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Korben, roi d’internet, logo bébé avec des lunettes en mode thug life

— Article en partenariat avec Wondershare —

Vous vous souvenez de mon article de présentation du logiciel de montage vidéo Filmora 12 il y a 5 mois ? Et bien comme c’est le cas pour de nombreux outils utilisant l’intelligence artificielle, les choses avancent vite. Parfois très très vite. Du coup, Filmora 13 est déjà là, avec son lot d’améliorations et de nouveautés (et il y en a un paquet).

Filmora continue de faire ce pour quoi il existe : vous permettre de faire du montage vidéo très facilement via une interface simplifiée (dispo en français). Et pas uniquement pour de la vidéo simple, mais surtout ce qui touche aux différents formats sur les réseaux sociaux. Un short YouTube, un Tik Tok, une stories Instagram, un reel … il gère et adapte tout.

Tester gratuitement Filmora

Cette ouverture vers le social est vraiment son gros point fort, car cela permet d’optimiser non seulement votre temps, mais aussi votre process général. Il propose par exemple différents filtres et effets, différents outils et formats, est dispo sur plusieurs OS comme Windows, Linux, macOS et Android. Vous pouvez travailler seul ou en équipe et cela depuis un desktop, une tablette ou un smartphone au choix (ou depuis les 3, car vous aurez la synchronisation). Dans mon cas je l’utilise notamment pour couper les blancs et accélérer le rythme de mes créations.

Filmora et l’IA

L’IA apporte un vrai intérêt puisqu’elle permet d’automatiser pas mal de tâches assez répétitives ou assez pénibles à faire à la main. Un vrai bonheur que d’obtenir différents formats de sorties aux résolutions des différentes plateformes que vous utilisez ou d’intégrer des animations, effets visuels & Co via de simples drag-and-drop. Surtout qu’il y a déjà base de modèles prêts à l’emploi si vous êtes en manque d’idées.

Et cette nouvelle version 13 se concentre avant tout sur une série de nouveaux produits et surtout sur les aspects IA voix et musique. Elle va proposer du découpage intelligent (qui vous permet de retirer tout élément dérangeant dans votre création en 2 clics), d’ajouter de la musique en rapport avec le mood de l’image (déjà 20 000 sons/pistes audio), créer des miniatures, utiliser vos meilleurs prompts et un tas d’autres. Vous disposez donc maintenant d’une sorte d’assistant virtuel qui va rendre tout le processus de création beaucoup plus digérable et interactif.

Interface audio Filmora 13

Une fois Filmora démarré, vous pouvez lancer une conversation avec l’IA Copilot intégrée afin que l’outil vous accompagne dans votre montage. C’est très pratique. Il suffit pour cela de faire un clic droit sur votre clip puis de sélectionner « Filmora Copilot »

Une fenêtre avec un Chatbot va alors s’ouvrir et vous pourrez lui demander de l’aide.

Ensuite, y’a plus qu’à faire comme il dit, et voilà, je peux ajouter de la musique en fond si j’en ai envie.

Envie de modifier la musique en background ou séparer des voix ? Une simple commande texte à votre assistant et le tour est joué. Modifier le discours lu par votre avatar virtuel à l’écran ? Faites simplement les modifs directement dans votre texte. Combiner plusieurs clips, étalonner les couleurs, synchroniser les vitesses vidéo/audio, placer des marqueurs, changer l’image d’arrière-plan ou ajouter votre logo, créer une police d’écriture personnalisée … les fonctionnalités sont déjà nombreuses (plus de détails dans mon article précédent) et d’autres sont ajoutées à un rythme régulier.

Evidemment, si vous voulez en savoir plus sur les nouveautés ou apprendre à maitriser le logiciel comme un pro, le mieux c’est encore d’aller vous abonner à la chaine Youtube de Wondershare en cliquant ici.

Pour qui ?

