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Korben, roi d’internet, logo bébé avec des lunettes en mode thug life

On fait quand même de belles choses avec l’IA. J’en veux pour preuve ce projet open source encore au stade expérimental qui utilise un système d’IA multi agents vous permettant de poster des questions à une base PostgreSQL en langage naturel.

Propulsé par OpenAI, AutoGen, Postgres, Guidance, Aider, Poetry et Python, c’est l’un des premiers de son genre capable d’utiliser des LLMs (Large Language Modèles) pour faire de la prise de décision avec des consignes réduites ou peu explicites.

Pour vous former à cet outil nommé pompeusement « Multi-Agent Postgres Data Analytics« , son créateur a réalisé une série de vidéos que voici (c’est une playlist)…

Vous pourrez ensuite vous positionner sur une branche du projet qui correspond à une vidéo.

Pour ce faire, clonez le dépôt :

git clone https://github.com/disler/multi-agent-postgres-data-analytics.git

Puis lancez

git branch -a 

pour voir toutes les branches correspondant chacune à une vidéo de la playlist.

Faites alors un :

git checkout <nom de la branche>

pour vous positionner sur la branche de votre choix.

Puis lancez la commande :

poetry install
cp .env.sample .env 

Editez le fichier .env en y mettant l’URL de Postgres et votre clé OpenAI

Vous pourrez alors lancer un prompt sur votre base de données comme ceci :

poetry run start --prompt "<posez la question de votre choix à l'agent IA>"

Commencez par des questions simples pour prendre la température, puis montez progressivement en complexité.

Il s’agit là de construire des systèmes qui prennent des décisions comme nous le ferions, mais évidemment, tout n’est pas rose au royaume des systèmes multi-agents IA. C’est un art de bien définir les rôles et la fonction de vos agents et ça peut vite coûter cher, surtout en phase de test… donc allez y molo mais vous ne serez pas déçu.


— Article rédigé par l’ami Remouk (DansTonChat) – Merci à lui —
— Contient des liens affiliés Amazon —

C’est au milieu des années 90 que commencent à fleurir un grand nombre de spinoff, élargissant le champ d’action de notre plombier préféré : j’ai nommé Super Mario ! Celui qui saute super haut ! Et qui de mieux pour faire un RPG que les spécialistes du genre, Square ? Personne. C’est donc une réussite, et n’ayant pas eu de Super Nintendo à l’époque, je suis Super Content de pouvoir enfin y jouer grâce à ce nouveau remake sur Switch !

Comme d’hab, la première chose qu’on remarque, c’est l’aspect graphique. Ici c’est vraiment chouette, car si l’affichage est très fin, les animations très fluides, avec de jolis effets de lumière au goût du jour, ils ont tout de même su retranscrire l’ambiance si particulière de l’original ! Le design des personnages est à la fois mignon et cursed, j’aime beaucoup. 🫠

Les musiques ont été réorchestrées (on a d’ailleurs l’option d’écouter les versions snes, sympa !), c’est un réel plaisir pour les oreilles. Comme souvent chez Nintendo et leurs licences phares : tout est SUPER bien fait, intuitif, joli, un souci du détail maladif qui rend chaque moment satisfaisant. C’est très propre, charmant, je valide !

Bon d’accord mais c’est quoi ce jeu, qu’est-ce qu’on y fait ? Eh bien, vous n’allez pas me croire : c’est un RPG ! Role Playing Game. Un jeu de rôle à la japonaise ! Donc on se balade, on rencontre des gens avec qui discuter, on combat des ennemis, on gagne des points d’expérience, des niveaux, de nouvelles attaques, on achète / trouve des objets pour s’améliorer, on recrute des personnages dans notre équipe, on ouvre des coffres… Du grand classique !

Du grand classique oui, mais très bien fait ! L’histoire est linéaire, mais super chouette, c’est rigolo comme tout, on ne sait jamais où ça va aller. Les personnages ? Pareil, ils sont vraiment marrants et inattendus. 🙂 Le système de combat est assez classique, tout en proposant quelques originalités : le fait de bien timer nos attaques (comme dans un jeu de rythme) les rendra plus puissantes ! Y a plein de petits détails comme ça.

Pas de combats aléatoires (youpi !) : les ennemis apparaissent sur la map, à nous de les attaquer ou les éviter ! D’ailleurs il y a pas mal de secrets cachés un peu partout, va falloir fouiller. Sans parler des énigmes qui demandent parfois un bon sens de l’observation. 🕵️ C’est un jeu assez gratifiant, toujours plaisant, toujours fun, je ne sais pas pourquoi mais y jouer me met à chaque fois de bonne humeur.

Je préfère rester succin pour ne pas trop en dévoiler car la surprise et la découverte font partie, je pense, de l’expérience. 🙂 On peut regretter la relative facilité du jeu, rien de grave en soit, ça ne se joue pas pour autant les doigts dans le nez, mais disons que si vous voulez du vrai challenge, il faudra attendre le post-game. 😉

Concernant la durée de vie, comptez une 15aine d’heures pour voir la fin de l’histoire, et une bonne 20aine pour faire le 100%. Bref, à moins de ne pas apprécier ce type de gameplay ou bien le côté dirigiste de ce RPG, ou bien carrément Mario et son univers, c’est un jeu que je recommanderais à tout un chacun !
Je lui donne un bon 🍄🍄🍄🍄/5

Acheter Super Mario RPG sur Nintendo Switch


Il se trame quelque chose au Royaume de Donaldville ! Picsou, Donald et toute leur bande ont besoin de vous !

