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Korben, roi d’internet, logo bébé avec des lunettes en mode thug life

Vous êtes développeur et vous cherchez un moyen d’augmenter votre puissance de chill et de concentration lors de vos longues sessions de code ?

Music for Programming est là pour vous puisque ce site génial propose une collection de playlists spécialement conçues pour vous aider à rester concentré et motivé pendant que vous travaillez sur vos projets de développement.

Hé oui parce que c’est difficile de rester focalisé pendant des heures sur son IDE, surtout quand on est confronté à des bugs récalcitrants ou à du code particulièrement complexe. Et c’est là que Music for Programming intervient en vous offrant une grande variété de playlists sélectionnées avec amour pour aider votre concentration et votre créativité.

Chaque playlist a été créée par un artiste différent, ce qui vous permet de découvrir de nouveaux talents et vous trouverez des ambiances musicales variées, allant de l’électro ambient minimaliste aux paysages sonores atmosphériques, en passant par des rythmes downtempo envoûtants (je sais pas ce que ça veut dire mais j’aime bien).

L’un des grands avantages de ces playlists, c’est qu’elles sont entièrement instrumentales comme ça, y’a de chanson vous distrait avec un refrain entêtant genre Patrick Sébastien ! Ici, la musique est subtilement présente pour vous accompagner et vous garder dans un état de « flow » optimal, sans jamais vous détourner de votre tâche. Ça va Arbeit à fond pour le grand Capital, et ça c’est beau !

Le site est très simple d’utilisation : il vous suffit de choisir une playlist qui vous inspire, de lancer la lecture, et de vous laisser porter. Vous pouvez même télécharger les sets pour les écouter hors-ligne, où que vous soyez.

Bref, Music for Programming est un allié précieux pour tout le développeur que vous êtes (ou blogueur interplanétaire comme moi), et ce serait dommage de vous en priver. Puis ça coûte moins cher qu’un abonnement Spotify vu que c’est moins cher que gratuit.


Si vous faites du support client dans le cadre de votre boulot, vous avez peut-être besoin d’une solution de helpdesk, alors pourquoi ne pas opter pour FreeScout ?

C’est un super outil open source et gratuit qui va vous permettre de traiter les demandes de vos clients, de tout centraliser, d’accéder facilement à l’historique complet des conversations, collaborer en temps réel et ainsi proposer un support de qualité. Vous pouvez comme ça, assigner des tickets à des agents spécifiques, définir des priorités, ajouter des tags et même automatiser certaines tâches récurrentes.

Vous pourrez même personnaliser chaque aspect de votre portail de support, des formulaires de contact aux modèles de réponse et ça peut s’installer sur votre propre serveur en quelques clics.

Mais avant, je vous conseille d’explorer la version démo. Vous vous créez un compte, vous vous connectez avec et vous pourrez jouer avec la gestion d’un ticket, les kabans, la partie de gestion des clients, la base de connaissance, la sections des modules externes, ou encore la génération des rapports.

Sachez également que des applications mobiles sont dispo pour Android et iOS afin de suivre l’activité de l’outil depuis n’importe où.

Bref, si ça vous branche, vous pouvez télécharger FreeScout ici.


Si vous pensiez tout connaître de la Game Boy, la console portable de Nintendo sortie en 1989, et bien, détrompez-vous ! Un développeur passionné vient de réaliser un exploit aussi impressionnant qu’inattendu : Reconstruire le gameplay de la Game Boy simplement en « observant » les données circulant sur son bus mémoire. Une prouesse technique qui date de l’année dernière (oui, je suis à la bourre ^^) qui ouvre de nouvelles perspectives fascinantes pour la préservation de cette console culte.

Mais comment diable est-ce possible ?

La réponse tient en deux mots : rétro-ingénierie et beaucoup de persévérance. Notre génie de la bidouille a conçu un petit adaptateur qui se branche entre la console et la cartouche de jeu qui est capable d’espionner en temps réel toutes les informations échangées sur le bus mémoire de la Game Boy.

En analysant méticuleusement ce flux de données a priori incompréhensible, notre bricoleur de génie est parvenu à reconstituer l’état de la mémoire de la console à chaque instant. Ensuite, il lui a « suffi » d’émuler le processeur graphique de la Game Boy pour recréer l’image affichée à l’écran. Résultat bluffant : on peut rejouer au jeu comme si de rien n’était !

Bon, en pratique, c’est évidemment un poil plus compliqué que ça. Il a fallu gérer de nombreux cas particuliers liés au fonctionnement interne de la Game Boy : Décoder les instructions du processeur, synchroniser le tout, gérer les fameux bugs de la console… Un vrai travail d’orfèvre.

L’adaptateur baptisé « GB Interceptor » se branche en USB et se comporte comme une webcam, permettant d’enregistrer ou diffuser le jeu sans aucun pilote spécifique. La capture se fait en 640×576 à 60 images/seconde, le tout dans un boîtier à peine plus grand qu’une cartouche. Bref, c’est beau et ça marche !

On peut donc désormais capturer des parties de jeu sur du matériel d’origine en toute simplicité. De quoi ravir les amateurs de speedrun et autres défis rétro.

Bien sûr, la méthode a ses limites : Pas d’audio, quelques glitches graphiques ici et là, et une incompatibilité avec certains jeux un peu exotiques mais nul doute que la technique sera affinée et étendue à d’autres plateformes rétro.

Et pour conclure, je vous laisse avec cette vidéo magnifique qui n’a rien à voir avec cette technique d’interception mis à part qu’elle traite du hardware de la Gameboy. Je l’ai trouvé très cool !


