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Korben, roi d’internet, logo bébé avec des lunettes en mode thug life

Vous pensiez que les ordinateurs Macintosh vintage étaient condamnés à prendre la poussière au fond d’un placard ?

Ah ! Grave erreur !

Le génial Kevin Noki leur offre une seconde jeunesse grâce à l’impression 3D et un bon paquet d’huile de coude. En effet, après des mois de labeur acharné, ce passionné (comme vous !!) a réussi l’exploit de donner vie à son « Brewintosh« , une réplique complètement fonctionnelle et aux dimensions exactes du mythique Macintosh 128K. Sous son apparence d’ordinateur tout droit sorti des eighties, cette merveille de rétro-informatique cache des entrailles résolument modernes.

La vidéo est sympa car sans blabla… Y’a un petit côté contemplation méditative que j’aime bien.

Fini le processeur Motorola 68000, bonjour le thin client sous Linux !

L’astuce ? Avoir recréé la coque du Mac en impression 3D pour pouvoir y loger tout un tas de composants dernier cri, comme un écran LCD de caisse enregistreuse ou un lecteur de disquettes USB customisé.

Grâce à un savant bricolage de cartes Teensy et Arduino, Kevin a même réussi l’exploit de faire tourner Mini vMac, un émulateur Mac, sur son Brewintosh. On peut ainsi y insérer des disquettes virtuelles pour booter le système ou y brancher une carte SD pour partager des fichiers. Classe !

De quoi vous donner envie de ressusciter votre vieux Mac Plus qui dormait au grenier !

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— Article en partenariat avec Surfshark —

Salut les amis, ça chauffe du côté de la sécurité en ligne et aujourd’hui, on se plonge dans l’univers de la protection ultime avec le VPN Surfshark, particulièrement dans sa formule complète, j’ai nommé Surfshark One. Parce que Surfshark ne se tourne pas les pouces depuis 2018. C’est devenu bien plus qu’un simple bouclier VPN, c’est une armure numérique complète.

Surfshark One

En plus de s’imposer comme l’un des meilleurs VPN en termes de rapport qualité/prix, Surfshark a étoffé son arsenal. Au-dessus du simple abonnement VPN, on trouve désormais la couche de sécurité intégrale, Surfshark One. Elle comprend un antivirus (basé sur le moteur Avira), un moteur de recherche, un système d’alerte, un bloqueur de pubs, et même un outil pour créer des identités alternatives. Le tout en restant léger comme une Chantilly et gérable depuis un tableau de bord unique dont l’interface est claire et simple à prendre en main. Et bien sûr, avec des analyses manuelles ou programmables au menu.

Cette boîte à outils a pour mission de vous fournir tout ce dont vous avez besoin pour être à l’abri du plus grand nombre de menaces en ligne, tout en préservant votre vie privée. Bref, Surfshark fait le boulot à votre place. Parce que franchement, il y a mieux à faire que de traquer les risques qui pullulent sur le web au quotidien. Par exemple profiter de ce début de printemps pour admirer sa nouvelle mare.

C’est donc Surfshark qui prend le relais avec une surveillance en temps réel. Leur antivirus est en mode chien de garde numérique, mettant à jour ses listes de sites malveillants toutes les trois heures, prêt à dézinguer tout virus ou logiciel corrompu qui ose s’approcher. Il va :

  • scanner tout ce que vous téléchargez
  • garder un œil sur votre webcam pour s’assurer qu’elle n’est pas utilisée à votre insu
  • détecter le phishing et autres menaces obscures (fichiers louches dans vos mails, scareware, etc.).

Ils ont même une fonctionnalité appelée Cloud Protect, qui fouille les documents dans une zone tampon avant de les balancer sur votre machine (protection contre les menaces types zero-day).

Le moteur de recherche et le système d’alerte sont simples, mais plutôt efficaces. Le moteur vous permet de faire des recherches sans dévoiler vos infos aux moteurs classiques et sans résultats biaisés par votre historique. Le système d’alerte, lui, scrute les bas-fonds d’Internet pour voir si vos données ne trainent pas où elles ne devraient pas. Et il vous alerte illico dès qu’il sent que quelque chose cloche.