À partir du moment où vous avez l’envie d’être présent sur plusieurs plateformes et de partager du contenu avec votre communauté (marketing, influenceurs, freelance …), vous trouverez un intérêt à Filmora. Il vous aidera à donner un côté pro à vos créations, à moindres frais et en économisant des heures de boulot !

Dès la version 12, je vous annonçais que les futures avancées seraient folles. La version 13 fait déjà un grand pas vers l’avant alors qu’il n’y a que quelques mois entre les 2, imaginez le niveau du truc d’ici seulement 1 an ! Il pourrait vite devenir un incontournable pour de nombreux créatifs qui voudront être présents sur plusieurs sites.

Filmora va même jusqu’à proposer des vidéos formatives, de l’optimisation des revenus sur YouTube, de créer vos propres effets, etc. C’est super complet. Cerise sur le gâteau ? La version gratuite vous permet de tester l’outil avec 1 Go d’espace de stockage offert, de quoi se faire une idée assez précise de ce qu’il offre. Bref vous ne perdez rien à l’essayer ! En plus c’est le bon moment parce que s’il vous convient, la promo Black Friday vous permet de gagner presque la moitié du prix (-45 à -49% selon le type d’abonnement). L’achat a vie du logiciel vous coutera autour des 75€ (taxes comprises) et pour accéder à l’ensemble des effets, modèles et plugins supplémentaires, cela reviendra à 18,99€/mois.

Tester Filmora avec cet essai gratuit


Je sais bien qu’en France c’est open-bar niveau bande passante et qu’on peut transférer des téra-octets de données sans aucun souci. Et c’est cool ! Mais dans d’autres pays, ou sur certains Hotspot Wifi, on doit parfois faire comme les accros au chocolat que je suis : surveiller sa consommation.

Pas évident sans l’outil approprié. C’est pourquoi aujourd’hui, je vous propose ce logiciel pour Mac nommé Bandwidth+.

Ce petit utilitaire permet de suivre votre consommation de data, que vous soyez en Ethernet ou sur du wifi. Il se loge dans la barre de menu et ne nécessite aucune configuration complexe. Ça commence à comptabiliser dès que c’est lancé et vous avez ainsi en permanence une vue de ce que vous consommez en temps réel.

Et ce que je peux vous dire c’est que ça part très vite la data… Vous seriez surpris. Je pars souvent à la chasse aux fichiers qui prennent de la place inutilement sur mon disque dur, mais jamais à la chasse à toutes ces applications qui transmettent des datas dans tous les sens.

Bandwidth+ affiche ainsi le cumul de ce qui rentre et de ce qui sort, tel un bon dealer, et surtout, l’outil respecte votre vie privée puisqu’il ne collecte et ne transmet aucune donnée utilisateur. C’est un logiciel minimaliste et sain.

Bref, que vous soyez sur un Wifi « limité » ou que vous vouliez suivre l’utilisation de votre iPhone en mode partage de connexion, c’est un vrai bonheur pour éviter les mauvaises surprises avec votre forfait. Néanmoins, il faut noter que le trafic du réseau local n’est pas ignoré, et par conséquent les sauvegardes Time Machine ou autre sont comptabilisées. Mais le dev prévoit d’améliorer cela dans une version future.

Ce qui serait cool également, c’est que le dev intègre un blocage automatique dès qu’un certain seuil est dépassé. Cela permettrait d’esquiver encore mieux les surcoûts. Affaire à suivre donc.

Si ça vous branche, c’est par ici que ça se passe.


— Article en partenariat avec Incogni

Au fil de ces derniers mois je vous ai présenté pas mal de choses tournant autour des data brokers, ces organismes qui font tout pour récupérer un maximum d’informations vous concernant lorsque vous utilisez Internet. Parce que nous laissons tous des traces, qui mises bout à bout peuvent s’avérer très précises sur notre identité et nos comportements.