Vous utilisez Tar pour archiver vos fichiers et dossiers et vous trouvez ça un peu lent ? Alors ça tombe bien puisqu’aujourd’hui, je vous présente Arx. C’est un outil d’archivage nouvelle génération développé par le talentueux Jubako, qui va vous bluffer par ses performances et ses fonctionnalités.

Arx met la vitesse au cœur de son fonctionnement grâce à son algorithme hyper optimisé, ce qui lui permet de traiter vos fichiers à une vitesse fulgurante, laissant tar sur place. Par exemple, pour accéder à un fichier individuel dans une archive contenant l’intégralité du code source de Linux, Arx est jusqu’à 5 692 fois plus rapide que tar ! Plus l’archive est volumineuse, plus l’écart se creuse.

Mais la rapidité n’est pas le seul atout d’Arx puisqu’il offre également un accès aléatoire direct aux fichiers archivés. Cela permet de récupérer n’importe quel fichier de votre archive en un clin d’œil, sans avoir à la décompresser entièrement. C’est moins de temps perdu à naviguer dans des archives monolithiques. Et comme le temps c’est de l’argent, vous serez rapidement riche ^^.

Les commandes sont simples à capter, vous permettant de créer, mettre à jour et extraire vos archives sans avoir besoin de vous prendre la tête avec des options obscures. D’ailleurs, Arx regorge de petites astuces qui vont vous faire gagner un temps précieux comme pouvoir ajouter des fichiers à une archive existante sans avoir à la recréer entièrement ou encore, extraire seulement les fichiers modifiés depuis le dernier archivage.

L’outil est également également économe en ressources puisqu’il permet d’obtenir des archives compactes sans compromis sur la qualité. C’est votre disque dur qui vous remerciera et vous pourrez en stocker encore plus !!

Si ça vous branche de le tester, c’est dispo sur Github ici ou vous pouvez l’installer avec Cargo (oui c’est du Rust) :

cargo install arx

Ensuite, pour commencer à créer une archive, lancez la commande suivante :

arx create -o mon_archive.arx -r mon_repertoire

Cela génèrera un fichier mon_archive.arx contenant le répertoire mon_repertoire.

Pour extraire (décompresser) une archive, utilisez la commande :

arx extract mon_archive.arx -C mon_repertoire_de_sortie

Et si vous souhaitez lister le contenu (la liste des fichiers) de l’archive, lancez :

arx list mon_archive.arx

Pour accéder au contenu d’un seul fichier, vous pouvez également utiliser les commandes suivantes :

arx dump mon_archive.arx mon_repertoire/chemin/vers/mon_fichier > mon_fichier
# ou
arx dump mon_archive.arx mon_repertoire/chemin/vers/mon_fichier -o mon_fichier

Si vous êtes sous Linux, vous avez aussi la possibilité de monter l’archive en utilisant fuse :

mkdir point_de_montage
arx mount mon_archive.arx point_de_montage

Notez que arx sera en cours d’exécution jusqu’à ce que vous démontiez point_de_montage.

Et pour convertir un zip en une archive arx, utilisez la commande :

zip2arx -o mon_archive.arx mon_archive_zip.zip

De même, pour convertir une archive tar en une archive arx, lancez :

tar2arx -o mon_archive.arx mon_archive_tar.tar.gz

Voilà, vous savez tout !


Je vais pas y aller par 4 chemins : Radicle, c’est comme Github mais en version totalement décentralisée et open source. C’est basé sur Git, le système de contrôle de version distribué par excellence, et l’outil y ajoute une couche peer-to-peer (P2P) qui permet aux utilisateurs de collaborer directement les uns avec les autres, sans passer par un intermédiaire.

Comme ça, terminé la dépendance à une plateforme unique qui peut censurer ou contrôler vos dépôts de code.

Niveau fonctionnalités, il propose des outils de collaboration avancées, comme un système d’issues et de pull requests lui aussi entièrement décentralisé, ce qui vous permettra d’ouvrir des tickets, proposer des modifications et discuter avec vos collaborateurs, sans jamais quitter Radicle. Puis c’est sécurisé avec du chiffrement intégré directement dans le protocole Radicle.

C’est un outil qui offre une résilience et une disponibilité accrues par rapport aux plateformes centralisées car même si certains nœuds du réseau tombent en panne, vos dépôts resteront accessibles et vos collaborations pourront se poursuivre sans interruption.

Pour l’installer chez vous :

curl -sSf https://radicle.xyz/install | sh

Pour résumer, ses points forts sont donc la :

  • Décentralisation : C’est entièrement décentralisé, ce qui signifie que vous n’êtes plus dépendant d’une plateforme centralisée unique. Vous collaborez directement avec vos pairs, sans intermédiaire.
  • Souveraineté : Vous avez le contrôle total sur vos données et vos interactions. Vous décidez avec qui vous partagez votre code et comment vous collaborez, sans subir de règles imposées.
  • Résilience : Grâce à son architecture peer-to-peer, il offre une grande résilience. Même si certains nœuds tombent en panne, vos dépôts restent accessibles et vos collaborations peuvent continuer.
  • Ouverture : C’est open source, ce qui signifie que son code est auditable et transparent. Vous pouvez avoir confiance dans la plateforme que vous utilisez.

Bien que Radicle soit encore un projet relativement jeune, il a déjà attiré l’attention de nombreux développeurs qui cherchent une alternative plus libre et plus résiliente aux plateformes centralisées, surtout depuis que Github a été racheté par Microsoft. Des outils d’intégration pour les principaux IDEs et éditeurs de code sont également en cours de développement, ce qui rendra l’adoption de Radicle encore plus facile et transparente.

Bref, si vous êtes un développeur soucieux de votre indépendance et de la pérennité de vos projets, Radicle est certainement une plateforme à considérer.

Rendez-vous sur https://radicle.xyz pour en savoir plus.