Parlons du pillage de données, cette nouvelle ruée vers l’or noir du numérique. Dans mon article précédent, je vous ai parlé de la brèche majeure datée de janvier 2024 (répondant au doux nom de « Mother of all Breaches »), qui concernait plus de 26 MILLIARDS de comptes sur toutes les plateformes les plus utilisées. Depuis ce n’est pas plus calme, avec notamment une énorme faille qui a touché plus de 33 millions de Français le mois dernier (50% de la population). Cette fois ce sont Viamedis et Almerys (opérateurs de tiers payant) qui ont subi une cyberattaque relâchant dans la nature : vos noms/prénoms, numéro de SÉCU, date de naissance, assureur et type de contrat souscrit … tout y est passé. Un mail d’alerte de Surfshark qui vous secoue dès que ça chauffe, c’est quand même bien pratique pour prendre les devants.

Autre gros avantage de Surfshark One : c’est simple à configurer et ça protège jusqu’à 5 machines chez vous. Du vieux PC familial au dernier MacBook Pro, en passant par les smartphones de la famille. Peu importe le navigateur ou le système d’exploitation, Surfshark s’adapte sans sourciller. Pas besoin de faire des choix cornéliens sur quelle machine sécuriser, protégez-les toutes en même temps. Une sacrée tranquillité d’esprit, surtout si vous avez des ados ou des parents distraits qui naviguent sur le web sans trop se poser de questions niveau sécurité.

Je ne présente pas l’outil VPN dans cet article, car je l’ai déjà fait dans d’autres billets (ici par exemple), mais il est bien évidemment inclus dans le pack Surfshark One. En plus de toutes les protections citées (antivirus, alertes, moteur, identité alternative …) vous avez donc le VPN qui vous permettra de regarder du contenu bloqué/géolocalisé, de sécuriser votre trafic en ligne et vos connexions, etc.

Et pour tester Surfshark One, c’est sans risque grâce à leur garantie satisfait ou remboursé de 30 jours. En ce moment, profitez d’une belle offre à -77% + 2 mois offerts sur l’abonnement annuel, soit environ 49$ pour 14 mois de protection (l’équivalent de 3.49$/mois). Si vous l’utilisez sur 5 machines, cela fait donc moins de 70 centimes par appareil et par mois.

Alors les amis, plus d’excuses pour ne pas essayer Surfshark One !


La fin est proche mes amis !

Enfin, avec le concours de bistouquettes actuel entre Macron et Poutine, on se demande si on va pas partir tous collectivement vers le grand Au-Delà dans une grande gerbe de feu… Mais, si on met ça de côté, en tout cas la nôtre de fin, à titre individuel, arrivera forcement un jour 😬.

Mais quand ?

Life2vec, c’est un nouveau projet d’IA dingue qui nous vient tout droit du Danemark et qui va nous aider à répondre à cette question !

Il s’agit d’une intelligence artificielle capable de prédire des événements majeurs de votre vie, comme un décès prématuré, la naissance d’enfants, ou un mariage, rien qu’en analysant vos données personnelles. Ça a l’air d’un scénario de science-fiction, mais c’est malheureusement bien réel !

Alors comment ça fonctionne encore cette connerie ? Et bien les chercheurs ont entraîné leur modèle d’IA sur un jeu de données assez conséquant contenant les informations anonymisées de millions de Danois sur plusieurs décennies. En utilisant des techniques avancées d’apprentissage profond, Life2vec a appris à repérer des patterns dans les trajectoires de vie des gens.

Le modèle se base sur une architecture Transformer bidirectionnelle, un peu comme BERT en traitement du langage naturel. Mais au lieu de séquences de mots, il traite des séquences d’événements de vie. Chaque événement est ainsi représenté par un embedding, un vecteur numérique qui capture son sens. En analysant les relations entre ces embeddings, Life2vec peut alors faire des prédictions étonnamment précises !

Les chercheurs ont évalué leur modèle sur plusieurs tâches, comme la prédiction de mortalité précoce ou une expatriation. Les résultats sont bluffants : Life2vec surpasse de loin les modèles traditionnels, avec une fiabilité allant jusqu’à 76% ! Ils ont aussi montré que le modèle capturait des concepts haut niveau comme la stabilité professionnelle ou les troubles mentaux.

Mais au-delà de la prouesse technique, ce projet soulève des questions éthiques plutôt épineuses. Imaginez que des assurances ou des banques mettent la main sur ce genre d’outil pour évaluer leurs clients… Ça ouvre la porte à des dérives dangereuses ! Les chercheurs en sont bien conscients et appellent d’ailleurs à un encadrement strict de cette technologie.