J’ai commencé par vous expliquer ce qu’ils sont et comment fonctionnent ces courtiers en données, la manière dont ils s’y prennent pour faire de l’enrichissement de données ou encore comment cela peut se retourner contre vous au quotidien et quels problèmes cela peut vous causer (arnaque à la formation CPF, non-respect de votre vie privée …). Mais il y a une piste que je n’avais pas encore explorée et qui se rapporte aux voitures « modernes ».

Vous allez me dire que ça y est, tonton Korben il a définitivement tous les voyants au rouge, il est sur la réserve. Et bien pas vraiment, comme je l’ai appris récemment via une étude de Mozilla pour son projet *Privacy Not Included (site qui analyse la sécurité de tous types d’objets connectés). Montez à bord, vous allez vite comprendre le rapport entre une voiture moderne, les data brokers et Incogni.

Voitures et data brokers

Nos voitures sont aujourd’hui dotées d’une énorme panoplie d’outils qui sont utilisés pour analyser nos comportements et l’environnement (extérieur comme intérieur) : capteurs, caméras, radars, micros, données de navigation, applications télématiques, etc. De quoi surveiller non seulement notre conduite, mais aussi tout ce qui l’entoure (la météo, nombres de personnes dans l’habitacle, vos déplacements, les endroits où vous vous rendez habituellement, ce que vous dites et faites dans le véhicule, filmer l’extérieur …).

Cela fait déjà beaucoup d’informations privées récoltées, mais si cela reste dans les bases de données de votre constructeur ça limite le mal. Sauf qu’il a au moins 2 « petits » soucis. D’une part les bases de constructeurs auto sont de véritables passoires (plus de 2/3 ont été hackées dans les 3 dernières années) et surtout … la grande majorité (quasi 85%) des marques reconnaissent dans leurs CGU pouvoir récolter, partager et vendre vos données à des tiers. Et là vous voyez enfin le rapprochement avec les data brokers puisqu’ils font partie de ceux qui achètent ces données (tout comme les compagnies d’assurances). Les gouvernements n’ont même pas à passer à la caisse, plus de la moitié des marques disent qu’elles partageront leurs infos sur simple demande de ces derniers (heureusement en Europe c’est plus compliqué … pour l’instant).

Des données ultra-sensibles et un manque de sérieux en sécurité, qu’est ce qui pourrait mal tourner ? Vous imaginez la manière dont cela pourrait être détourné par des hackeurs ou les constructeurs eux-mêmes ? L’article source en cite plusieurs (je vous laisse lire ça dans l’article lié ci-dessus), dont une pour laquelle Ford a posé un brevet : faire en sorte que la voiture retourne automatiquement chez son concessionnaire en cas de non-remboursement du crédit. Et ouais ça va jusque là, Nissan mentionne même qu’ils peuvent enregistrer toute activité sexuelle ayant lieu dans la voiture … plus indiscret qu’une punaise de lit.

Pour Mozilla, la masse d’informations récupérées est carrément hallucinante et va au-delà de tout type de matériel qu’ils ont pu tester jusqu’ici (donc pire que votre téléphone, enceinte connectée & Co), ils parlent même d’un niveau WTF. Et cela quel que soit le modèle de la voiture (entrée de gamme, SUV …). En 2021 cela représentait environ 60% des modèles, chiffre qui devrait atteindre les 90% d’ici 2026. Pas un seul des constructeurs n’arrive à atteindre les standards minimums. Quelques noms parmi les 25 marques passées au crible ? Tesla, Honda, Nissan, Kia, Renault (quasi la seule à respecter le RGPD pour le coup), Toyota, Volkswagen, Ford, BMW, Mercedes, Fiat …

Incogni entre en jeu

On va faire attention aux sites avec lesquels nous partageons notre adresse physique, aux boutiques à qui nous donnons nos infos bancaires … mais qui va avoir le réflexe d’imaginer sa voiture comme un vecteur de risque ne serait-ce que potentiel ? C’est une piste qu’Incogni va sans doute explorer.