En effet, je ne sais pas si vous vous rappelez du projet « Retour à la Case Mémoire » dont vous trouverez l’article ici, mais il est temps de donner un coup de pouce supplémentaire à cette équipe talentueuse, car ils sont de retour sur KissKissBankBank pour une petite rallonge budgétaire et une occasion de plus pour vous de vous joindre au projet !

Pour ceux qui ont raté l’épisode précédent, il s’agit d’un court-métrage rendant hommage à notre canard milliardaire préféré, avec des acteurs en chair et en os. Le projet a fait du chemin depuis, et j’ai même eu l’honneur de participer en tant que figurant.

Depuis notre dernière discussion, l’équipe a avancé à grands pas, mais comme toute belle aventure, il y a des imprévus, et c’est là que votre soutien entre en jeu. La qualité et l’ambition du projet méritent vraiment qu’on leur donne un coup de pouce.

Je vous mets au défi de trouver un projet aussi original et passionné dans le monde du cinéma indépendant actuellement. Les effets spéciaux, les décors, costumes et les incrustations BD sont vraiment chouettes ainsi que l’histoire, cela va sans dire.

Pensez à la joie que vous ressentiriez en voyant sur grand écran Edgard Merrill (Oncle Picsou), Damien (le Donald de cette version), Miss Frappe et bien sûr un vilain Rapetou, dans un scénario plein d’action, d’humour et de clins d’œil à l’univers de notre canard favori.

Donc si vous avez envie de contribuer à la réalisation de ce rêve et de partager un peu de magie, rendez-vous sur leur page KissKissBankBank. Il y a de belles contreparties également !!

Il ne reste que 2 jours et chaque contribution compte, et en plus, vous pourrez dire que vous avez aidé à créer un petit bout de l’histoire du cinéma !

Pour rester connecté et suivre l’avancement du projet, je vous invite à consulter leur chaîne YouTube, et bien sûr, la campagne KissKissBankBank.

J’espère que vous ressentirez la même passion et excitation que moi en découvrant le film final. J’ai hâte !

Toutes les infos sur le film sont là !


Vous êtes développeur, mais vous n’êtes pas designer et encore moins spécialiste en UX / UI… Alors que faire ?

Et bien le mieux c’est encore de pomper ce qu’on fait les autres. Enfin, s’inspirer… Vous m’avez compris. Et pour cela, il existe un outil merveilleux qui s’appelle Screenshot To Code et qui comme son nom l’indique, est capable de convertir une simple capture écran d’interface web en HTML / CSS Tailwind.

Mais comment est-ce possible ? Et bien Screenshot To Code utilise simplement GPT-4 Vision pour analyser le code et Dall-E pour générer des images similaires.

Vous pouvez l’installer sur votre ordinateur en suivant les instructions du Github, voire le faire tourner sur un Docker. Mais si c’est juste pour tester, le plus simple c’est encore d’aller sur cette démo en ligne.

Pour l’avoir testé, la génération du code est impressionnante, mais niveau rendu, on est très loin de la copie parfaite. Cependant, comme on peut ajuster en discutant avec l’IA, il est possible de s’approcher du rendu voulu.

Ensuite y’a plus qu’à exporter le code et voilà ! Vous avez une maquette HTML / CSS d’un site à moindres frais (ça vous coûte l’utilisation de l’API d’OpenAI)

À découvrir ici.


Vous vous sentez l’âme d’un écrivain et vous avez envie de rédiger vos mémoires par exemple… Ou une petite nouvelle sympa que vous auto-éditerez. Ou alors vous êtes grouillots dans une grosse boite et on vous demande de faire des rapports que personne ne lira. C’est un classique.

Sauf que voilà, écrire, c’est pas votre passion. Heureusement, il existe un site qui s’appelle Strut.so qui est à mi-chemin entre le Word et l’organisateur d’idées pour que votre production soit toujours au top !

L’outil utilise chatGPT 4 derrières. Sauf que c’est gratuit et ça rend l’outil suffisamment intelligent pour vous aider à organiser le bordel dans votre tête dans des espaces de travail, allant du brouillon à la note en passant par le document de recherche et pour finir enfin en version finalisée. Vous pouvez même automatiquement combiner plusieurs notes pour en faire un vrai document.

L’IA de Strut vous accompagne dans la réflexion, la mise au point d’un plan, dans la rédaction évidemment, mais également pour tout ce qui est reformulation, correction…etc. C’est comme bosser à plusieurs mains sur un document avec un collègue sauf que là, il n’est pas relou.

Si vous donnez l’URL de votre site à Strut, il saura en dégager un style d’écriture qu’il pourra alors reprendre à son compte pour vos écrits. Vous pouvez même quand vous lui demandez des trucs, faire référence à d’autres pages du projet, simplement en mentionnant le titre de la page avec un arobase devant.

Pour faire une comparaison un peu houleuse, les développeurs ont Cursor et les rédacteurs ont Strut.

L’outil est en ligne et ses créateurs assurent que les données que vous y mettez ne sont pas utilisées pour entrainer d’IA.

Pour rédiger votre premier document, cliquez ici.