Malgré ces risques, Life2vec ouvre des perspectives passionnantes comme nous permettre de mieux comprendre les différents facteurs qui influent sur nos trajectoires de vie et nous aider à identifier des leviers d’action pour les politiques publiques. On pourrait même imaginer des applications en médecine personnalisée ou en orientation professionnelle !

Bref, c’est un projet qui ne manque pas d’ambition et qui nous rappelle à quel point l’IA va bouleverser notre société dans les années à venir. Mais comme toujours avec ces technologies, il va falloir trouver le bon équilibre entre progrès et éthique. Et on va surtout pas demander à Najat ce qu’elle en pense.

En attendant, si vous voulez en savoir plus sur Life2vec, je vous invite à checker le code source sur GitHub des chercheurs ainsi que leur site officiel.

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Les failles de sécurité dans le code sont le cauchemar des développeurs et des équipes de sécurité et font surtout le régal des hackers. Alors pour y remédier, GitHub a décidé de sortir l’artillerie lourde avec Code Scanning Autofix ! Attention les yeux, cet outil mêle IA et analyse statique et nous fait la promesse de corriger les vulnérabilités en un clin d’œil pendant que vous codez.

Concrètement, Code Scanning Autofix (actuellement en bêta publique) est activé par défaut sur tous les dépôts privés des clients GitHub Advanced Security. Et devinez quoi ? Il gère déjà plus de 90% des types d’alertes pour JavaScript, TypeScript, Java et Python. De quoi mettre une sacrée claque à la dette de sécurité applicative !

En coulisse, cette magie opère grâce à deux technologies de pointe made in GitHub : Copilot pour l’IA et CodeQL pour l’analyse statique. Une fois Code Scanning Autofix activé, il vous propose des correctifs quasi tout cuits qui sont censés régler les deux tiers des vulnérabilités détectées, le tout sans trop d’efforts de votre part.

Voici un exemple de correctif proposé :

Pour chaque faille repérée dans un des langages pris en charge, vous obtenez une explication en langage naturel du correctif suggéré, avec un aperçu du bout de code à valider, modifier ou rejeter. Cela peut inclure des changements dans le fichier en cours, d’autres fichiers, voire des dépendances du projet. Bien entendu, vous gardez le contrôle et pouvez vérifier si le correctif résout bien le problème sans casser la fonctionnalité.

L’intérêt est donc de décharger les experts en sécurité de la fastidieuse traque aux vulnérabilités introduites pendant le développement. Ils pourront alors se concentrer sur la sécurité globale de leur projet.

GitHub promet d’étendre prochainement Code Scanning Autofix à d’autres langages, en commençant par C# et Go. Et pour en savoir plus, foncez sur la doc de GitHub !

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Vous vous souvenez de la mythique Nintendo Entertainment System (NES) ? Cette bonne vieille console 8 bits qui a bercé l’enfance de toute une génération de gamers (la mienne en l’occurence) ? Et bien accrochez-vous, car un bidouilleur de génie vient de remettre au goût du jour un trésor caché dans ses entrailles !

Figurez-vous que la NES possède un mystérieux port d’extension 15 broches, resté inexploité durant des décennies car Nintendo n’a jamais sorti le moindre accessoire pour en tirer parti. C’est kro kro kriste. C’est donc un port fantôme condamné à l’oubli éternel. Enfin ça, c’était avant l’arrivée du NES Hub !

Ce petit device conçu par RetroTime, un hackeur de génie, se branche directement sur le port d’extension de la NES et là, c’est le feu d’artifice ! D’un seul coup, la vénérable console se transforme en bête de course gavée aux stéroïdes. Au menu des réjouissances :

  • Support pour 4 manettes sans fil (adieu les câbles qui s’emmêlent !)
  • Compatibilité avec les manettes SNES (pour un confort de jeu inégalé)
  • Prise en charge expérimentale des périphériques de la Famicom (la grande sœur japonaise de la NES)
  • Et le meilleur pour la fin : de l’audio étendu pour profiter de sons inédits dans certains jeux !

Cerise sur le gâteau, le NES Hub est ouvert aux add-ons tiers. Les possibilités sont quasi infinies ! On parle même d’un adaptateur pour lire les disquettes du Famicom Disk System. De quoi faire saliver les collectionneurs les plus acharnés.

Bon, pour l’instant, le NES Hub n’est encore qu’un prototype. Mais RetroTime compte bien le peaufiner et le commercialiser d’ici peu, notamment sur le site 8bitmods.

35 ans après, voir encore des trucs sortir sur la NES, ça me fait toujours autant triper !

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