Incogni Surfshark

Comme vous le savez déjà, le travail d’Incogni est de contacter tous les data brokers qu’ils répertorient (presque 200 à l’heure actuelle) et leur demander de supprimer votre profil de leurs bases, et cela indéfiniment. Pour y parvenir Incogni va monitorer le suivit des demandes et surveiller que vous ne réapparaitrez pas dans le futur. Au vu du chantier que semble être le milieu de l’automobile, j’espère qu’ils vont s’y intéresser, car cela donnera de nouvelles pistes et de nouveaux brokers à ajouter à leur liste.

Vous l’avez compris la fondation derrière le navigateur Firefox n’est pas tendre avec l’industrie automobile et leur manière de ne pas respecter la vie privée de leurs clients. Que pouvons-nous faire de notre côté ? Et bien pas grand-chose si ce n’est signer leur pétition et demander à Incogni de faire supprimer au plus vite nos infos dès qu’elles apparaissent dans un recoin de la toile. Ou alors rester sur un vieux modèle de voiture thermique sans modernité. La côte des 2CV et autres VW Golf 2 GTI d’occasion ne va pas baisser de si tôt 😉                             

Découvrir l’offre d’Incogni


Aujourd’hui les amis, j’aimerais vous faire découvrir un outil en ligne de commande qui va bien vous aider si vous évoluez dans l’écosystème de Microsoft Azure.

En effet, en fonction de ce que vous faites avec vos instances et vos services Azure, le coût n’est pas forcément le même, et ce n’est pas super pratique de suivre tout ça uniquement via le site web. Heureusement avec l’outil Azure Cost Cli, vous allez pouvoir garder un œil sur les dépenses liées à votre utilisation des ressources, directement depuis votre terminal.

Ce logiciel utilise l’API Azure Cost Management pour récupérer les coûts et présente les résultats directement dans la console ou sous format JSON. JSON que vous pouvez ensuite exploiter dans vos outils ou scripts.

Hormis l’affichage des coûts cumulés comme vous pouvez le voir ci-dessus, il peut également afficher les coûts journaliers, extraire les ressources par coûts et répertorier les budgets.

Et il peut même détecter les anomalies éventuelles et les tendances d’évolution dans les coûts, ce qui permet d’automatiser encore plus les rapports générés.

Pour l’installer, c’est simple, ouvrez un terminal et utilisez la commande suivante (il vous faudra dotnet) :

dotnet tool install --global azure-cost-cli 

Ensuite, vous pouvez commencer à afficher les couts cumulés associés à un abonnement Azure spécifique en lui passant votre ID :

azure-cost accumulatedCost -s 12345678-1234-1234-1234-123456789012

Pour générer un rapport CSV des coûts par ressource, rien de plus simple :

azure-cost costByResource -s 12345678-1234-1234-1234-123456789012 -o csv

Imaginons maintenant que vous souhaitiez afficher les coûts quotidiens pour le mois de janvier 2023, regroupés par nom de service (ServiceName) :

azure-cost dailyCosts --dimension ServiceName --from 2023-01-01 --to 2023-01-31

Pratique non ? Et si vous souhaitez faire de la détection d’anomalie au niveau des coûts générés durant une certaine période :

azure-cost detectAnomalies -g myResourceGroup --timeframe Custom --from 2023-01-01 --to 2023-01-31

J’ai également découvert que cet outil pouvait être utilisé dans un GitHub Workflow pour obtenir le coût de notre abonnement et stocker les résultats en markdown. C’est vraiment génial pour avoir un aperçu rapide des frais liés à notre abonnement.

Voilà, si ça vous intéresse pour suivre vos coûts sur Azure, le projet Azure Cost Cli est disponible ici sur Github.


Aujourd’hui, ça va vous changer un peu, puisque je vais vous parler d’un bouquin.

