les 2 dossiers (3). Sur la gauche vous aurez donc la liste des fichiers composant votre dossier de base et sur la droite la liste de tous les fichiers avec des différences (si vous effectuez la manip pour la 1re fois, la liste de droite sera vide puisqu’il n’y a rien à comparer).

Attention, par défaut, la synchro se fait dans les 2 sens ! Si un fichier du dossier de départ a diminué de poids, il pourrait être remplacé par celui du dossier de destination par mégarde. Pour éviter cet éventuel souci, il suffit de cliquer sur la roulette (4) et choisir la variante qui vous convient (miroir, mise à jour, 2 sens …). C’est sur cette page que vous pouvez en profiter pour lui dire quoi faire des fichiers remplacés, les envoyer à la corbeille ou conserver les différentes versions.

Reste ensuite à démarrer la synchro (5) et le tour est joué !

Je vous pose leur tuto vidéo pour le cas ou vous voulez créer une tâche automatisée

Téléchargez FreeFileSync sur cette page.

Et si vous effectuez un don sur leur site vous aurez droit à une version avec quelques bonus : copie de fichiers en parallèle, mise à jour automatique, recevoir des notifications par email …


Nous voici de retour sur Twitch comme chaque semaine pour un petit live des Webosaures, toujours en compagnie de l’ami Rémi. Cette fois-ci nous abordons le sujet de la présence en ligne et des manières dont bien la gérer (ou pas pour certains ^^).

J’ai eu un peu de temps depuis le dernier épisode pour retravailler l’intro musicale, dorénavant ceux qui attendent le lancement du live ont droit à un vrai morceau et pas à une boucle de quelques secondes. Le progrès ne s’arrête jamais.

Nous revenons d’abord sur nos expériences personnelles quant à notre présence en ligne. Rémi et moi nous sommes plutôt actifs, visibles et proposons des choses depuis de nombreuses années sur Internet, il y a donc des choses à dire !

Comment les gens faisaient-ils pour se « représenter » avant que les réseaux sociaux n’existent ? Pourquoi choisir telle ou telle manière de faire ? Comment optimiser son image de marque sur plusieurs plateformes ? Quel type de contenu faut-il proposer ou recycler et dans quelles situations ? Pourquoi Nabilla ?

Nous suivre sur nos réseaux : InstagramTwitterFacebookTwitch – YouTube ou au format podcast sur toutes les plateformes du moment.

À très vite pour la prochaine émission !


Retour de mon partage de veille de la semaine, la base de ce qui permet à Internet de continuer à exister ! Si.

Je squatte pas mal Twitch en ce moment, mais je n’oublie pas YouTube pour autant. Outre cet épisode des liens de la semaine, j’ai balancé 3 tutos ces derniers jours, n’hésitez pas à aller jeter un oeil.

Beaucoup de choses super sympas à vous partager cette semaine ! Déjà il y a la sortie du nouveau Raspberry Pi 4, rien que pour ça cette semaine a le mérite d’avoir existé.

Ensuite je vous parle de Rclone et de chiffrement, de failles de sécu sur les ports USB, mon livestream SpaceX sur -TwiX- Twichte, des exemples de robots type Lego à créer sur base de briques NXT, un jeu full texte qui vous permet de réécrire l’Histoire, comment sauvegarder un bout du web sur un disque dur et des miyyyyards d’autres choses.

Pour finir, je voulais mettre un petit focus sur le magazine papier Le Virus Informatique, qui est un peu dans la panade suite à la faillite de son distributeur Presstalis (le Covid a encore frappé). Le mag a donc lancé une petite campagne de soutien sur Ulule afin de pouvoir continuer son aventure de vilain petit canard de la presse informatique. N’hésitez pas à leur filer un petit coup de pouce nettoyé au savon ! Si vous ne connaissez pas encore le mag et son histoire je vous renvoie vers mon récent podcast avec Olivier, son fondateur, vous verrez pourquoi ils méritent votre soutient.

Si vous ne voulez pas rater mes prochains best of de liens, allez vous abonner sur mon Tube et cliquez la clochette pour être prévenu à chaque nouvelle vidéo. Parait qu’à chaque nouvel abonné c’est un Grimpoteuthis qui est sauvé au Népal. Si si.


Ça fait un petit moment que je tente quelques expériences DeepFakes et compagnie et grâce à la communauté Twitch, j’ai découvert ce projet « First Order Motion Model for Image Animation » qui permet de faire bosser un réseau neuronal sur une vidéo, afin d’animer une photo.

Voici ce que ça donne :

Évidemment, faire tourner ça sur sa machine c’est un peu galère, mais vous allez pouvoir quand même vous amuser avec en utilisant les GPU de Google et en passant via ce lien.

Alors comment ça fonctionne ?

Une fois le projet ouvert, cliquez sur le bouton « Copier sur Drive » pour récupérer le projet à l’intérieur de votre Google Drive.

Cliquez ensuite sur « Se connecter » dans le menu en haut à droite. Ensuite, faites via le menu, « EXECUTION » -> « TOUT EXÉCUTER ».

Vous allez bien sûr rencontrer quelques problèmes, mais rien de bien méchant. Il faudra donner la clé d’accès à votre Google Drive au projet pour qu’il puisse aller récupérer vos fichiers. Créez vous un compte Google spécialement pour l’occasion si vous avez la trouille.

Ensuite, importez les données d’exemple dans votre Google Drive. J’ai eu quelques soucis avec le chemin d’accès au dossier « first-order-motion-model », donc je l’ai simplement renommé « first » et j’ai adapté le code du projet pour qu’il aille chercher tout ça au bon endroit.

Deepfake d'une photo d'un chien en train de jouer avec un ballon

Vous pouvez bien sûr d’abord tester avec les fichiers d’exemple qui consiste à faire parler une photo de Poutine à partir d’une vidéo de Trump. Mais ensuite dès que ça fonctionne, il ne reste plus qu’à faire appel à votre imagination et faire parler un peu qui vous voulez.

Notez que la vidéo doit être au format MP4 d’une taille de 256×256. Et la photo doit également être de dimensions carrées. Arrangez-vous également pour choisir une vidéo où la bouche de l’intervenant articule bien. Sinon, ce ne sera pas ouf.

Et voilà, après quelques minutes d’acharnement, voici le petit résultat que j’ai obtenu pour rigoler. J’ai dû quand même ajouter l’audio après coup.

Ne me jugez pas.

À découvrir ici !

Merci à Lorenper pour l’info !

Et pour ceux qui veulent aller plus loin encore…. CLIQUEZ ICI !