Alors, non pas un livre de recettes geeks ni de jeux vidéos, mais le sujet va quand même vous intéresser puisque je vais vous parler d’espace.

Ce livre c’est « Commandant de l’Espace » (lien affilé), écrit par Michel Friedling, un mec qui a commencé par piloter des avions de chasse et qui a gravi les échelons jusqu’à devenir général de l’armée de l’air et de l’espace.

Imaginez ça, un ingénieur en aéronautique, pilote de chasse, breveté de l’École de guerre, et auditeur de l’IHEDN (Institut des hautes études de défense nationale), qui a eu entre ses mains, en 2019, les rênes de la Stratégie spatiale de défense française. Si ça, ça ne vous impressionne pas, je ne sais pas ce qu’il vous faut.

Dans son livre « Commandant de l’Espace », Michel Friedling, devenu par la force des choses, premier Commandant de l’Espace français, nous plonge dans une aventure spatiale qui ressemble vraiment à une série Netflix, mais en mieux évidemment. On y découvre comment l’espace, terrain de jeu géopolitique, a aujourd’hui totalement redéfini les règles du pouvoir mondial. Et c’est loin d’être un conte de fées.

D’ailleurs, Friedling y fait un parallèle intéressant entre les explorateurs d’autrefois et les conquérants spatiaux d’aujourd’hui. Mais attention, on n’est pas dans un roman de science-fiction puisque le monsieur a été au cœur de l’action, en contribuant à l’élaboration de la première véritable stratégie de défense spatiale française.

Photo : Wikipedia.

Actuellement c’est donc plutôt un retour à la compétition stratégique, un Eldorado du 21e siècle convoité à la fois par les États et des acteurs privés audacieux (coucou SpaceX). Michel Friedling décrit cet espace comme un « Far-West » cosmique, une frontière sans loi où se cachent risques et menaces inimaginables. Il met en lumière comment, dans les siècles à venir, le vrai pouvoir sera aux mains de ceux qui tiendront les rênes de l’espace.

Les États-Unis et la Chine sont actuellement en tête de cette course, mais la Russie, avec ses manœuvres récentes comme l’attaque d’un réseau de télécommunications par satellite lors de son conflit avec l’Ukraine, reste un acteur clé. Et n’oublions pas l’Inde et d’autres pays émergents, qui s’élancent avec ambition dans cette quête de suprématie spatiale.

Même si l’auteur reprend l’histoire de la conquête spatiale dans les premières pages, ce livre n’est pas juste un récit de conquêtes spatiales qu’on connait déjà bien. Non, non, l’auteur avec son expérience impressionnante d’ingénieur et de stratège, nous fait surtout comprendre au fil des pages, les enjeux, stratégiques, économiques et militaires de l’espace. Ça se lit en quelques heures et vous aurez l’impression d’avoir eu un cours particulier avec le prof le plus cool de la galaxie.

Pour ceux qui s’intéressent à la géopolitique, à la défense, ou qui sont juste fascinés par l’espace, « Commandant de l’Espace » est une mine d’or. C’est un livre écrit par quelqu’un qui a non seulement étudié l’espace, mais qui l’a vécu. Aujourd’hui CEO de Look Up Space (Rien à voir avec DiCaprio), Michel Friedling est à la pointe de ce qui se fait en SpaceTech française. Si vous ne connaissiez pas, la SpaceTech c’est tout pareil que la FrenchTech, mais en apesanteur et avec un peu plus de transpiration.

Pour conclure, « Commandant de l’Espace » (lien affilé), ce n’est pas juste un livre sur l’espace. C’est un voyage guidé par un véritable maître de la stratégie spatiale qui nous rappelle l’importance de l’espace dans notre vie quotidienne et dans la géopolitique mondiale actuelle. Et il y a même de jolies photos dedans.

C’est parfait pour ceux qui cherchent à comprendre notre monde et le futur.

Et comme cadeau de Noël pour geek, c’est le succès assuré !